Sujet: Anastasia ○ As days go by the nights on fire ! Lun 3 Sep - 15:36
•••••••••••••••••••
Hello guys! Moi c'est B'choux, mais connu sur le forum sous le prénom de Lorcan le sanguinaire haha , je suis du genre féminin et j'ai 18 ans!J'ai connu Heartkiller grâce à mon DCdelamortquitue, et je le trouve toujours aussi magnifique !!. Vous voulez savoir si vous pouvez faire de mon personnage un prédéfini si jamais je suis supprimé(e)? Et bien la réponse est: NON Sinon, j'ai bien lu le règlement, et le code à retrouver est: OK par Jewel ♥
Anastasia Katherina Blackstones
« SI UN DIEU EST DISPOSÉ À EMPÊCHER LE MAL, MAIS QU’IL EN EST PAS CAPABLE, ALORS IL N’EST PAS TOUT-PUISSANT. S’IL EN EST CAPABLE MAIS PAS DISPOSÉ À LE FAIRE, ALORS IL EST MALVEILLANT. S’IL N’EN EST PAS CAPABLE NI DISPOSÉ À LE FAIRE, POURQUOI L’APPELLE T-ON UN DIEU ? »
Dance without you ❖ Skylar Grey
Je m'appelle Anastasia Katherina Blackstones mais mes amis me surnomment Anya ou princesse - en référence à la princesse Anastasia Romanov.. Je suis né(e) à Jackson ville le 27 août 1989 et de ce fait j'ai donc 23 ans. J’exerce le métier de escort girl/stip teaseuse et étudiante en psycho et côté cœur je suis libre comme l'air. Côté orientation sexuelle, je suis hétérosexuelle. On dit de moi que je suis plutôt Dynamique, hyperactive, charmeuse, joueuse, obstinée, insouciante, inconsciente, lunatique, susceptible et que je n'ai peur de rien . J'appartiens au groupe des esclaves et il paraît que je ressemble à Amber Sexy Heard.
▬ comment considérez-vous la famille Bridgestone ? avez-vous une relation spéciale avec eux ?
Comment je considère la famille Bridgestone ? Je ne suis que la servante, esclave, chose – appelez ça comme vous voulez – de César Bridgestone, le roi. Et je ne pense pas pouvoir me plaindre, car je pense être assez bien tombée surtout lorsqu’on voit comment Lorcan et Satyne traitent leurs esclaves. Il faut dire que j’ai été assignée au roi et je fais ce que je peux pour le servir le mieux possible. Certes il n’est pas toujours tendre, mais je ne le considère pas comme un monstre assoiffé de sang. C’est déjà ça, croyez moi.
▬ que pensez-vous de la condition des esclaves/humains sur l'ile ? pour ou contre leur traitement ?
Vous savez, je pense qu’on aurait pu être des poches de sang vivantes pour eux, mais ils se servent de nous comme esclaves, sincèrement ça ne me pose pas de problèmes, car je connais ça, de part mon travail, alors ce n’est que la routine pour moi – évidemment c’est différent mais nous sommes « nourris », logés, habillés, donc je ne pense pas que l’on puisse beaucoup se plaindre. Enfin, je ne sais pas trop comment expliquer ça… certes c’est de l’esclavagisme pur et simple mais ça aurait pu être pire sincèrement. Nous aurions pu finir éventrés, vidés de notre sang et j’en passe. Donc bon, quand on y pense, ça va.
▬ comment trouvez-vous heartkiller ? la ville en elle-même, son organisation, son climat, ses habitants.... ?
Heartkiller est une grande ville et sincèrement je ne m’attendais pas à atterrir sur une île si grande et peuplée. J’ai donc été surprise. On y trouve beaucoup de choses, certes il manque de restaurants mais nous ne sommes pas là en vacances, nous sommes sur la planète des vampires – qui ne se nourrissent pas de nourriture humaine. C’est une belle ville.
▬ avant d'arriver sur HK, quelle était votre opinion sur les rumeurs englobant le triangle des bermudes ?
J’ai toujours eu peur du triangle des Bermudes. Etant fan des documentaires, je suis toujours tombée sur ceux parlant de ce triangle tueur. Et à chaque fois ça me foutait la frousse. Et lorsque je monte dans un avion, je prie toujours pour que nous ne passions pas par ce foutu triangle. Mais manque de pot pour moi, tout ne s’est pas passé comme je l’espérais. Mais qui aurait cru qu’une île abritant des vampires se trouverait au centre de ce triangle ?
▬ craignez-vous la furie des derniers levinson ? d'ailleurs, qu'évoque pour vous la chute du roi allan levinson ?
Sincèrement, je me fous royalement de tout ça. Je ne sais même pas qui est ce Levinson, donc pour tout vous dire, je n’ai pas de soucis à me faire, mais le devrais-je ? Sachant que je suis l’esclave du roi, peut-être devrais-je avoir les chocottes mais pour l’instant, j’ai la tête à autre chose.
