Atila Ortega

Atila est un charmant personnage quelque peu violent et impulsif. Avant son arrivée sur l'ile il était tueur à gage et travaillait principalement pour un cartel de drogue méxicain. C'est un membre bien placé au sein de l'organisation qui l'a recruté quand il avait à peine 16 ans. Il a passé toute son adolescence à apprendre diverses techniques de combat et à manier les armes. C'est une redoutable machine à tuer qui qui n'a pas froid aux yeux, est dépourvu de toute capacité émotive (ou presque) et aime se battre.

Il participe aux combats d'humains, organisé par les vampires, dans un lieu secret à l'intérieur d'Heartkiller. Il s'assure que les humains libres qui y sont amenés ne courent aucun danger. Ces événements sont organisés pour distraire les vampires, s'ils souhaitent que les festivités durent des décénies, ils n'ont pas intérêt à bouffer les humains qui s'y présentent. Les courageux à franchir le cape sont déjà si rares...

Il est esclave mais pas que... Bastonner de l'humain c'est bien rigolo, mais casser les crocs des vampires c'est bien plus fun. Alors avec ses copains libres, il attire des vampires encore un peu gauche dans leur planque pour les atomiser. C'est pas très équitable mais ces saloperies sont bien plus fortes que les mortels. Si la résistance veut triompher, il faut bien avoir un avantage quelque part...

Liens recherchés : amis, ennemis, copain de bagarre, des motivés pour chasser les vampires, des motivés à participer aux combats d'humains, mais SURTOUT des idées bien tordues

Fiche

Lorcan N. Bridgestone

A mon arrivée sur l'ile, c'est tout d'abord à cette créature que j'ai été présenté. Un lien étrange nous unis. Nous sommes des natures totalement opposées, pourtant une chose nous unis... La violence. Lorcan est le vampire le plus sanguinaire qu'il m'ait été donné de croiser durant ma courte existence. J'apprécie pas les succeurs de sang, mais celui-là, il me laisse vivre (sous quelques conditions...) et j'ai su tirer avantage d'être son "esclave". Je vis dans la jungle trois à quatre nuits par semaine, le reste du temps je rends des comptes à mon "maître". Je suis ses yeux et j'observe ce qui se passe dans en dehors de la ville. Ce qu'il ne sait pas, c'est que je joue sur les deux tableaux.