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 Apprends-moi à me battre, je t'apprendrais à me désirer ☠ Seyonne Lucian Pendragon

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MessageSujet: Apprends-moi à me battre, je t'apprendrais à me désirer ☠ Seyonne Lucian Pendragon   Apprends-moi à me battre, je t'apprendrais à me désirer ☠ Seyonne Lucian Pendragon EmptyLun 3 Sep - 22:06

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Apprends-moi à me battre, je t'apprendrais à me désirer ☠

Allongée de tout mon long nue sur dans mon immense lit à baldaquin vénitien datant du douzième siècle, mes yeux vert émeraude s'ouvrirent doucement pour fixer silencieusement durant quelques secondes sans grand intérêt le plafond que je devais faire refaire, suite à un incident où j'avais projeté de ma force surhumaine un de mes esclaves en hauteur pour lui faire payer son insolence, la nuque de ce dernier frappant violement contre les pierres avait était déchiré avant que l'Humain ne meurt en retombant à mes pieds. Ce souvenir de la vieille fit apparaître un rictus amusé sur mes lèvres rosâtres. Une fois que j'eus émergé de mon sommeil, je me relevais avec délicatesse en retirant les draps cachant ma nudité avant de me rendre compte que Jude, mon Incube préféré en qui j'ai une confiance absolue et avec qui j'ai une relation aussi étrange qu'ambiguë que passionnel, était encore dans les bras de Morphée. Nous nous étions disputés il y a quelques heures de cela suite à un sujet dont je n'arrivais guère à me souvenir, mais en tout cas cela avait terminé comme à chaque fois: au lit d'une façon à la fois sauvage et violente remplit du désir destructeur nous animant, tout ce que j'adore!
En habit d'Eve, je me rendis à vitesse Vampire vers ma salle de bain afin de me faire couler un bon bain chaud dans ma baignoire en marbre où je me fis livrer un bon petit cœur encore tout juste dont je me délectait du si bon breuvage par l'artère principal. Lorsque je fus entièrement propre, enveloppant mon corps si parfait dans une serviette, je me dirigeai naturellement vers mon immense dressing regroupant toutes les tenues que j'avais porté et fait faire sur mesure depuis des lustres! Sachant que dans quelques heures j'avais rendez-vous à la Caserne d'entraînement de Seth pour mon cours de défense, je me devais de me vêtir de la sorte. Optant donc pour un [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] dont les manches du 17ème siècle dont les manches mi-longues descendait le long de mes épaules, mettant au passage en valeur ma poitrine, puis enfilant un leggings marron moulant épousant mes formes, je mis au bout de mes longues et interminables jambes des cuissardes noires en véritable cuir. Me regardant dans le miroir, l'on aurait dit une véritable amazone partant à la chasse à l'homme. Attachant par la suite ma longue crinière brune en une queue de cheval volontairement négligé, je maquillais mes yeux vert d'un fin trait noir les mettant en valeur comme jamais. Et oui, ce n'est pas parce que j'apprends les rudiments de la guerre en compagnie de mon frère que je dois passer à côté de mon apparence parfaite, étant après tout l'Impératrice, une des figure à la fois la plus crainte et respecté d'Heartkiller.
Revenant dans ma chambre, je constatai avec agacement que Jude était partie sans demander son reste, chose qui avait fort tendance à m'énerver. Sentant la colère monter en moi, je sortis de mes appartements en trombe afin de me diriger dans les quartiers réservés à mes pauvres petits esclaves que j'aimais tellement torturé. Animé par une rage folle, une fois entrée j'en mordis un au hasard d'une façon aussi sauvage que les autres en furent tellement choqués et effrayés qu'ils n'osaient rien dire, mais les larmes d'effroi coulant le long de leur joues parlaient pour eux, ce qui m'amusait. Après avoir fait un cadavre de plus, je me sentais plus légère et décidai donc qu'il était l'heure de rejoindre Seth.