▬ et enfin, question piège, que pensez-vous des adminettes ? Qui est la plus folle ? La plus sexy ? La plus chieuse ? dites-nous tout...
Bon pour parler des adminettes de la mort qui tue de HK, hé bien elles sont géniales. Votre forum est parfait les filles, bravo encore une fois. La plus folle est Rozen, une accro à la CB celle là :D Mais c’est bien d’être proche de ses membres. Il n’y a pas de plus jolie, car vous êtes toutes les deux des bombes sessual :D Enfin bref, j’vous kiffe sa mère ♥
Dernière édition par Anastasia K. Blackstones le Lun 3 Sep - 16:49, édité 2 fois
Sujet: Re: Anastasia ○ As days go by the nights on fire ! Lun 3 Sep - 15:36
•••••••••••••••••••
votre histoire
« Ces plaisirs violents ont des fins violentes. Dans leurs excès ils meurent tels la poudre et le feu que leur baiser consume. »
« Anastasia, qu’est-ce que tu fous encore ? » grognement sourd émanant de mon père, affalé sur son canapé. Quant à moi, allongée par terre derrière lui, je lui répondis : « Je chasse l’ours brun… » Tapis sur le sol tel un lionceau guettant sa future proie. Je me mis alors à lui sauter dessus, rugissant tel le fauve que je n’étais pas – quoi que, j’avais la tignasse blonde du roi de la savane. Mon père me choppa au vol et me fit basculer en arrière pour me faire des chatouilles et me mordre doucement l’épaule. Mon rire dû réveiller le quartier. « Anya, ne t’attaque jamais à plus gros que toi. Tu risquerais de te faire manger toute crue… et au final c’est l’ours brun qui chasse le lionceau. ». Mon père et moi avions toujours été proches l’un de l’autre – il faut dire que je passais mes journées avec lui, nous n’avions pas assez d’argents pour me mettre à la garderie. Jusqu’au jour où cette saloperie de Katalina nous le vola. Une ukrainienne ou je ne sais trop quoi, qu’il avait rencontré un soir de décembre où il avait encore été rond comme une queue de pelle. Il était parti avec elle, comme ça, sans dire un mot, et nous avait appelé un an et demi après pour nous demander s’il pouvait rentrer à la maison. Je haïssais mon père et pour tout vous dire, à présent, je me fichais de savoir s’il était mort ou vivant…
J’ai donc grandis avec ma mère, qui a fait ce qu’elle a pu pour m’éduquer le mieux possible. J’avais sept ans lorsque mon père a décidé de quitter la maison pour vivre de nouvelles aventures, il était donc difficile pour ma mère de concilier travail et foyer. Les trois quarts du temps, après l’école, je me retrouvais seule chez moi, tentant de faire du mieux possible le ménage et mes devoirs ainsi que le repas du soir de temps à autre. Lorsque ma mère rentrait, elle était exténuée et je ne voulais pas la déranger. Mes relations avec ma mère ont été plutôt compliquées, nous ne nous parlions pas, elle ne pouvait s’occuper de moi et nous ne faisions jamais rien ensembles. Mais malgré cela je savais qu’elle m’aimait autant que je l’aimais. Après tout, il ne restait plus que nous deux dans cette famille.
C’est à l’âge de huit ans que j’ai commencé à danser, une nouvelle échappatoire qui me permettait d’oublier la réalité, de devenir cette ballerine que j’avais toujours rêvé d’être. Je dansais tous les soirs de la semaine – sauf samedi et dimanche bien sur. Je me rendais à l’institut de danse de Jackson ville, seule, après les cours et j’attendais que ma mère vienne me chercher. C’était simple, mais ça me remplissait de joie. Mais un jour, j’ai fais une mauvaise chute, j’ai dû être amené à l’hôpital en urgence et j’ai subit une lourde opération de la colonne vertébrale. N’ayant pas assez de sous auparavant, ma mère ne m’avait jamais faite contrôler et il s’avérait qu’une excroissance avait grandie dans mon dos, et aurait pu me paralyser si je n’avais pas fait cette mauvaise chute. Je suis restée plus de deux mois à l’hôpital et à ma sortie ma mère m’a annoncé que je n’allais plus pouvoir danser avant deux ans. Je crois que c’est à ce moment que je me suis rendu compte que la danse me permettait de vivre et d’avancer dans la vie. Mais c’était soit ma santé, soit la danse. Bien évidemment j’ai choisi ma santé – enfin je n’avais pas vraiment le choix, entre nous. Ma scolarité s’est déroulée le plus parfaitement possible, j’étais la première de ma classe et j’apprenais vite, j’aimais ça. Mais avec ma mère nous avons déménagé à Shreveport, j’ai perdu tous mes amis, mais ce n’allait être que bénéfique, changer d’air, de paysage, voir du pays. Et puis cette maison me rappelait beaucoup trop de choses négatives.
