✤ OU TU TE TROUVES ? : Derrière le bar des Plaisirs coupables
✤ EMPLOI/LOISIRS : Serveuse et assistante personnelle de Zéphyr
✤ HUMEUR : Violente
Sujet: Kalt wie Stahl Dim 23 Juin - 14:55
☇ Nina Stark
“Du bist so schön, du bist so grausam - Schön wie rotes Blut”
☇ Vampires
Nina de Lianin
PRENOM(S) & NOM : Nina Stark SURNOM : Nina DATE & LIEU DE NAISSANCE : le 22 juin 1523 à Nuremberg en Allemagne AGE : 490 MÉTIER : Serveuse aux Plaisirs coupables STATUT : Célibataire ORIENTATION SEXUELLE : Hétéro CARACTÈRE : Spontanée, serviable, loyale, fidèle, efficace / Spontanée, violente, froide, cruelle, manipulatrice
☇ LE QUESTIONNAIRE HEARTKILLIEN
▬ comment considérez-vous la famille Bridgestone ? avez-vous une relation spéciale avec eux ?
Nina ne les connait que de réputation via toutes les rumeurs qui peuvent entourer cette famille. Autrefois elle s’intéressait à eux pour le pouvoir et la puissance dont ils disposent, mais à présent, elle a d’autres priorités et ambitions. Elle préfère d’ailleurs se tenir éloignée d’eux dans la mesure du possible.
▬ que pensez-vous de la condition des esclaves/humains sur l'ile ? pour ou contre leur traitement ?
Elle se fiche de ces humains, leur condition de vie ne lui fait ni chaud ni froid. Ils sont la plupart du temps à ses yeux de la nourriture, rien de plus. Si les autres vampires se plaisent à jouer avec, c’est leur problème pas le sien. Chacun ses emmerdes.
▬ comment trouvez-vous heartkiller ? la ville en elle-même, son organisation, son climat, ses habitants.... ?
Nina ne s’est pas trop balader sur l’île, se concentrant sur le centre-ville et ses alentours fort plaisants. L’idée de vivre en paix loin des ennuis infligés par ces hordes d’humains et d’avoir l’entier de leurs représentants sous le contrôle des vampires, lui plait particulièrement.
▬ avant d'arriver sur HK, quelle était votre opinion sur les rumeurs englobant le triangle des bermudes ?
Elle trouvait tout cela franchement fascinant. Toutes ces mystérieuses disparitions, et les humains incapables de comprendre le tiers du problème. Ils préfèrent mettre tout ce qu’ils ne saisissent pas sur le compte du paranormal, avant de se désintéresser de la chose. Tant que ça ne les touche pas personnellement. Quand elle comprit que sa place n’était plus en Europe, elle prit le premier bateau pour le triangle, bien décidée à venir s’installer par ici.
▬ craignez-vous la furie des derniers levinson ? d'ailleurs, qu'évoque pour vous la chute du roi allan levinson ?
Pour l’instant Nina n’éprouve aucune crainte vis-à-vis de tout cela. Elle ne s’est pas vraiment intéressée à ce pan de l’histoire de l’île. La lutte pour le pouvoir a lieu ici, mais aussi partout ailleurs. La race des vampires n’a pas été épargnée par cet instinct primaire de vouloir régner, être plus fort que son voisin.
▬ et enfin, question piège, que pensez-vous des adminettes ? Qui est la plus folle ? La plus sexy ? La plus chieuse ? dites-nous tout...
Elles sont un peu zinzins mais ça fait leur charme !
