“ as the fire spread all that's left are your bones that will soon sink like stones ”
☇ MY CHARM IS MY WEAPON
FEAT. LUKE GRIMES
PRENOMS & NOM : James Eliott Warrens SURNOM : Eli'. DATE & LIEU DE NAISSANCE : 06.03.1987 London, ENGLAND AGE : Éternellement figé dans une enveloppe charnelle de jeune homme de 26 ans et nouvellement transformé en vampire. MÉTIER : Eliott n'avait aucun emploi stable à Londres. Atteint du syndrôme de Peter Pan, l'idée de devenir un adulte l'effrayait. Néanmoins, il a toujours rêvé de devenir un pianiste renommé! ... Hélas, interné à l'hôpital psychiatrique de Londres pour tentative de suicide, Eliott n'a pu réalisé son rêve et il ne le réalisera sans doute jamais. STATUT : Célibataire. ORIENTATION SEXUELLE : Il ne sait pas.. Eliott n'est jamais tombé amoureux! Il n'a jamais eu de relations sérieuses non plus... Et entre vous et moi, il préfère éviter ce sujet. CARACTÈRE : Attachant Déterminé Ambitieux Caractériel Franc Audacieux Rêveur Intègre Talentueux Calme Idéaliste Touchant Persuasif Perfectionniste Discret Torturé Dépressif Égocentrique Cruel Énigmatique Sensible Impulsif Dépendant Sarcastique Possessif Manipulateur Peu Locace Borderline Instable Rancunier
☇ LE QUESTIONNAIRE HEARTKILLIEN
▬ comment considérez-vous la famille Bridgestone ? avez-vous une relation spéciale avec eux ?
« Les Bridgestone… », Eliott baisse les yeux tout en réfléchissant à la question. « Je ne les connais pas à proprement parler... Je n’en ai jamais vraiment vu un... C’est bien la famille royale, n’est-ce pas?... », il hausse les épaules avec indifférence. « Je sais que John entretient une relation spéciale avec la famille Bridgestone.. Mais moi ... », il hoche négativement la tête. « Mais j’ai entendu des histoires de cette famille... Disons que je me compte chanceux de non seulement jamais avoir croisé le chemin d’un Bridgestone, mais également d’appartenir à John.. »
▬ que pensez-vous de la condition des esclaves/humains sur l'ile ? pour ou contre leur traitement ?
Un long silence plane dans l’air alors qu’Eliott cherche les mots avant de hausser les épaules, ne sachant quoi répondre à cette question, à vrai dire. « Je n’ai jamais été l’esclave d’un vampire depuis mon arrivée, mais j’étais un « humain en liberté » et... Enfin, la survie est très difficile. », remarque-t-il avant de poursuivre « Je n’irai pas jusqu’à dire que leur condition est injuste, parce que ... Voilà, c’est la loi du plus fort, vous comprenez? », fit-il, antipathique. « En même temps, leur condition ne me concerne plus du tout. »
▬ comment trouvez-vous heartkiller ? la ville en elle-même, son organisation, son climat, ses habitants.... ?
« Très sincèrement, j’aurais pu tomber sur pire... Du style.. Guantanamo. »
▬ avant d'arriver sur HK, quelle était votre opinion sur les rumeurs englobant le triangle des bermudes ?
« J'avais entendu parler brièvement du triangle des Bermudes.. Au départ je croyais vraiment qu'il ne s'agissait que d'histoires à raconter autour d'un feu afin d'effrayer les autres campeurs... Jamais je n'aurais cru que ces rumeurs, ces histoires, ce non-sens... Était vrai. », Eliott hoche négativement la tête, les sourcils froncés et les traits, en quelque sorte, plissés par un mélange d'incompréhension et de colère. « J'veux dire... Des vampires ?! Et puis quoi encore?!! Vous allez me dire que le marchand de sable est parmi nous aussi? ... », une certaine lueur de panique anime le regard du jeune incube. « Dites-lui que je suis un garçon très sage... », murmure-t-il.
▬ craignez-vous la furie des derniers levinson ? d'ailleurs, qu'évoque pour vous la chute du roi allan levinson ?
Haussant un sourcil, il formule doucement « C'est quoi un Levinson? ». Soudain, un rire écho dans la pièce alors qu'il hoche sa tête avec compréhension. « Ah! Ouais! Le Roi? ... Non je ne crains pas la furie des Levinson! ... Et la chute du roi ne me dit rien, je ne l'ai pas vécu... », dit-il accompagné d'un haussement d'épaules nonchalant.
