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 My Dear, Come to the Dark Side ☠ Dylan S. Devis.

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MessageSujet: My Dear, Come to the Dark Side ☠ Dylan S. Devis.   My Dear, Come to the Dark Side ☠ Dylan S. Devis. EmptyDim 5 Aoû - 10:50

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My Dear, Come to the Dark Side ☠

Assise élégamment sur mon sublime sofa de l'époque Victorienne de couleur vermeille avec des dorures en or véritable, de mes yeux vert émeraude je regardais avec intérêt le feu qu'un de mes esclaves venaient d'allumer dans ma cheminée aux ornements datant de treizième siècle. Les flammes qui dansaient et s'entremêlaient me permettaient de réfléchir et de me concentrer sur des sujets de la plus haute importance, et dans ces cas là il était impossible de me déranger sous peine de se voir arracher le cœur en moins d'une seconde.
Mais à mon grand damne, aujourd'hui je n'arrivai guère à penser à autre chose, mon esprit était tellement occupé et dérangé par tous les évènements qui s'étaient succédé la nuit dernière: Lorcan qui venait de révéler qu'il avait vus dans l'esprit d'un de ses esclaves un visage aussi semblable que celui de son ancienne bien aimée, , qui avait éveillé en lui une once d'humanité, ce qui m'inquiétais car si il retrouvait cette fameuse jeune femme il redeviendrait aussi doux qu'un agneaux, je me devais donc de la trouver avant lui pour l'exterminé; Esfir qui se demande pourquoi je parle souvent à sa Succube sans sa présence, tout simplement car Roxanne à le don de m'énerver, pourquoi tournes-t-elle autour de MON Jude?! Heureusement qu'elle appartient à ma sœur bien aimée car sinon elle serait déjà morte à l'heure qu'il est; puis il y eut encore une très violente dispute entre Jude et moi à cause de notre jalousie maladif qui fait que nous ne supportons absolument pas que l'autre aille voir ailleurs, et si c'est le cas nous faisons en sorte de nous venger, un cercle vicieux duquel nous ne pourrons jamais sortir. Suite à tout cela, je fus tellement sur les nerfs que j'avais détruit bon nombre d'objets qui se trouvaient dans mes quartiers au point où il y avait des débris un peu partout, mais vus que de faire voler des vases et autres éléments fragiles ne m'avait pas calmer, j'avais décidé de m'en prendre à mes esclaves. Ils étaient venus chacun leur tour en mes lieux, l'angoisse et la peur les envahissaient ce qui faisait accélérer leur rythme cardiaque, ce qui me plaisait tant! En jouant avec leurs peurs les plus profondes, je les avais fait souffrir de la façon la plus inhumaine qu'il soit et qui me correspond tellement bien, avant d'abréger leurs souffrances en leur portant le coup fatale. Bien entendu je fis bien attention à ce qu'aucunes gouttes de sang ne tombent sur mes luxueux tapis en les vidant entièrement les uns après les autres. Tuer était souvent un très bon remède qui me permettait d'oublier une nuit difficile, mais malgré cela je ne pus fermer l'œil car mon esprit était toujours occupé, et en particulier quant au Clan des Damnés où nous n'avons que trop peu de partisans... En sirotant par une artère un jolie petit cœur tout chaud, j'appelai une de mes esclaves les plus fidèles qui ne fut point horrifié par le spectacle morbide qu'offrait ma chambre, car depuis le temps elle était habitué, « Va me chercher Dylan Sandy Devis, tu sais où elle loge, dépêches toi et dis lui que cela est de la plus haute importance et qu'elle n'as pas intérêt à traîner! », la jeune femme s'inclina pour me faire comprendre qu'elle y allait de suite avant que je ne la rappel à l'ordre, « Et va trouver quelqu'un pour débarrasser ces corps de ma chambre, veux-tu? ». Puis, après avoir refermé mon immense porte elle partit en courant pour ne pas perdre de temps, car elle savait très bien que la patience est moi n'étions pas du tout amies.