Avant de me rendre dans sa Caserne d'entraînement, lieu qui lui est spécialement réservé pour entraîné ses hommes, je passai en quelques secondes à ma chambre pour y prendre [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] que mon frère m'avait offert en cadeau le jour où j'avais enfin accepter ses cours au bout de plusieurs siècles d'insistance de sa part. Cette dernière était principalement verte, reflétant la couleur de mes yeux, son manche ornée avec sobriété de deux croix rappelant l'époque médiéval que Seth affectionnait tant, l'on pouvait lire au bout de cette dernière forgé dans le métal les mots "courage, honneur, justice", trois adjectifs qui me qualifiaient à la perfection. Car après tout ne suis-je pas celle qui rends la justice sur Heartkiller pour préserver son honneur aux yeux du reste du monde?
Une fois que j'eus mise cette dernière dans son fourreau, j'ordonnai froidement sans aucuns signes de politesses à un Vampire qui passait faisant partie de l'intendance qui passait non loin de ma porte, de me la prendre avec le plus grand soin et de me suivre si il tenait à sa misérable vie. Pris de panique, ce dernier obéit en s'inclinant sans demander son reste. Marchant à une allure des plus normale, je parcourrai les longs et sublimes couloirs de notre Château dont bon nombres d'éléments de décoration rappelait l'histoire des Bridgestone. M'arrêtant un tiers de seconde pour saluer le portrait de notre défunt père, comme à mon habitude, je repris de plus belle ma marche.
Au bout de quelques minutes, car aimant prendre mon temps, j'arrivai dans les quartiers personnelles de Seth qui était apparemment vide pour le moment, pensant que ce dernier devait être occupé avec un membre de son armé, je pris mes aises en ordonnant à l'autre vermine de déposer mon arme et de déguerpir au plus vite. N'étant guère de nature très patiente, je ne supportais pas que l'on me fasse attendre, ce genre de choses, il n'y avait que moi qui avait le droit de me l'autoriser pour me faire désirer par l'assistance. Me servant un verre de Scotch dans la réserve personnelle de mon frère, qui ne m'en voudra sûrement pas, je vis la porte s'ouvrir sur un de ses esclaves semblant tétanisé par la peur de m'adresser la parole ce qui m'amusait grandement. Après m'avoir salué comme il se devait, le moins que rien prit la parole d'une voie tremblante « Madame Votre Majesté Impératrice d'Heartkiller, veuillez pardonner mon interruption... Mon maître, Monsieur Sa Majesté le Seigneur Noir, votre frère m'as envoyé pour vous faire parvenir un message... », semblant hésité quant au reste de sa phrase dont je me doutais bien que la fin ne me plairais guère, je lui fis un mouvement de la main l'incitant à continuer pendant que je vidais cul sec mon verre, « ... Monsieur Monseigneur Bridgestone ne pourra à son grand damne croyez-moi, vous donner exceptionnellement votre leçon d'aujourd'hui, ce dernier eut un empêchement l'obligeant à se déplacer au plus vite. Monsieur votre frère tient à vous présenter ses plus sincères excuses et vous promet de se racheter une fois qu'il sera de retour. », comment osait-il? Seth le savait pourtant que je n'étais pas patiente, mais alors me poser un lapin alors que c'était lui qui avait tant insisté pour je vienne!! Cela était inadmissible!! Me poser un lapin à MOI?! L'IMPERATRICE SATYNE EUPHORIA BRIDGESTONE?! Mais pour qui se prenait-il? Prise de nouveau par la fureur, mes yeux lançaient des flammes, et pour seule réponse je détruisis le verre se trouvant dans ma main avant de lancer avec violence une bouteille de Whisky en direction de l'esclave, qui prenant peur s'enfuit en courant après m'avoir salué.
Heureusement que Seth était mon frère et que je me devais absolument me rapprocher de lui, car sinon je l'aurais déjà retrouvé pour lui arracher le cœur de sa poitrine pour lui faire comprendre que cela est totalement inadmissible et absolument pas envisageable de me mettre dans ce genre de situation, après tout, je ne suis pas n'importe quoi voyons!


Codage fait par .Jenaa

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MessageSujet: Re: Apprends-moi à me battre, je t'apprendrais à me désirer ☠ Seyonne Lucian Pendragon   Apprends-moi à me battre, je t'apprendrais à me désirer ☠ Seyonne Lucian Pendragon EmptyMer 5 Sep - 21:13

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Apprend moi à te désirer, je t'apprendrais à te battre


You tried to fish my lips with your tongue, you'll remember all your life our first time kisses...

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Le corps trempé d’une angoisse encore vive et la gorge serrée, je m’éveille au crépuscule en manquant de m’étouffer. Mon sommeil fut lourd encore une fois, affublé d’images sanglantes qui me suivront toute la nuit jusqu’au prochain couché de lune. Je parviens en me levant à brasser un peu d’oxygène, assez pour reprendre mes esprits et réaliser que j’ai quitté mes songes. Les derniers rayons du soleil se frayent un chemin à travers les vitres tintée de ma chambre pour réchauffer ma peau. Je ne supporte pas de dormir enfermé et cette fenêtre est devenue primordiale à ma santé mentale. Si certain ne comprennent pas que je tienne à ce point à garder contacte avec le jour, c’est qu’ils ont définitivement tiré un trait sur leur passé. Chose que je redoute et qui me blesse. Peut être que le moment viendra où je serais prêt à fermer cette fenêtre. Peut-être aujourd’hui ou peut-être jamais, mais je n’ai pas envie de me laisser tirailler par ces idées maussades et les balaye dans un coin de ma tête. Rejoignant la salle de bain je me glisse sous une douche brûlante. Je suis si bien sous l’eau, mes muscles se détendent et une sensation fabuleuse de légèreté m’étreint. Une sensation qui ne dure jamais, mais dont je profite au maximum jusqu’à ce que la réalité reprenne le dessus.