▬ et enfin, question piège, que pensez-vous des adminettes ? Qui est la plus folle ? La plus sexy ? La plus chieuse ? dites-nous tout...
:face:JOOOOOOOOOOKEEEEEEEEEEEEER.
PRÉNOM/SURNOM : Vanessa ou Nessa ou Vane ou Tout-Premier-Cesar I. Bridgestone. AGE : 24 aaaaans. SEXE : F! ... Euh attendez..................... F ! COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : J'y étais lors de son ouverture l'an passé, puis j'ai quitté... Puis j'ai arrêté le rp pendant plusieurs mois... Mais HK et les rencontres que j'ai fait sont toujours restés dans ma tête et mon coeur :coeur:Alors avec beaucoup de réflexion, j'suis revenue (malgré que j'ai dit que je ne le ferai pas -.-) ET COMMENT TU LE TROUVES? Unique! Incroyable! Parfait. =) EST-CE QUE VOUS SOUHAITEZ ETRE PARRAINE ? Négatif. PEUT-ON ON FAIRE UN PREDEFINI DE VOTRE PERSO. SI VOUS ETES SUPPRIME ? NON CODE RÈGLEMENT : Validé par Johnichou
Dernière édition par J. Eliott Warrens le Dim 11 Aoû - 22:05, édité 24 fois
“Et toutes et tous lèveront la tête et crieront « Sauvez-nous ». Et dans un murmure, je dirai « Non ».”
06.03.2012
« Joyeux anniversaire, mec! Vingt-cinq ans déjà... Putain! Le temps passe trop vite... » « ... Ouais. Un peu trop vite.. », murmure Eliott, le regard figé sur l’horloge accrochée sur le mur du salon de son petit studio au cœur de Londres. « J’me souviens de notre enfance comme si c’était hier! », un rire émane des lèvres de Karl Warrens, le frère aîné d’Eliott. Ce dernier lève le regard vers son frangin, inclinant la tête sur le côté, interrogateur. « Tu étais tellement turbulent... Tu courais partout chez grand-mère.. On jouait aux pirates, te souviens-tu? », un nouveau rire fit vibrer la poitrine de Karl. « Et tu faisais tellement de conneries, merde! Grand-père était toujours après toi! », un fin sourire étire les lèvres d’Eliott alors que son regard se pose sur l’horloge, derechef. « As-tu parlé avec grand-mère aujourd’hui? », demande enfin Karl après quelques brèves minutes d’un silence qui leur semblait éternel. Mais Eliott n’est plus de ce monde... Il regarde l’horloge avec fascination. Le mouvement machinal de l’aiguille, ce « tic... toc... tic... toc... » qui cogne contre sa conscience. Tic. Toc. Tic. Toc. « Eliott?! ... » Tic. Toc. Tic. Toc. Tic. « Bon ehm... Écoutes, on se voit ce soir... Je reviens te chercher d’ici deux heures. » Eliott lève son regard vers son aîné. Un regard complètement, mais alors là, complètement vide. Plus aucune émotion l’anime. Plus rien n’éveille ses sens, désormais. Plus rien n’a de valeur... Plus rien n’est. Tic. Eliott hoche la tête, un sourire en coin aux lèvres. Toc. Karl quitte son studio situé au vingtième étage d’un édifice imposant. Tic. Eliott s’approche de la fenêtre et observe son frère embarquer dans sa voiture.
Toc.