Shreveport ou ville de notre nouveau départ. Nous habitions dans un petit appartement très cosy et bien agencé. Nous étions heureuses. L’école de Shreveport était parfaite et je me fis des amis dès mon arrivée. J’avais dix ans et j’entrais à peine au collège. Je ne manquais pas de motivation et je ne cessais de travailler d’arrache pied. Je voulais réussir, grandir le mieux possible pour pouvoir avoir une famille qui ne manquerait de rien, je ne voulais pas faire vivre à mes enfants ce que j’avais vécu étant petite. Non que j’ai manqué de quoi que ce soit, mise à part un père, mais je voulais donner aux enfants que j’aurai plus tard, une vraie famille unie et de l’amour. Surement ce que je n’avais pas eu étant enfant.
C’est huit ans plus tard que tout à changé, lors de mes dix huit ans. D’abord j’ai passé le permis moto contre l’avis de ma mère qui me voyait plus dans une petite voiture, à l’abri de tout danger, plutôt que sur un bolide instable et bruyant. Mais ce n’était pas ce que je voulais. Je voulais sentir l’adrénaline pénétrer mon corps par tous mes pores, je voulais avoir peur, sauf que première sortie, premier accident. Mais ce n’était pas de ma faute ! Une voiture ne m’avait pas vue arriver et m’avait frappée de plein fouet. J’ai donc finit ma course contre un mur, la cheville fracassée. Ce qui m’a valut de nouveau un mois d’hospitalisation et une broche à la cheville en cadeau. Magnifique. Et durant ce long mois ma mère ne cessa de me rabacher que ma vie partait en décrépitude, qu’il fallait que je me ressaisisse, que rien n’allait plus. Elle me prenait littéralement la tête. Voulant me dicter ma vie, comment j’allais devoir faire ne sortant de ce fichu hôpital, m’inscrivant dans une nouvelle école et tout le toutim. Puis un jour elle m’annonça, toute contente d’elle, qu’elle avait basardé ma moto. Cette moto qui m’avait fait me sentir moi-même, ne se rendait-elle pas compte qu’elle régissait ma vie, et qu’elle empiètait sur mon espace vital ? Je l’aimais autant que je la haïssais. Comment avait-elle pu me faire une chose pareille ? Je crois que ce jour là je suis entrée dans une rage folle, que j’ai tout envoyé valser et que ce fut le moment où ma vie changea du tout au tout.
En effet, quelques jours plus tard je sortais de l’hôpital, puis quittais l’appartement que je partageais avec ma mère pour déménager à Los Angeles. Quoi de mieux que de changer de ville pour commencer une nouvelle vie ?! C’est donc à Los Angeles que ma vie de strip teaseuse commença. J’aimais danser, et montrer mon corps ne me dérangeait pas, je me foutais d’être mal foutue ou non – en tout cas j’avais l’air de plaire aux clients car à peine un an plus tard, mon patron me demanda de devenir Escort girl. Attention, une Escort girl n’est pas une putain comme les autres. C’est une pute pour riche. C'est-à-dire que mes seuls clients n’étaient que des hommes fortunés et prêts à verses des sommes incommensurables pour partager mon lit.
Puis un jour, j’en eu marre de Los Angeles, et voulu partir pour la Russie, découvrir un peu le monde. Mais je ne sais pas ce qui se passa. Pourquoi le Stewart décida de passer par là avec son avion sachant que c’était risquait. Moi qui craignais le triangle des Bermudes, on passa pile au milieu, comme si tout cela avait été fait exprès, juste pour qu’on crève tous. Mais au lieu de mourir, je me réveillais sur la plage, après un violent crash aérien. Cette plage jonchée de déchets et de restes de corps humains avait visiblement vécu des jours meilleurs mais également des jours pires car on pouvait encore apercevoir la carcasse rouillée d’un ferry. Rien de bien rassurant.
Dernière édition par Anastasia K. Blackstones le Lun 3 Sep - 20:13, édité 3 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Anastasia ○ As days go by the nights on fire ! Lun 3 Sep - 15:54
Sujet: Re: Anastasia ○ As days go by the nights on fire ! Lun 3 Sep - 17:01
RHAAAA NE ME REFAIS PLUS JAMAIS CA - me parler avec Jewel, parce que j'ai juste envie de tomber dans les pommes là. #Essaie de respirer comme il faut.# MEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEERCI (ah mamaaaaaaaaaaaaaan je l'aime ce mec...)
Mouhaha, je t'aime comme tu es Rozy' et étant une accroc de la CB aussi, je ne peux que t'aaaaimer à la folie. Et c'est bien d'être la plus folle :D
Invité Invité
Sujet: Re: Anastasia ○ As days go by the nights on fire ! Lun 3 Sep - 17:04
Je le refais encore une fois C'est amusant de voir ta réaction
Citation :
OMFG AMBER HEARD REBIENVENUUUUUUUUUE
Strip teaseuse en plus Que demander de plus ?
Et je rajouterais même au risque de me faire tuer :