PRÉNOM/SURNOM : Lulu / Yslael AGE : 25 ans SEXE : F COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : J’reviens après une longue pause :p ET COMMENT TU LE TROUVES? Très peuplé et toujours aussi joli EST-CE QUE VOUS SOUHAITEZ ETRE PARRAINE ? Non po besoin PEUT-ON ON FAIRE UN PREDEFINI DE VOTRE PERSO. SI VOUS ETES SUPPRIME ? NON mais un scénario pour Zéphouille oui CODE RÈGLEMENT :Ok by Ananas ♥
Dernière édition par Nina Stark le Dim 23 Juin - 14:56, édité 1 fois
Nina Stark I’M YOUR OWN PERSONNAL JESUS
✤ LETTRES A LA POSTE : 118
✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 18/06/2013
✤ AGE : 36
✤ OU TU TE TROUVES ? : Derrière le bar des Plaisirs coupables
✤ EMPLOI/LOISIRS : Serveuse et assistante personnelle de Zéphyr
✤ HUMEUR : Violente
Sujet: Re: Kalt wie Stahl Dim 23 Juin - 14:55
☇ Welcome back to the City of Lust
“ I’m your own Personnal Jesus”
Goodbye Berlin
Son sac à la main, elle regarda une dernière fois l’appartement qui l’avait abritée ces neuf derniers mois. Au sous-sol d’un vieux bâtiment, tout proche du mur, personne d’autre qu’elle n’avait semble-t-il eu le courage de survivre aussi longtemps en pareils lieux. Pas assez de lumière, pas assez d’air. Quartier pourri, quartier dangereux. Mais pas pour elle. Cet endroit avait décidément été parfaitement approprié.
Car elle faisait partie de ce peuple si populaire dans les films et séries télé. Tant de bouquins qui parlaient d’eux sans vraiment savoir. Créatures imagées, fantasmées... et pourtant si réelles sans que personne ne s’en doute. Et qui découvrait la vérité, périssait sans même avoir le temps de pousser le moindre cri de terreur. Il en allait de leur survie. Ils n’avaient pas le droit de laisser le moindre témoin gênant capable de prouver leur existence et ainsi les mettre en danger. Tout du moins sur cette partie du territoire.
Pourtant elle n’aimait pas les siens. Elle n’aimait pas non plus les humains. Etant un mixte des deux, elle abhorrait tout son être, sa peau, son sang, son odeur, tout sans exception. Elle n’était ni l’un ni l’autre. Elle n’était rien. Avec le temps, elle avait fini par accepter sa condition toute particulière de créature entre deux mondes, mais elle n’en perdait pourtant pas cette haine viscérale de tout ce qu’elle représentait. L’un ou l’autre, elle les aurait volontiers tous exterminés. Nettoyer cette planète qui puait, similaire à un cadavre en putréfaction. Plus jeune, elle avait pensé à se tuer, mais comme enchaînée à la vie, elle n’en avait pas trouvé le courage. Trouvant une autre façon d’exprimer son mal être, un exutoire somme toute satisfaisant.
La porte claqua dans un grand fracas alors qu’elle tournait les talons. La lune s’était levée et brillait plus fort encore que le soleil, cet astre dont elle n’avait jamais vu la réelle couleur. Elle traversa le quartier jusqu’au métro au pas de course, esquivant sans peine les multiples enfants de la nuit qui hantait les rues de la ville à la recherche de boîtes branchées où passer la soirée, leur odeur suave lui chatouillant les narines. Si faim. Elle devait rejoindre la gare et quitter Berlin avant le lever du jour, un bateau l’attendait à Hambourg, alors elle n’avait aucunement le temps pour quelque distraction que ce fut. Le repas attendrait, et de toute façon elle avait pris soin de faire quelques réserves avant le grand départ.
Quitter son pays lui déchirait le cœur, même si ce n’était pas la première fois. C’était plutôt l’aspect définitif de la chose qui lui nouait les entrailles. Au cours des derniers siècles, elle avait voyagé sans cesse, ne restant guère plus d’un mois ou deux dans chacune des villes qu’elle avait exploré, craignant toujours d’être découverte par quelques humains trop curieux ou pire encore. Et lorsqu’elle espérait enfin pouvoir s’installer, les choses finissaient par tourner à son désavantage et la belle Nina dégarpissait plus vite que son ombre sans laisser la moindre trace de son passage ou de la route qu’elle avait décidé de prendre.