♦ ♢ ♦
06.05.2012 « Quel est votre nom complet? » « James Eliott Warrens », répond le jeune homme d’un air las. « Votre date de naissance complète, monsieur Warrens? » « Le six mars mille neuf-cent quatre-vingt-sept » « Quel est le nom de vos parents, monsieur Warrens? », entre vous et moi, Eliott n’aime pas du tout aborder le sujet de ses parents et il aime encore moins exprimer ses pensées face à ce sujet à un spécialiste qui le considère comme son propre rat de laboratoire. Très sincèrement, il n’arrive pas du tout à comprendre la pertinence de cette question! C’est quoi? Ils veulent s’assurer qu’il est complètement lucide au point de se souvenir des parents qu’il n’a jamais eu? Ils essaie de trouver en lui un signe schizophrénique au point où il s’invente les parents rêvés qu’il n’a jamais eu? Les parents qui ne l’ont jamais abandonnés? Les parents qui voulaient de lui à sa naissance? Il n’arrive pas à en comprendre, tout simplement … Cette question est un énième poignard qui lui heurte un corps déjà faible. « Je… Je ne sais pas. Je ne les ai jamais connus. », fronçant légèrement les sourcils, le regard perdu dans le néant. Soudainement, les mâchoires serrées et la colère peignant ses traits, il reprend « Pourquoi êtes-vous obligés de me demander toutes ces questions?! Vous avez mon dossier sous les yeux, à quoi sert-il de perdre votre temps et, par conséquent, le mien? », le spécialiste hoche négativement la tête en poursuivant ses écrits, visiblement indifférent face à l’éclat de colère de son patient. « Ce ne sont que de simples formalités, Monsieur Warrens. Demain, vous aurez les mêmes questions, alors je vous conseille fortement de vous y faire. », formule-t-il froidement. Voyant bien qu’Eliott demeure, manifestement, silencieux face à de telles paroles, le Docteur Samuels lève le regard vers son patient, attentant avec une patience accrue qu’il coopère. Eliott lui adresse un regard, reconnaissant les paroles du médecin en hochant silencieusement la tête avec compréhension. « Et dites-moi, monsieur Warrens, pourquoi êtes-vous internés ici? », roulant les yeux d’exaspération, le concerné hausse les épaules avec nonchalance. « Pour prendre le thé, bien évidemment.. », tentative d’humour qui fut bien rejetée par la part du spécialiste qui n’a pas ce sens-là plutôt développé, visiblement. Le sourire amusé étirant les lèvres d’Eliott se dissipe. Quelque peu honteux, le patient baisse les yeux avant de prononcer, d’un ton plutôt sérieux pour un jeune homme comme lui… « Parce que j’ai fais une tentative de suicide le jour de mon anniversaire… » « Pourquoi avez-vous tenté le suicide? » Observant ce psychiatre qui n’a daigné lever le regard sur son patient, ce dernier incline légèrement la tête sur le côté d’un air intrigué. « Docteur Samuels? », tout en écrivant, le spécialiste lève brièvement le regard vers son patient avant de répondre d’un « Hmm? » significatif. « Et si on se parlait plus sérieusement tous les deux? Tu sais… D’homme à homme… » Le silence du spécialiste en guise de réponse pousse manifestement Eliott à poursuivre son discours. « Avez-vous déjà eu le sentiment d’étouffer dans votre propre enveloppe charnelle, Doc? », l’interpelé hausse un sourcil dubitatif. « Avez-vous déjà eu le sentiment que, de jour en jour, vous vous noyez dans votre propre corps? Que malgré la prise de conscience sur l’impossibilité de réellement vous noyer dans votre propre corps, jour après jour, heure après heure, minute après minute, seconde après seconde, vous vous sentez … Vous perdre. Perdre l’essence de vous même. Et en vous perdant, vous perdez tout le monde. Ils tombent comme mouches mortes autour de vous et malgré vos essais, malgré les nombreuses tentatives de les retenir, ils tombent. Au final, vous réalisez que vous vous retrouvez seul au bout d’une foule dont vous ignorez la présence parce que tout ce qui vous importe c’est votre inlassable bataille contre cette force surnaturelle qui essaie de vous foutre la tête sous l’eau. Puis, de sa force, elle la retient ainsi, vous noyant malgré que vous vous débattiez… Vous n’y pouvez rien. Vous êtes seuls à entretenir cette bataille contre cette force… Incroyablement seul. » , le spécialiste serre les dents en hochant positivement la tête d’un geste entendu. Doucement, il replace ses lunettes sur son nez, s’humidifiant les lèvres tout en prononçant d’un air morne. « Et quelle est cette force, Eliott? »
« Le temps.. » souffle Eliott de toute évidence.
