« Il n'y a réellement ni beau style, ni beau dessin, ni belle couleur : il n'y a qu'une seule beauté, celle de la vérité qui se révèle. » ☠

Les rues sont bien plus sombres cette nuit que les autres, ce qui avait pour habitude d’attirer mon attention. La dernière fois qu’il avait fait aussi noir c’était-il y’a plusieurs mois le soir où j’étais allé rapidement accomplir un devoir très important. J’avais démasqué un traitre dans nos rang et avais dû lui hotter la vie, je n’aime pas trop cela mais les ordres sont les ordres. Et puis protéger les personnes qui ont en besoins c’est le plus important je trouve avant tout. Cette nuit était assez familière j’étais toujours en mission mais cette fois pour une question d’information. J’étais dans les ruelles les plus profondes de la cité et donc j’avais plus de chance de tombé sur des errants. Ce qui ne tarda pas, un jeune esclave étais en train de ce conduire certainement chez son maître, je me contentai de m’arrêter à son hauteur quand il baissa les yeux. Je me sentais toujours mal à ce moment, j’étais contre l’esclavage et être le supérieur n’étais pas un cadeau pour moi mais plutôt un moyen de plus de me rappeler à quel point j’étais un monstre. « Jeune homme relève la tête voyons, aurais tu entendu des cris dans les parages ? » un tueur n’était pas loin et il avait déjà fait au moins une victime à en croire les cries entendu plus tôt dans la journée. Quel boulot pourris je fais pendant que les autres sont tranquille à dormir au château. Il ne répondit pas mais se contenta de dire non de la tête avant de repartir dans la ruelle, à vrai dire les esclaves n’avait gère le droit de parler avec certains de leurs maîtres et donc cela devenait une habitude de parler dans le vide. Continuant mon chemin je ne pus m’empêcher de penser au faîte que je pourrais être dans mes appartements ou encore à passer la soirée avec Esfir à discuter comme on le faisait si bien ensemble. C’est alors que je perçu quelque chose, comme des bruits de pas étonnement rapide non loin d’ici, comme si on essayer de fuir quelqu’un où plutôt quelques chose. Entreprenant de suivre la route je tombai nez à nez avec une grande blonde à l’air fatigué et en même temps choqué. Elle devait courir depuis un petit moment déjà, je n’eux pas le temps de lui adresser la parole que derrière elles deux hommes apparurent. Je me mis à essayer de comprendre pourquoi une t’elle sauvagerie que de poursuivre à première vu une humaine. La chasse, je n’aimais vraiment pas cela et j’avais le pouvoir de faire respecter mes lois sur l’esclavage quand j’étais loin de César. L’un des deux hommes se tourna vers son camarade « On se fait le maigrichons ou on lui dit qu’il n’a rien vu ? ». Le second qui surement devait être le chef hésita un long moment en ayant plutôt l’air de m’observer et d’essayer de comprendre qui je pouvais bien être. « On tue la blonde et on se casse » après cela l’autre personnages ayant l’air déçu arrive à grande vitesse et attrapa la jeune fille par le cou en ayant en tête de la vider de son sang. Au moment où il essaya de planter ses crocs dans sa chair je fis un seul pas rapide vers lui, l’attrapa d’une main et lui arracha le cœur avec l’autre le laissant gisez sur le sol mort. « Vous êtes accusé de barbarie devant un noble et de tentative d’assassinat sur une esclaves ne vous appartenant pas... je vous condamne à la peine capital. » oui je voyais bien qu’il n’était pas ses maîtres sinon elle ne s’enfuirait pas comme cela. Il me regarda comme horrifié ayant totalement perdu son sourire. « Ne te fou pas de moi vampire errant ! » et ce jeta sur moi, je me mis donc à faire un demi-tour sur moi-même l’envoyant contre un mur et rapidement le rejoignit pour lui arracher la tête du corps. Une fois cela fais je me mis à regarder le ciel. « J’ai encore tué mais ils n’étaient pas bons, excusez-moi. » Une fois cela accomplis je me retournai vers la jeune fille qui venait d’assister à une double exécution et qui devait être quelques peu tourmenté. Après tout chaque vampires faisant preuve de barbarie devras disparaitre, je suis de cette avis. « Je suis Henry, je pense que tu aurais besoin de te reposer un peu assis toi dont » Je l’aidai à prendre place sur un banc non loin de la ruelle et me mis à ses côtes, il n’y avait personnes à cette heure et heureusement que j’avais étais dans le coin ou elle serait surement morte. Je n’allais pas l’embêter de question du moins pas encore, je resterais deux minutes pour être sûr que tout va bien et continuerais par la suite ma route. J’avais toute la nuit pour réussir de toute façon et le lendemain aussi, j’avais bien deux minutes. Je me mis à la regarder comme pour attendre qu’elle reprenne ses esprits ou tout simplement quelle me réponde.