Moscou, Paris, Berlin, Londres, Zürich, Oslo, Helsinki, Belgrade, Budapest… toute l’Europe y était passée et plus encore.
Sur la voie, le train était déjà là, prêt au départ. Oubliant ses talons, elle s’élança comme une diablesse dans les escaliers, les montant quatre à quatre, volant plus que courant. Sa survie en dépendait. De justesse, elle glissa sa main dans la porte, puis son corps svelte et enfin son sac dont la lanière resta coincé. D’un coup sec, elle récupéra son bien et parti en quête d’un siège confortable pour la longue heure de trajet qui l’attendait. Tout au fond d’un wagon, elle trouva un coin paisible où elle ne serait importunée par personne. Pas d’enfant bruyant, pas d’ados boutonneux, pas de lascars en quête de chair fraîche. Les écouteurs de son baladeur vissés sur les oreilles, elle regardait défiler le paysage à vitesse grand V. Décidément et contre toute attente, l’Allemagne lui manquerait.
Erreur de jeunesse
Le goût de ses lèvres lui picotait la langue, sensation exquise dont il ne pourrait décidément jamais se passer. Pourtant il savait qu’elle ne serait pas éternelle, qu’elle ne vivrait jamais aussi longtemps que lui. Pourtant, là, dans ses bras, il se prenait à rêver de l’éternité de cet instant particulier. Ce n’était pas ce qu’on pouvait appeler une relation conventionnelle, les êtres comme lui ne devant sous aucun prétexte se mêler aux inférieurs comme elle. Vulgaire domestique, ce n’était pourtant pas leur différence de classe qui les séparait ainsi, mais bien une différence de race. Il n’aurait pas été contre la transformer si la place n’avait pas été déjà prise par sa chère et tendre épouse. Alors il se contentait de la voir en secret lorsque Madame désertait les lieux pour s’adonner à ses petites affaires personnelles. Sans doute le trompait-elle également. Mais il s’en fichait éperdument, préférant se perdre dans ce regard bleu océan qui lui faisait face.
Malheureusement toutes les bonnes choses avaient une fin, et ce soir-là il aurait préféré lui couper la langue avant qu’elle ne parle de trop. Qu’elle ne brise ce doux rêve, seul échappatoire à sa vie morne de nobliaux. Elle avait tout gâché…
Mon aimé si vous saviez.
Sa douce avait posé sa main sur son ventre à peine rebondi, un sourire enjôleur sur les lèvres. Non tout mais pas ça ! Elle ne savait pas qui il était, elle ne savait rien ! Croyant avoir offert son corps à son maître, un être différent, étrange dont elle n’entendait pas le cœur battre sans que cela ne la perturbe vraiment, elle ne se doutait pas de l’immondice qu’elle engendrerait bientôt. De cet enfant qui à peine debout n’hésiterait pas à la tuer pour se nourrir de ses restes.
Combien de temps ? Répondez !
Le ton était affolé, ses doigts lui serrant les bras comme un étau trop serré. Il avait dû se retenir de lui hurler au visage, craignant de l’effrayer encore d’avantage. Mais son regard terrifié lui signifia qu’il s’y prenait mal et risquait de la faire fuir avant d’avoir pu arranger le problème. Elle balbutia quelque chose, les larmes lui inondant les joues. Tâchant de reprendre contenance, elle se dressa devant lui, s’arrachant de sa prise.
Deux… deux mois je crois. Pitié, ne me faites pas de mal. J’espérais tant que la nouvelle vous ravirait, que vous seriez heureux que notre amour se concrétise enfin ! Je vous aime Ludwig ! Je vous aime tant !