♦ ♢ ♦
14.05.2012
Elle est assise seule depuis près d’une heure maintenant. Bouquin à la main, la rouquine n’a d’yeux que pour ce dernier, captivée par chaque mot qu’il comporte. Sa douce peau laiteuse se fait caresser par les rayons d’un soleil délicat en cette fin de journée du mois de mai. Sa chevelure de feu brule de toutes ses forces alors qu’elle attire, à priori, l’attention d’Eliott. Ce n’est pas la première fois qu’il remarque cette jeune femme. Elle a quelque chose d’innocent… Contrairement à lui. Mais à toutes les fois qu’il est en sa présence, il n’a jamais eu le courage de l’aborder… Encore moins de la déranger durant sa lecture qui a l’air plus que fascinante. Pourtant, il s’avance vers elle… Il s’avance sans vraiment pouvoir s’arrêter. Ses jambes, indépendantes presque, le guident jusqu’à elle et puis… Il s’assoit à ses côtés. Nerveuse, elle lui accorde un bref regard avant de river ce dernier sur son bouquin. Eliott ne comprend pas ce qu’elle trouve fascinant à lire un livre! … Qu’est-ce que ce livre possède de plus intéressant que sa personne? Fronçant les sourcils d’incompréhension, il incline la tête vers la page qu’elle est entrain de lire… Et la lecture lui donne pratiquement mal au crâne. Écarquillant les yeux avant de détourner le regard, il pousse un bref soupir. Cependant, la rouquine demeure dans le même état nerveux qu’au tout début de la venue du jeune homme. N’osant prononcer le moindre mot, elle ferme son bouquin et évite tout contact avec le nouveau venu. « J’ai un marché à te proposer.. » murmure finalement Eliott, brisant cet éternel silence qui les accompagne depuis près de quelques minutes maintenant. Elle lève enfin le regard vers son interlocuteur, fronçant les sourcils de manière significative. « Si je te dis que.. J’ai un moyen de sortir d’ici.. » « … Tu… Tu peux vraiment faire ça? » demande-t-elle, tel un enfant tentant maladroitement de dissimuler son excitation face à une nouvelle. Eliott hoche positivement la tête et souris face aux mille-et-unes étoiles qui emplissent le regard de cette rouquine à sa gauche. « Co.. Comment? », demande-t-elle aussitôt. Eliott regarde autour de lui avant de se coller davantage à son interlocutrice. « … Je te le dis.. Seulement si tu me suis.. », soudainement, le sourire de la rouquine se perd tranquillement alors qu’elle fronce très légèrement les sourcils, désemparée par cette nouvelle proposition qu’il lui offre. Elle est confuse, il le sait. Son front se plisse adorablement alors qu’elle ferme le bouquin qu’elle tient entre ses mains et le dépose sur la table. Gloussant, elle a l’air de ne savoir comment réagir... Ce qui étire davantage les lèvres d’Eliott en un sourire amusé. Il sait que, malgré qu’elle aie l’air réticente à l’idée, elle la considère avec intérêt. Personne n’a parlé à cette rouquine depuis son arrivée. Personne hormis Eliott. Ce dernier se lève lentement et commence à s’éloigner d’elle, mais son chemin s’interrompt alors qu’il se tourne vers elle, l’observant de nouveau. « Je sais que tu as souffert. Il y a quelque chose en toi qui... », il se pince les lèvres tout en haussant les épaules. « J’sais pas... Qui fait en sorte que parmi tous les cinglés de cette place, tu es celle qui en vaut la peine. », un nouveau sourire se trace aux fines lèvres du jeune. Eliott tend doucement la main vers la rouquine qui pivote vers son interlocuteur, son regard oscillant entre cette main tendue vers elle et le jeune homme debout devant elle. Finalement, elle accroche son regard à celui d’Eliott comme si sa propre vie en dépendait. « Laisse-moi te faire découvrir le monde... »
Sans détourner le regard d’une seconde, elle scelle sa main à celle d’Eliott.