« Il n'y a réellement ni beau style, ni beau dessin, ni belle couleur : il n'y a qu'une seule beauté, celle de la vérité qui se révèle. » ☠

Tout cela pouvait s’avérer être très choquant pour la jeune fille, seulement un jugement était un jugement et passer à côtes aurait été une faute impardonnable. Respecter les lois est quelque chose qui me tien énormément à cœur et surtout bien vu par notre roi. Elle reprenait ses esprits je pouvais le voir, quand elle me remercia j’eu un mince sourire. C’était bien rare dans un monde aussi moche de voir ce genre de chose, le fait d’aider une personne en danger pouvait montrer que j’avais encore une partie d’humain au fond de moi ce qui n’était pas pour me déplaire. Ce n’étais pas ma première fois, j’y prenais vraiment goût. Les bras croisés contre mon torse je me mis à réfléchir sur la cause de tout cela, ce fût un rapide diagnostic qui cependant fût très complexe à énumérer. Deux vampire qui ayant une envie de sexe ou de soif de sang pensaient pouvoir agresser la première esclave qui passait dans le quartier n’y vu n’y connu. Certains ne se gênait pas mais ils étaient la plus part du temps très vite repéré et punis. Cela me rappelle un crime de même pas une semaine, un vampire qui avait enfermé l’esclave d’un chef de famille. Il lui prenait son sang régulièrement, ce qui l’a trompé c’est l’odeur. Il n’a pas su la caché suffisamment et bon nombre vampire du château ont un très bon odorat. Ce genre d’histoire qui se répète sans cesse et qui viens chambouler notre quotidien pour laisse place à du sang, toujours du sang, rien que le sang. Une véritable obsession. Comme si c’est la seul chose qui revenait, les quatre lettres que je déteste le plus. Quoi qu’il en soit ma mission ici est tout autre, je ne pense pas que cette jeune fille sache quoi que ce soit sur tout cela alors peux être ne devrais pas tarder. Elle a l’air d’avoir bien reprise ses esprits ce qui me satisfait, je pourrais la ramener chez elle mais peux être que son maître l’attend, je me dois de respecter le souhait d’un maître envers son esclave si celui-ci n’enfreins pas les lois. Jetant un coup d’œil vers elle, elle ne tremblait plus du tout. Je pense qu’il est mal vu d’être aussi attentif à quelqu’un quand on est de la noblesse simplement personne ne viendra me sermonner ici et il est bien trop tard, ils sont à leurs occupations. « Tu ne risques plus rien » Je me mis debout et arrangea mes manches très soigneux avec moi-même et toujours très propre. Prochaine destination le parc le plus proche, ce monstre n’est pas très loin et il a peux être laissé derrière lui une victime, qui peux être a survécus et qui pourrait nous éclairer sur l’identité de la créature. Il est toujours plus facile de faire le rapprochement avec les familles des intéressés ce qui dans 75% des cas mène à l’assassin. Je commençais à vouloir rentrer, me retournant pour voir ce qu’elle comptait faire. « Il te faut quelques chose ? » Avant de prendre congé il était de politesse de poser ce genre de question et je n’échappais pas à la règle. J’avais il faut le dire hate de rentrer au château après cette fouille du parc car, oui la bas je peux enfin prendre le temps de me reposer et de penser à la façon dont j’allais quitter ce monde, il faut dire que c’est quelques chose qui n’arrive même pas à l’esprit d’un vampire alors que c’est tellement rapide. La mort peux venir tellement vite que cela en devient troublant, c’est moment de réflexion dans mes appartements me permettent de faire un bref compte rendu sur ce que je pense de moi. Je reniés depuis toujours ce que je suis-je n’est de cesse de le répéter et franchement j’aurais fait n’importe quoi pour rencontrer Esfir avec ma forme humaine en ayant laissé en dehors cette vie horrible. Un monde avec des humains et seulement des humains voilà ce que je voulais, bien entendu rare est la personne qui a ce qu’elle désire le plus au monde. J’aurais aimé aussi pouvoir élever un enfant et lui donner tout ce que mon père n’a pas pût me donner. Être un médecin n’excuse pas tout, il n’avait pas le droit de faire tout cela et j’aurais voulu rattraper tout cela avec un fils que l’on aurait pût me donner. Tous ses rêves qui ne verront jamais le jour mais qui me laisse comme toujours rêveur.