Uune fois que j'eus terminer de siroter mon cœur, je le lançais dans les mains d'un des esclaves qui avait été choisis pour nettoyer mes appartements. Ce dernier semblait effrayé par le résultat de ma colère, mais ayant trop peur de se faire lui aussi tuer il se dépêchais à vitesse Humaine, donc très lente, pour jeter ses corps aux chiens dans la cours qui se régaleront.
En attendant, la venue de ma création je décidai de changer de tenue car depuis tout à l'heure j'étais en nuisette des plus sexy certes mais ne montrant guère le sérieux de ma future conversation avec Dylan. Me rendant dans mon immense dressing où les vêtements de toutes les époques et de toutes les grandes griffes du monde entier étaient réunis. Etant une véritable accro au shopping et incontournable sur la mode, je mettais un point d'honneur à obtenir les tous derniers arrivages de la saison. Point commun que je partage avec ma petite sœur, Esfir, avec qui je dévalise toujours les magasins en utilisant l'argent du royaume bien entendu. Donc, je choisis de prendre une jolie robe noire très moulante qui descendait jusqu'aux genoux et avait un sublime décolleté avec quelques petites dentelles autour de ma poitrine et au niveau des aisselles. Celle-ci datait depuis deux siècles et me mettait toujours autant en valeur tout en me donnant un air des plus sérieux. Pour compléter la panoplie, je m'attachais mes longs cheveux bruns en un chignon impeccable laissant toutefois une mèche parcourir mon front de gauche à droit. Des escarpins de 22 centimètres vinrent terminer ma transformation de femme fatale à femme d'affaire. Je ne me maquillais que très peu, ne voulant pas non plus être trop vulgaire, même si Dylan depuis le temps m'avait vus sous toutes les coutures.
Ce petit changement à vitesse vampirique ne me prit que six secondes, puis je retournais à ma place devant la cheminée, ignorant la présence de l'esclave qui avait du mal à soulevé les corps sans vie.
Après avoir patienté une bonne dizaine de minute, je sentis le fragrance de ma création qui parcourait les couloirs en compagnie de l'esclave qui était essoufflé par sa course. Restant à ma place, j'attendais que l'on daigne bien frapper à ma porte déjà ouverte à cause l'évacuation des morts qui était plus que lente. « Votre Majesté l'Impératrice, voici Mademoiselle Dylan Sandy Devis comme vous l'aviez demandé. », me dit mon esclave d'une fois solennel après avoir toqué deux fois à ma porte. Après cela elle me demanda si elle pouvait prendre congé, d'un signe de la main je lui répondis négativement avant de lui ordonner d'aider l'autre incapable . « Fais en sorte d'aider à évacuer tes congénères, car apparemment l'autre vermine est d'une lenteur qui ferais penser qu'il ne tient guère à la vie. » elle me salua avant de porter un nouveau corps avec son collègue esclave.
Tournant la tête vers Dylan qui était resté dans l'entrouverture de la porte, je lui fis un sourire qui valait rassurant avant de le dire gentiment . « Entre donc Dylan, viens t'assoir près de moi. Excuse moi pour le désordre mais apparemment les esclaves d'aujourd'hui ne sont pas aussi rapide qu'à une certaine époque, n'est ce pas? », je lui fis un clin d'œil complice en rapport au moment où elle était elle-même à mon service il y a plusieurs années de cela, une Humaine exemplaire, dévoué et qui obéissait aussi rapidement que l'éclair, un modèle pour ces bons à rien qui ne méritent qu'une seule chose: quitter ce monde.


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MessageSujet: Re: My Dear, Come to the Dark Side ☠ Dylan S. Devis.   My Dear, Come to the Dark Side ☠ Dylan S. Devis. EmptyMar 7 Aoû - 10:49

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Satyne E.Bridgestone & Dylan S. Devis
« My Dear, Comme to the Bark Side ☠»