La gifle partit sans qu’il ne le souhaite vraiment. Mais il devait la faire taire à tout prix, avant que des oreilles indiscrètes ne découvrent l’atroce vérité. La tuer tout de suite ? Détruire son corps, le faire disparaître. Mais tout le monde saurait car tous savaient que le Maître aimait à inviter la demoiselle dans sa chambrée la nuit tombée. Et puis comment détruire cette âme à laquelle il avait fini par tant s’attacher. Oui, il aurait aimé voir cet enfant naître puis grandir. L’élever comme le sien, le choyer, en faire un héritier digne de ce nom. Mais Madame Stark ne verrait jamais les choses sous cet angle. Lorsqu’elle découvrirait la grossesse de la domestique, elle n’hésiterait pas un instant à faire ce que son faible mari n’avait réussi.
Ecoutez-moi bien, si mon épouse l’apprend vous êtes morte, vous m’entendez ? Alors vous allez suivre mes instructions à la lettre et j’entends que vous accomplissiez ma volonté même si elle vous révulse. Demain, vous irez chez Dame Spiler, vous lui demanderez de tuer cet enfant. Si vous m’aimez, tuez le avant qu’il ne soit trop tard !
Secouée de sanglot, la jeune fille n’osait plus parler, encore moins contester les ordres de son Maître. Sans tarder, il lui ficha une bourse d’or dans les mains pour qu’elle accomplisse ce terrible dessein. Elle qui avait mis tant d’espoir dans cette grossesse, la naïveté de la jeunesse aidant, elle s’était déjà imaginée que le Maître chasserait cette harpie pour l’épouser, prendre la place de cette horrible femme qui terrorisait toute la maisonnée. Au lieu de ça, il lui demandait de tuer leur enfant, fruit de leur amour qu’elle imaginait éternel. Dès qu’elle le put, elle ramassa ses affaires et retourna dans ses quartiers, toujours en pleurs.
Mais l’heure n’était pas à l’apitoiement, il lui fallait trouver une solution et ça, rapidement. Pas de temps à perdre en gémissement, la vie de son enfant en dépendait. Elle regarda enfin la bourse d’or dans sa main et ne tarda pas à trouver la solution. Une fois dans sa chambre, elle réunit quelques affaires et les glissa dans un sac avec un peu de pain et quelques fruits. Elle partirait cette nuit.
La proie n’est pas celle que l’on croit
La retrouver n’avait pas été une mince affaire, surtout depuis qu’elle avait accouché. Elle avait retrouvé toute sa mobilité et avait profité de fuir plus loin, plus vite, la petite toujours avec elle malgré sa différence terrifiante. Car lorsqu’elle avait voulu lui donner le sein la première fois, l’enfant à peine né s’était empressé de déployer deux minuscules canines, bien qu’elle ait été dénuée de toutes autres dents, puis les avait plantés dans la chair tendre de sa mère pour suçoter son sang.
Mais le temps aidant, elle s’était vite affaiblie, anémiée par des pertes régulières de sang, affamée par son impossibilité de trouver de l’argent en suffisance pour se nourrir. Alors lorsqu’elle fut enfin contrainte de s’arrêter, la bête qui la traquait depuis une année en profita pour la rattraper. De toute sa hauteur, elle se dressa devant la malheureuse allongée sur le lit, blanche comme un linge, maigre comme un clou. Mme Stark regarda la malheureuse un long moment, sachant pertinemment que même à moitié comateuse, elle comprenait tout à fait ce qui se passait. L’enfant plus loin dans son berceau improvisé, lui, ne bronchait pas. Depuis sa fuite du Manoir, l’épouse bafouée n’avait rêvé que de cet instant privilégié où elle prendrait enfin la vie de la traitresse, sa vengeance enfin accomplie. Certes, elle aurait pu laisser l’enfant la dévorer, car tôt ou tard, les quelques gouttes de sang que la mère lui offrait ne suffisant plus, il aurait pris plus, bien plus. Mais risquer de laisser un tueur né dans la nature, sans personne pour le contenir, c’était un risque trop important qu’elle ne désirait pas prendre.