Je me force à penser à autre chose, par exemple à cette faim de cannibale et je quitte mes appartements dans l’idée de rejoindre le ‘garde mangé’. Habitué à ne porter que des vêtements sombres, j’enfile ce que j’ai de plus noir et me confonds dans les ombres du palais. Personne ne me voit, peu de vampires se risquent à sortir alors qu'il ne fait pas encore totalement nuit. Quant à moi, j'aime prendre des risques et j’apprécie surtout le silence qui règne à cette heure là. Lorsque j’entre dans l’aile est, ou bien la plupart des esclaves sont encore endormis ou bien il n’en reste plus qu’une, vagabondant çà et là, pensive. C’est une jeune fille d’à peine vingt ans, elle a la peau blême et le visage griffé. Quel gâchis que d’avoir démoli une œuvre aussi raffinée ! Quelque chose dans son regard me foudroie et plus je m’approche et plus je touche des sils une imperceptible douceur. Guidé par les fourmillements de mon estomac, je fonds sur ma proie, me souciant peu de savoir si elle est d’accord pour que je plante mes crocs dans son cou de porcelaine. Je respire sa peur et m’en nourris comme un animal pervers. Au fond je me répugne, mais rien ne saurait canaliser ma faim sinon le sang de cette princesse. Je reste avec elle jusqu’à ce que la nuit tombe et que la Lune soit au plus haut dans le ciel. Nous sommes assis sur un sol glacial, elle entre mes bras, et j’ai l’impression de veiller sur quelqu’un que j’aime. Bien vite alerté par l’éveil des morts, je me lève et m'enfuis, la laissant seule, meurtrie et sans défense. J’ai tant d’horreur à imaginer que d’autres seront beaucoup moins tendres avec elle. Et l’on voudrait que je sois comme eux ? Je suis sanguinaire, mais pas psychopathe, un agneau aux dents acérées si vous préférez. Cette image me fait sourire, mais n'enlève en rien la honte qui me submerge. Ce n'est pas le moment d'être faible, il faut que je me reprenne en main et pour me vider l’esprit, je ne connais rien de mieux qu’un peu d’entraînement.

Par un peu j’entends qu’il m’arrive quelque fois d’oublier que j’ai des limites, mais que ne serais-je pas prêt à faire pour quelques heures de liberté ? A présent qu’il fait complètement nuit le palais fourmille de vampires affamés. Je m’efface et me faufile jusqu’aux appartements de Seth, dans l’espoir d’y trouver un compagnon d’armes à ma hauteur. Je suis un bien piètre soldat face à lui, mais personne d’autre ici ne peux se vanter de me battre avec une épée. C’est ma folie, ma passion, plus qu’un passe temps un état d’esprit et une manière de vivre. Lorsque l’on m’a nommé chevalier c’était un engagement sur la vie. A ce jour et pour l’éternité entière, je n’ai jamais cessé de croire et de vivre selon les préceptes que m’ont enseigné mon père ainsi que mon frère, tous les deux probablement morts honorablement au combat. Je pense, nostalgique, à ce temps béni où j’étais un petit garçon à peine capable de lever une épée. Me baladant rêveur, mains dans les poches et yeux au ciel, je ne prends pas garde à cet homme qui me fonce dessus et s’écroule contre moi. Il tremble, je suis prêt à lui tendre une main pour l’aider à se relever, mais il me repousse avant de s’enfuir, trébuchant à plusieurs reprises et criant comme un imbécile. Quelque chose ne tourne pas rond dans ce palais et le vacarme qui émane de la chambre de Seth n’est pas pour me rassurer. Inquiet je jette un coup œil dans l’entrebâillement de la porte pour y découvrir Satyne Euphoria Bridgeston, l'impératrice de mes désirs.

N’osant pas brusquer le fauve, je frappe un léger coup sur la porte et demande l’autorisation d’entrer. Un sourire gêné aux lèvres je demande si Seth est dans les parages, mais en voyant le désordre dans la pièce je me dis que je n’aurais pas du oser cette question. Peu importe, si Satyne a des crocs elle ne m’en a jamais menacé. Je crois qu’elle m’apprécie, peut être un peu trop bruyamment. Elle pense qu’aucun homme sur cette terre ne saurait être insensible à ses charmes, y compris moi. Et je dois bien avouer qu’au fil du temps et de nos jeux dangereux, la demoiselle a commencé à exercer sur ma personne une forme de fascination mêlée d’angoisse. M’approchant d’elle je remarque que sa main est en sang. Inquiet je lui demande si tout va bien et déplie son poing encore tremblant pour en retirer quelques morceaux de verre. Je souris émerveillé, voyant que sa peau se recoud d’elle-même presque immédiatement et l’interroge une nouvelle fois "Est-ce que cela vous fait mal ?". Je ne pense pas, mais je préfère prendre des précautions. Les Bridgeston sont un peu ma famille et je me dois de veiller sur eux. Satyne en particulier m’effraye, elle se laisse guider par ses émotions, impulsive, ce qui pourrait être dangereux. Au fond je l’apprécie beaucoup et j’aime prendre soin d'elle, comme un chevalier servant.


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Apprends-moi à me battre, je t'apprendrais à me désirer ☠ Seyonne Lucian Pendragon

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