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Dylan revenait d'une petite course en ville, n'ayant pas voulu prendre d'esclave, elle devait faire le sale boulot toute seule. Enfin, quelques fois, elle regrettait de ne pas en avoir fait plusieurs, elle pourrait alors avoir plus de temps pour elle etc... mais non, elle n'était pas comme ça. En vérité, elle avait été esclave tellement longtemps, même si elle s'était fait remonter les bretelles que très peu de fois, qu'elle ne voulait pas qu'une humaine soit obligée de faire ça pour elle. Elle avait tout le temps qu'elle voulait, de toute façon. Elle avait les bras endoloris, à cause de ses deux gros sacs qu'elle tenait fermement du bout des doigts. Elle les posa alors sur son divan qui était simple, il était noir en angle, pas très esthétique ni coûtant, mais il était confortable et c'était le principal. Elle passa devant la fenêtre, où elle resta quelques instants à admirer le futur lever de soleil. Quand elle était encore esclave de Satyne, c'était à cette heure-ci que tout commençait. Il fallait toujours être au top avec elle, et elle l'était. D'ailleurs, elle était heureuse de voir que sa maîtresse était fière d'elle. Elle ne demandait que ça. D'ailleurs, elle l'avait transformé, même, elle lui avait « sauver la vie », si on peut dire ça comme ça. Elle secoua la tête, essayant de faire partir ses pensées et se concentra sur les deux sacs qu'elle venait de poser sur le canapé noir. Elle ouvrit le premier où plusieurs vêtements étaient pliés à l'intérieur. Elle revenait de faire un peu de shopping. Elle n'aimait pas vraiment ça, mais elle aimait avoir de nouveaux et beaux vêtements. Elle fouilla alors dans le premier sac, mais ne trouva pas le jean qu'elle avait rêvé de porter depuis tout ce temps. Elle ouvra alors le deuxième, il était là. Elle le pris alors, accompagné d'un haut qu'elle avait jugé bon d'associer avec, et se dirigea vers sa petite penderie, où elle entreprit de ranger toutes ses nouvelles affaires. Sa maison n'était pas très grande, et était situé pas très loin de chez les Brigestone, au cas où Satyne ou un autre membre de sa famille aurait besoin d'elle. Les couleurs de la maison de Dylan étaient sombres, et elle aimait bien cette ambiance. Une fois finie de ranger tout, elle se dirigea vers la salle de bain, prenant au passage les affaires qu'elle avait préparé, et s'habilla. C'était un jean troué de par tout, il était magnifique et avait l'air salit. Son haut, lui, était très lâche, qu'elle nouait d'un neuf autour de la taille, laissant juste apparaître un bout de son ventre et son nombril. Vu que le tee-shirt, vu du haut, ne cachait pas assez sa poitrine, elle enfila une brassière noire, et le tour était joué. Elle passa que quelques minutes dans la salle de bain, se coiffa rapidement, laissant ses cheveux bouclés, lâche et se maquilla les yeux comme tous les jours. Elle se parfuma par la suite. Un petit coup d'oeil dans le miroir pour voir le résultat et hop, elle avait déjà quitté la pièce, reprenant possession du salon. Elle prit place sur le divan et se mit à réfléchir, regardant la décoration de sa maison qu'elle connaissait par coeur. Qu'aller-t-elle faire aujourd'hui ? Elle n'en savait rien. Elle n'avait pas envie de faire grand-chose, d'ailleurs, elle se sentait tellement bien chez elle.

Toc, toc, toc.
Elle entendit quelqu'un frappé rapidement à sa porte, la respiration haletante et bruyante. Elle se dirigea alors vers celle-ci et l'ouvrit. Elle reconnue tout de suite la jeune femme, le teint blafard, les cheveux en pagaille, des traces de sang un peu partout sur son corps, la vu comme horrifiée. C'était une des esclaves de Satyne. Elle la salua d'un hochement de tête et l'esclave lui sourit légèrement, sachant que Dylan était l'une des plus gentilles vampire de cette île. L'une des seules dont elle n'avait pas peur. C'était un peu pour ça aussi que Dylan n'avait pas d'esclave, personne ne la craignait, elle était si.. naturelle. L'esclave la sortie de ses pensées. « Bonjour, mademoiselle Dylan, désolé de vous déranger. Mais, madame la Majesté Impératrice souhaite converser avec vous, elle m'a dit de venir vous chercher à vos appartements, si vous voulez bien me suivre.. » Elle se décala alors de l'embrasure de la porte, laissant le champ libre à Dylan pour passer, ce qu'elle fit. Voilà ce qu'elle allait faire aujourd'hui, elle allait passer la journée avec Satyne. Elle l'aimait beaucoup, même si elle la trouvait parfois un peu cruelle, les opposés s'attire. Elle se demandait alors pourquoi Satyne voulait lui parler, c'était sûrement important, pour qu'elle ne l'ait pas prévenu avant. Elle hocha les épaules, elle verrait bien une fois sur les lieux.