♦ ♢ ♦
21.10.2012
Elle panique. Elle tremble. L’oxygène emplit à peine ses poumons à force que sa respiration s’accélère. Son regard paranoïaque parcours la terrasse du Pump Room, où elle-même et Eliott sont confortablement assis. Elle sent la panique prendre possession de son âme telle une vermine dangereuse... Puis, soudainement, elle murmure dans un tremblement « On doit partir d’ici, Eliott... On doit quitter cette endroit au plus vite... », confus, l’interpellé lève le regard sur la rouquine. Quitter Bath? ... Maintenant?! En quel honneur? Ils viennent de s’installer, ma foi! Eliott regarde autour de lui afin de s’assurer que le regard curieux des bourgeois présents à leurs côté n’est pas rivé sur eux... Mais ce qu’il vit directement derrière Juliet le fige. Il sent chaque particule de son corps se ramollir, le plancher sous ses pieds se retirer pour le laisser tomber dans un vide absolu. Son cœur se mit à battre à la chamade dans sa poitrine alors qu’il laisse la panique le gagner pendant un bref instant. Son regard se pose directement sur Juliet et il lit dans les perles azures de la jeune femme quelque chose qu’il n’a jamais cru lire depuis leur évasion de l’asile... Il y lu la seule chose qui lui aurait fait arrêter la terre de tourner. Il y lu le seul sentiment qu’il s’est promis de ne jamais lui faire ressentir... Pas à Elle. Il y lu la terreur. Sans réfléchir nécessairement, il glisse ses deux mains dans celles de Juliet, entremêlant ses doigts à ceux de celle qu’il peut considérer comme la seule personne envers laquelle il voue une importance cruciale. Entre vous et moi, même s’il préférait ne pas le montrer, Eliott craignait le jour où les parents de Juliet se mettent à leurs trousses. En même temps, le jeune homme ne comprend pas du tout leur attitude! Lui qui n’a jamais connu ses véritables parents, lui qui n’a jamais connu de mère, a beaucoup de difficulté à comprendre comment une femme peut-elle rendre la vie de sa fille un véritable enfer. « Ne t’inquiète pas.. », susurre-t-il, son regard accroché à celui de Juliet. « J’ai tout sous contrôle... Mais écoutes-moi, d’accord? », frénétiquement, elle hoche positivement la tête alors que les larmes coulent finalement le long de ses joues immaculées. « On va sortir d’ici la tête haute... Le sourire aux lèvres.. », au moment où ces paroles émanent de ses lèvres, un sourire se trace aux lèvres d’Eliott alors qu’il essuie les larmes de la rouquine du revers de son index. « Nous allons saluer les serveurs... Leur dire que nous sommes très satisfaits de leur service. Ta main scellée à la mienne et toujours un sourire aux lèvres, on va se rendre à notre appartement. Tu vas faire tes valises. Je vais appeler Jack. Il nous a sauvé de la merde lorsque nous étions internés, il va nous sauver de la merde ici aussi. D’accord? », acquiesçant à ce plan, ils se lèvent mutuellement et se dirigent vers la sortie du fameux Pump Room, le salon de thé le plus réputé d’Angleterre. Gagnant la rue, Eliott s’empare du papier d’où le visage de Juliet y est imprimé accompagné d’une calligraphie imposante qui cite « RECHERCHÉE ».
Lorsqu’ils étaient internés à l’asile psychiatrique de Londres, Juliet et Eliott ont fait la rencontre d’un homme dont tous surnommaient Jack et dont le véritable prénom demeure un simple mystère. L’évasion fut orchestrée par ce même Jack qui, lorsqu’ils ont remis les pieds dans la société, leur a donné un seul numéro où ils pouvaient le rejoindre en tout temps. Jamais ils ont cru avoir besoin de cet homme de nouveau... Il faut croire qu’il faut prévoir tous les imprévus.
« Jack? ... J’ai besoin de deux faux passeports et deux billets pour New York ... »
Qui aurait pu croire que New York se ferait drastiquement remplacé par Heartkiller?
♦ ♢ ♦
07.11.2012
Essoufflé, il arrête de courir. Il laisse son dos se coller lourdement contre un arbre alors qu’il ferme les yeux, tentant en vain de regagner son souffle. Glissant ses mains au niveau de ses genoux, il lève le regard vers Juliet qui s’arrête à son tour, regardant derrière eux voir si la créature les suit toujours. Eliott hoche négativement la tête tout en fermant les yeux, libérant simplement « On est foutus... »... Et il a complètement raison. À la vitesse dont ils courent, il est plus que certain que cette créature finira par les retrouver et faire d’eux son repas. « En plus, on n’a qu’une arme... », fait-il référence au révolver que tient Juliet. « Il nous reste que trois balles... On en a dépensé deux sur ce.. Ce monstre! Et c’est clairement pas ces trois balles qui feront en sorte qu’il crève! Putain, on est dans la merde.. », conclut-il, en levant les yeux vers le ciel balayé d’étoiles. Ignorant qu’elle s’est tournée vers lui. Ignorant qu’elle pointe désormais le révolver sur lui. Ignorant totalement ce qu’elle s’apprête à faire si froidement... Jusqu’à ce qu’il baisse le regard sur elle. Soudainement, l’adrénaline gicle dans son corps une énième fois, mais cette fois plutôt que de courir, il reste là où il est, regardant avec horreur celle qu’il a, jusqu’à ce jour, sauvé de toutes les situations possibles et imaginables. « Juliet... », murmure-t-il alors qu’il recule lentement. Elle hoche positivement la tête. Il ne détourne son regard d’elle. De l’arme. Elle tire sur sa jambe. Écroulé sur le sol, une douleur sans pareille s’empare de son être alors qu’il tente vainement d’empêcher l’hémoglobine de couvrir le sol, ce même sol qui a accueillit sa chute. « Mais qu’est-ce que... », il n’arrive à formuler le choc qui le possède désormais, se faisant couper par un simple « Pardonne-moi.. »
Elle est partie.