Le chemin n'était pas très long, mais il faisait bien une dizaine de minutes, surtout que Dylan marchait deux fois plus vite que l'humaine, elle lui criait sans cesse de l'attendre. Une fois devant la grande demeure des Bridgestone, elle ne pu s'empêcher de regarder une nouvelle fois avec admiration la devanture. Elle la connaissait par coeur, mais elle était si belle qu'elle devait être regardée à chaque fois. L'esclave la pressa alors et elles passèrent toutes les deux près de la cour, où un des esclaves de Satyne, traînait avec difficulté, un corps inerte, sous les yeux affamés des chiens qui ne se trouvaient pas loin de là. Satyne avait toujours fonctionné comme ça. Une fois ses victimes vidées de leur sang, elle demanda à un esclave de les jeter au chien, comme ça, elle n'avait pas à faire nettoyer les dégâts, et l'odeur de décomposition n'avait pas lieu d'être. Ingénieux tout ça, il faudrait qu'elle y pense, peut-être, un jour. Elles entrèrent et marchèrent le long des couloirs de la grande demeure royale, pour se rendre, sûrement, à la chambre de Satyne.

Elles se trouvèrent devant la porte, qui était déjà ouverte, sûrement pour débarrasser les corps de la chambre, l'esclave toqua et Dylan pu voir alors Satyne, vêtue d'une robe noire très moulante, descendant jusqu'aux genoux, décolleté. Elle connaissait bien cette robe, elle l'avait mis beaucoup de fois, et elle était magnifique, tout comme celle qui la portait. Elle regarda un instant le reste de sa tenue, ses escarpins, sa coiffure, son maquillage, puis posa un oeil sur le corps, qui allait bientôt être débarrassé d'ici. « Votre Majesté l'Impératrice, voici Mademoiselle Dylan Sandy Devis comme vous l'aviez demandé. » après avoir prononcé ces quelques mots à l'égard de sa maîtresse, elle demanda, d'un signe de main, si elle pouvait prendre congés, Satyne répondit négativement. « Fais en sorte d'aider à évacuer tes congénères, car apparemment l'autre vermine est d'une lenteur qui ferais penser qu'il ne tient guère à la vie. » Elle nous salua alors et aida son camarade à porter le dernier corps hors de la chambre. Satyne tourna alors la tête vers Dylan, qui elle, était restée dans l'ouverture de la porte. Elle lui fit un sourire qui se voulait rassurant et Dylan lui rendit. « Entre donc Dylan, viens t'assoir près de moi. Excuse moi pour le désordre mais apparemment les esclaves d'aujourd'hui ne sont pas aussi rapide qu'à une certaine époque, n'est ce pas? » Dylan comprit de suite son allusion et son petit clin d'oeil, elle se rappela alors quand c'était elle à son service et un petit sourire déforma ses lèvres. Elle prit place aux côtés de sa créatrice. « Ne t'en fais pas pour le désordre, ce n'est pas grave, c'est vrai qu'il est difficile d'en trouver des bons.. Tu voulais me parler ? »

© Chieuze


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MessageSujet: Re: My Dear, Come to the Dark Side ☠ Dylan S. Devis.   My Dear, Come to the Dark Side ☠ Dylan S. Devis. EmptySam 1 Sep - 15:17

    L a colère, la haine, la rancœur, la fourreur... Tellement de sentiments négatifs qui pour le plupart sont directement liés à autrui, dans le thème du relationnel. Bon nombre de médecins, psychologue ou autre spécialiste du comportement des Humains vous dirons que ce genre de ressentiment à pour cause une certaine jalousie refoulés qui ressort sous forme d'agressivité, ce qui exprime pleinement notre humanité. Tant d'années de recherches et d'études pour nous sortir ce genre de foutaise? Cela ne m'étonne guère de ce race inférieur et bonne à rien! Si seulement ils savaient tous autant qu'ils sont que nous, Vampires existons et que face à nous, race très développé qui plus est surpuissante et immortelle, ils ne sont que des simples larves voir des jouets que nous manipulons à notre guise juste par amusement ou par ennuis.
    Je n'ai jamais vraiment eu une très grande estime pour ces marionnettes dont l'existence est pire qu'insignifiante, et cela se reflète dans la manière dont je m'occupe de mes chers petits esclaves. Oui, des esclaves c'est le terme que nous employons pour qualifier les malchanceux qui arrivent sur notre île suite à un accident de mer ou de l'air, ces derniers sont directement capturés soit par nos Succubes et Incubes usant de leur charme ensorcelant, soit par les gardes de Lorcan, qui nous les distribue les uns après les autres en fonction de nos préférences sur le groupe sanguin ou le caractère. Etant très proche de mon petit frère, je suis en quelque sorte une privilégié car j'ai approximativement quatre nouveaux esclaves par semaines. Cela fait beaucoup dites-vous? Cela est tout à fait légitime, car étant une maîtresse très strict, froide, sans cœur, inhumaine, violente et insatisfaite, autant vous dire qu'en ma compagnie ces pauvres petits Humains apprennent rapidement la définition du mot "enfer". Cruelle? Non, ces choses n'ont que ce qu'ils méritent car après tout ils ne sont là que pour satisfaire notre soif de sang quotidienne, et accessoirement nous servir de martyre, souffre-douleur, punching-ball, ou d'amusement. Etant très à cheval sur le règlement, je ne supporte guère que l'on me manque de respect ou que l'on contourne la loi car après tout c'est moi qui la rédige, donc c'est comme si l'on s'attaquait directement à ma personne, ce qui m'insupporte au plus haut point! Dans ces cas là, lorsque mes esclaves osent faire le mur, me tenir tête, essayer de s'enfuir ou de m'affronter, autant vous dire qu'ils passent un sale quart d'heure; car je ne suis pas du genre à arracher leur si petit et délicieux cœur et basta c'est terminé! Non, pour ma part je préfère les faire souffrir en les maltraitant, en les cassant des os, les poignardant dans les jambes et les bras, en les frappant, les envoyant voler contre les murs, les drogués, etc. Je ne suis pas du genre tendre, préférant les voir mourir petit à petit devant mes yeux, ou attendre qu'ils me supplient d'abréger leurs souffrances.
    Voilà à peu près ce qui c'était passé en ce début de soirée dans mes quartiers, voyant que mes plans diabolique pour renverser mon aîné risquaient de tomber à l'eau, je ne pouvais retenir cette rage enfouie au fond de moi. La meilleur solution pour me calmer fut d'anéantir un par un cinq esclaves choisis au hasard dont une femme enceinte, un garçon d'une douzaine d'année et un esclave qui avait été à près serviable depuis son arrivé deux heures plus tôt. Un véritable carnage, enfin presque car lorsque je tue, je fais cela d'une façon propre et impeccable pour ne pas salir ou tâcher de précieux objets datant de plusieurs siècles déjà. Une fois que mes nerfs furent passés, j'eus une idée en tête ce qui m'amenais à appeler une de mes plus fidèles esclaves en lui demandant d'aller me chercher Mademoiselle Devis au plus vite, tandis qu'un second moins que rien était en train d'évacuer les corps de ma chambre.
    En attendant, j'ignorai royalement l'autre incapable qui avait du mal à transporter les cadavres de ses congénères, de plus il avait l'air malade rien que de voir le sort que je leur avait réservé. Voyant qu'il n'allait guère très vite, et pour l'apeurer encore plus je le menaçai de lui réserver le même sort « Je sais que vous autre Humains vous n'êtes que de pauvres petites merde incapable et ignorant, mais si tu continues à ce rythme tu risques de rencontrer la faucheuse plus vite que tu ne le pense. », ses yeux s'écarquillèrent de peur et je puis même voir une larme d'effroi couler le long de sa joue, son rythme cardiaque s'accéléra d'un coup et par la suite il essaya tant que mal à accélérer la cadence. Cela m'amusait plus qu'autre chose de constater l'emprise et le monopole que j'avais sur eux et plus particulièrement sur leur vie si fragile.