♦ ♢ ♦
AUJOURD'HUI
J’ai oublié le soleil. J’ai oublié les couleurs qu’il pouvait donner aux feuilles coloriées par l’automne. J’ai oublié combien il pouvait me réchauffer lors d’une journée particulièrement froide. J’ai oublié combien ses caresses pouvaient être réconfortantes... J’ai oublié comment ses rayons pouvaient s’infiltrer dans ma chambre, m’annonçant l’arrivée d’une nouvelle journée. J’en garde désormais la sensation de froid lorsqu’il se couche, lorsqu’il nous abandonne tous pour se reposer une énième fois. J’en garde les frissons de la nuit qui nous envahit. Même durant les nuits les plus chaudes, je ne ressens qu’un vide particulier. Un vide beaucoup trop imposant pour être comblé. Un vide comme je n’ai jamais ressentis. Quel est l’homme qui est séduit par l’éternité? L’éternité n’a aucun sens lorsque tu la vies seul.
Debout devant la fenêtre du salon de chez John, Eliott observe la lune briller sur la forêt de Heartkiller, la soif lui brûlant la gorge. Une soif qui le force à frôler une dangereuse impulsion. Retirez Wendy de Peter Pan et, malgré ses objections, il perd son seul reperd. Il est perdu. Malgré qu’il en possède un nouveau et qu’il en soit incroyablement dépendant, certes, Peter Pan n’est rien sans Wendy.
RADIOACTIVE ❖ IMAGINE DRAGONS
Dernière édition par J. Eliott Warrens le Mar 20 Aoû - 0:07, édité 29 fois
My fucking gooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooood
Non attend on reprend...
Ho toiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!!!!
Spoiler:
Mon petit n'incube adoré de ma vie de mon éternité que sans toi je ne suis qu'une enveloppe corporelle sans âme :cute:AZY S'PAS DE LA DÉCLARATION DE FOU CA BORDEL ? Bordel j'ai bientôt 3 incube c'est un record
MON CHATON, MON ÉTOILE, MI AMORE (attention, je vais recommencer à parler avec l'accent espagnol... Jùan )
Spoiler:
Tu croyais que je te réservais que ça?! EH BIEN NON
Mon maître, mon Dieu, mon tout puissant, mon éternel, sans toi je ne serai que détritus
MERCIIIIIIIIIIII MON ÉTOILE! Je viendrai te harceler si j'ai besoin d'aide.. Et même si je n'ai pas besoin d'aide, je viendrai te harceler quand même ... Je vais toujours te harceler
(Lucie, pas taper, please. Je cesse. )
JTE LOVE
E. Gabriel Driver - On est mercredi ? - Ouai, c'est fréquent après le mardi.
✤ LETTRES A LA POSTE : 1019
✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 06/03/2013
✤ AGE : 27
✤ OU TU TE TROUVES ? : Dans la cuisine, tu veux un sandwich ?
Non... NOn... PUTAIN ! C'EST TOI !!!! OwO PAPAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!! OH NON MAIS LA !!!! Quand j'ai lu "Vanessa" j'me suis dit bon ... coïncidence. Mais après tout-premier-Cesar HEIIIIIN !!! MON ANCIEN FUTUR MAITRE
Mais tu sais que je t'aime toi ? JE SUIS TROP HEUREUX LA !!! :fallen:
REBIENVENUE !!! Je peux me déchainer avec plein de gif pour faire voir à quel point je suis happy ?
GABY FILSTOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !!! MON BÉBÉ D'AMOUUUUUUUUUUUUUUUR!! MON DEANOU !! Dis, dis, dis! Comment va Marguerite? Elle te trompe encore, la vilaine? Elle est mieux pas, papounet va prendre soin de toi. euh... J'veux dire NAN MAIS JE T'AIME AUSSI ET JE ME SUIS ENNUYÉE et il nous faudra un lien de fifou maintenant qu'on habite tous les deux chez John
OUI BOMBARDE-MOI DE GIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIFS !!
PHILIPPE merci beaucoup!!
E. Gabriel Driver - On est mercredi ? - Ouai, c'est fréquent après le mardi.
✤ LETTRES A LA POSTE : 1019
✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 06/03/2013
✤ AGE : 27
✤ OU TU TE TROUVES ? : Dans la cuisine, tu veux un sandwich ?
VOILA ! Marguerite va très bien ! Grâce à elle j'ai monté ma boutique, j'vend du lait Mon papounet Mais maintenant j'ai un nouveau n'amoureux ! Il est gentil tu verras Oui on aura un lien de fou t'en fais pas ! J'Y COMPTE BIEN !!!
Bienvenue sur le forum ! Et bah, tu étais attendue dit-donc ^^ Pas taper si je te dis que Eliott me fait penser à l'Eliott le dragon? J'adorais ce films quand j'étais pitite
HAAAAN je veux de ce lait. Nan mais attends, y'avait pas une certaine table avec qui tu.. voilà... ? =O Elle va comment, elle? Han :32:Je veux le rencontrer cet homme.
SOLVEIG Merciiii !! QUOOOOOOOOOOOOOI?! MON PRÉNOM TE FAIT PENSER À ÇA? :
REFUS!!
J'suis plus beau, hein?
E. Gabriel Driver - On est mercredi ? - Ouai, c'est fréquent après le mardi.
✤ LETTRES A LA POSTE : 1019
✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 06/03/2013
✤ AGE : 27
✤ OU TU TE TROUVES ? : Dans la cuisine, tu veux un sandwich ?
Tes gifs m'ont tué ! La table ... oh mon dieu, je l'avais oublié OwO T'as une mémoire de fou toi Elle va bien aussi Je vais te le présenter, KAYYYYYYNE !! Ramène toi que j'te présente ! NOW !!
Vous êtes fous...Laissez-le respirer ... Ou pas. Faut dire que c'est un Vampire *Va méditer là-dessus*
J'aime déjà ton perso. Le type qui veut juste s'amuser et ne prend rien au sérieux. J'aimerais bien voir ce que cela donnerait avec mon autoritaire de César ça.
Bonne chance pour la validation de ta fiche et amuses-toi bien parmis-nous.
GABY (mdr Gosh j'ai eu le réflexe d'écrire DEAN!! O_O) OUAIS J'AI UNE MÉMOIRE DE FOUUU !! J'me souviens de tellement de trucs, j'sais pas si tu as envie que je les dévoile (mais on peut mettre ça sur la faute de Dean, aussi. ) OUAAAAAAAAAAAIS RENCONTRE AVEC L'HOMME DE GABYYYYYYYYYYYYY !! Ne sois pas timide, 'vais pas te mordre
JÙAN Amore, dolce vita, mi corazooooooooon (je viens de mélanger l'italien et l'espagnol je pense ) Yé hâté dé sentil la ssaleul dé ton colps contlé lé mien, yé té veux plès dé moua
JTE LOOOOOOOOOOOOVE
CESAR OH MON DIEU ÇA FAIT BIZARRE DE VOIR UN AUTRE CESAR On dirait que j'me parle toute seule quand je te répond Nostalgiiiie quand tu nous tiens Mais MERCI Ô GRAND EMPEREUR DE HEARTKILLER!! Nan mais tu sais, j'suis ta fan numéro un (j'ai limite une pancarte où c'est écrit "CESAR FOR PRESIDENT" /out/) ... Genre je vais te lancer des fleurs tout le temps du style : Cesar, tu es le meilleur de l'univers, LE MEILLEUR!! (pour la première fois, je le dis sans entendre le fatidique "NARCISSIQUE" qui suit cette phrase de près )
Puis on n'a pas le choix d'avoir un lien... Parce que Cesar était mon bébé quand j'étais sur HK et simplement parce que c'est le meilleur.
E. Gabriel Driver - On est mercredi ? - Ouai, c'est fréquent après le mardi.
✤ LETTRES A LA POSTE : 1019
✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 06/03/2013
✤ AGE : 27
✤ OU TU TE TROUVES ? : Dans la cuisine, tu veux un sandwich ?