    Quelques minutes passèrent, pendant lesquelles j'eus largement le temps de me changer ainsi que de me servir plusieurs verres de Whisky, avant que ma plus fidèle esclave que j'envisageai de transformer sous peu ne revienne avec cette chère Dylan.
    Je pouvais me montrer horrible et cruelle envers mes esclaves, mais quelque fois lorsque ces derniers sont discret, serviable, loyaux, aimant envers ma personne, assez pervertie par ma personne, détruit intérieurement au point de ne plus avoir d'humanité, et près à devenir un Vampire sanguinaire comme je le suis; alors dans ces rares cas il m'arrive de leur faire grâce d'une morsure dans le cou, mon venin se rependant dans leur organisme, causant plusieurs jours de douleurs intenses, les transforme peu à peu en des êtres de la nuit aussi fidèle et respectueux envers moi qu'ils ne l'étaient auparavant. Ces derniers sont en quelque sorte mes "enfants", je leur porte une certaine attention et fais en sorte de leur procurer la sécurité et le confort dont ils auront besoin durant leur vie éternelle, me montrant aussi gentille et bienveillante envers eux je suis prête à défendre leur vie non pas au péril de la mienne mais prête à faire le maximum. Et pourquoi cela? Eh bien car, contrairement à certains de notre espèce, je ne fais guère ce cadeau d'immortalité à n'importe qui tous les deux jours, j'attends vraiment de voir et de trouver LA personne qui correspond à mes attentes, ce qui fait qu'en 1 300 ans d'existences je n'en ai transformer que six, dont un fut sauvagement assassiné.
    Dylan, cette si charmante jeune femme, en fait partie depuis maintenant soixante-trois années. Etant auparavant une esclave des plus parfaite, je lui avais sauvé la vie en lui permettant de devenir une Vampire suite à une attaque d'un être de la nuit que j'avais tué de mes propres mains. Depuis ce jour, je m'étais occupé de son éducation, lui apprendre à se contrôler et ne pas attaquer les Humains et esclaves d'Heartkiller. Maintenant, cette jeune m'est très fidèle, m'apprécie et répond toujours présente lorsque je la demande tel aujourd'hui.
    Après avoir donné mes ordres aux deux incapables se trouvant dans mes quartiers et qui essayaient tant bien que mal de déplacer le dernier corps, j'invitai ma création à rentrer à venir s'installer près de ma personne sur mon luxueux sofa face à ma cheminée dont les flammes dansaient en alternant entre le jaune, rouge et orange. « Ne t'en fais pas pour le désordre, ce n'est pas grave, c'est vrai qu'il est difficile d'en trouver des bons.. Tu voulais me parler ? » , je ne répondis pas de suite, préférant me rendre silencieusement vers mon bar non loin de là où je me servis un grand verre de Scotch glacé. J'ai toujours adoré boire surtout des alcools très fort et ayant du caractère, de plus grâce à ma condition de Vampire je ne pouvais connaître l'état d'ébriété. « Effectivement les temps changent, mais je sais toujours aussi bien leur faire comprendre qui est le maître en ces lieux. Souhaites-tu un verre Dylan? J'ai tout ce qu'il faut: alcool fort, doux ou même tous les groupes sanguins encore chaud car fraîchement récoltés. » , en disant cela je voyais mes deux esclaves qui venait tout juste de sortir le dernier corps, l'un d'eux referma soigneusement la porte derrière lui me laissant tranquille et seule en compagnie de ma création. Une fois que cette dernière m'eut répondu, je lui servis ce qu'elle demandait avant de retourner m'assoir à côté d'elle en terminant cul sec mon verre, « En parlant d'esclave, tu es sûre que tu n'en veut pas un? Cela te faciliterai la tâche et tu aurais plus de temps pour toi tu sais, et en plus le privilège d'avoir un garde-manger à proximité. » Rigolant de ma propre vanne, je la laissais encore un peu mariner avant de m'entretenir avec elle d'un sujet de la plus haute importance et secret au point où je devais être certaine de sa volonté et de la noirceur de son âme.


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