Bah moi je vais continuer à t'appeler Cesar, c'est forcé Je pense pas pouvoir faire autrement Oui tu me rafraîchiras la mémoire, j'ai oublié tout ce qu'on a pu faire dans des coins sombres
SOLVEIG Merciiii !! QUOOOOOOOOOOOOOI?! MON PRÉNOM TE FAIT PENSER À ÇA? :
REFUS!!
J'suis plus beau, hein?
Si c'est lui c'est le meilleur des amis que l'on pourrait espérer, et il vole toujours à notre secours ! Il est doux et gentil et tout et tout et tout Tout le monde l'aime C'est un compliment Mais oui, tu lui ressembles pas physiquement
César I. Bridgestone JE SUIS LA JUSTICE ♦ EMPEREUR
✤ LETTRES A LA POSTE : 379
✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 04/03/2013
✤ AGE : 37
✤ OU TU TE TROUVES ? : Je rôde sur Heartkiller. Serez-vous ma prochaine victime ?
✤ EMPLOI/LOISIRS : L'Empereur / Jouer avec mes esclaves
CESAR OH MON DIEU ÇA FAIT BIZARRE DE VOIR UN AUTRE CESAR :larme:On dirait que j'me parle toute seule quand je te répond :larme:Nostalgiiiie quand tu nous tiens Mais MERCI Ô GRAND EMPEREUR DE HEARTKILLER!! Nan mais tu sais, j'suis ta fan numéro un (j'ai limite une pancarte où c'est écrit "CESAR FOR PRESIDENT" /out/) ... Genre je vais te lancer des fleurs tout le temps du style : Cesar, tu es le meilleur de l'univers, LE MEILLEUR!! (pour la première fois, je le dis sans entendre le fatidique "NARCISSIQUE" qui suit cette phrase de près )
Puis on n'a pas le choix d'avoir un lien... Parce que Cesar était mon bébé quand j'étais sur HK et simplement parce que c'est le meilleur.
Ah bon, j'ai un fan.
Ouiiii après tout ceux qui veulent me tuer, ça fait un peu de changement !!!!!!!
loool j'aime le truc du dragon là .... pauvre petit.
Viens dans le lit mon petit peter ....
Ahhh ok. Je viens de comprendre : un peu lente le matin. Tu étais César...Héhéhé. Donc, on va avoir un lien.
Si c'est lui :woupi:c'est le meilleur des amis que l'on pourrait espérer, et il vole toujours à notre secours ! Il est doux et gentil et tout et tout et tout Tout le monde l'aime C'est un compliment Mais oui, tu lui ressembles pas physiquement
Hahahaha alors j'accepte ce compliment (aa) ENCORE UNE CHANCE QU'ON N'A AUCUNE RESSEMBLANCE PHYSIQUE!!
César I. Bridgestone a écrit:
Ah bon, j'ai un fan.
Ouiiii après tout ceux qui veulent me tuer, ça fait un peu de changement !!!!!!!
loool j'aime le truc du dragon là .... pauvre petit.
Viens dans le lit mon petit peter ....
Ahhh ok. Je viens de comprendre : un peu lente le matin. Tu étais César...Héhéhé. Donc, on va avoir un lien.
Ô grand Cesar, je vous protègerai de toutes ces âmes souhaitant vous tuer J'arrive IMMÉDIATEMENT !! Haha ouiii j'étais le tout premier Cesar !! Mon bébé d'amour est entre tes mains, maintenant
KAYNE mdrrr tu m'as tué avec les gifs
Aaron I. Lewis a écrit:
HHELLOOOOO ELLIOTTT
Ohh!!! John à un nouveau jouet! Trop cool!
Diiiitttt <3 Je peux tester Johnounet? DIT OUI DIT OUI DIT OUI stp
En tout cas re-bienvenue par ce que moi je te connais pas :face:Mais je n'attend que sa!
ME TESTER?!! ÇA VEUT DIRE QUOI ÇA?? Tu me fais peur. Sois doux, please.
Hehehe MERCI pour l'accueil (a)
Woody H. Monroe a écrit:
Han, le personnage promet ! :falling:Tu me garderas un lien hein ? Bienvenue en tous cas !
HAAAN !! Contente que ce petit début de fiche te plaise! Absolument, je te garde un lien bien au chaud MERCIIII!!
JOHN & DEAN C'QUOI TOUT ÇA? PERSONNE PEUT ME TESTER, JE SUIS UN HOMME LIBRE.