La femme en noir vint glisser ses mains autour de la gorge de la malheureuse, puis serra. Si fort que la victime en eut les yeux révulsés. Le souffle coupé, elle n’émit aucun bruit avant de rendre son dernier soupire. Une fois le travail accomplit, proprement de surcroît, Madame Stark se dirigea vers l’enfant et l’attrapa délicatement. Si son époux n’avait pas eu le courage de la tuer lui-même, c’est qu’elle devait compter un minimum. Alors elle ne la tuerait pas, elle élèverait cette petite fille comme la sienne, prenant soin de lui transmettre la haine sans pareille qu’elle éprouvait à l’égard de son cher mari. Haït par sa propre progéniture, cela sonnait comme une tendre vengeance. Elle en jubilait.
Et les années passèrent…
Qui est responsable de tes souffrances ma fille ?
L’enfant devenu une jeune et belle femme, gémissait sous les coups de fouet que lui infligeait sa marâtre.
C’est Père, oui c’est lui le responsable.
Abomination de la nature, elle savait que c’était un mal nécessaire pour la punir de ce qu’elle était. Chaque jour, on lui rappelait qu’elle n’était pas une véritable Stark. Qu’elle n’était pas une véritable vampire. Elle avait grandi avec ce poids sur ses épaules, celui de n’être rien de définissable, de n’avoir aucune famille légitime. Elle était juste Nina, la sale batarde du Manoir que même les esclaves ne respectaient pas. Comme elle les haïssait tous. Chacun des Starks, chacun des domestiques, tous les vampires, tous les humains qui peuplaient la bâtisse. A l’extérieur ce n’était guère mieux. Tout le monde prenait un malin plaisir à lui rappeler qu’elle n’était rien. Mais ces tortures avaient trop durées, elle ne tiendrait jamais une éternité. A choisir entre sa vie et la leur, elle n’hésita finalement pas si longtemps que ça. Quelques années n’étaient dans la vie d’un vampire qu’une poussière dans un océan. Alors elle prépara son méfait avec soin, répétant ses gestes, son scénario. Bientôt elle serait une femme libre prête à découvrir le monde, traverses les océans et mener sa vie comme elle l’entendait.
Le jour J, elle ôta son corset afin de présenter son dos à son bourreau. Elle serait la première à trépasser. Tous s’étaient donné tant de mal à lui apprendre à se contrôler, faire que sa soif de sang n’ébranle pas la réputation de la famille, que ses colères explosives ne risquent pas de mettre en péril un secret si bien gardé. Aujourd’hui, elle devrait tout relâcher, afin d’avoir seulement une infime chance de se libérer définitivement de leur emprise. Dans le tissu de sa large ceinture de soie, elle avait glissé une fine lame de rasoir qu’elle s’empressa d’attrapé pour trancher net la gorge de sa belle-mère. La surprise fut telle, que Madame Stark ne sut comment réagir et laissa la gamine lui planter son pendentif en forme d’épée dans le cœur. Un fin bijou fait de bois que la fillette avait taillé elle-même, prenant modèle sur les armoiries de la famille. Juste assez long pour toucher le cœur, juste assez pour tuer.
Couverte de sang, elle arpenta les couloirs déserts de tous domestiques, hâtant le pas jusqu’à la chambre de son cher paternel. Comme prévu, elle le trouva dans les bras d’une catin d’humaine qui déjà hurlait de terreur à la vue de cette jeune femme souillée de ce fluide poisseux. Étrangement, il ne résista pas, plaquant même sa main sur la bouche de l’humaine pour qu’elle n’alerte pas toute la maisonnée. Il semblait attendre son heure et ce sourire paisible qui s’afficha sur son visage avant qu’elle ne luit transperce le cœur, donna envie à la jeune tueuse de vomir sur la dépouille de l’être qui l’avait engendré.
Nouveau départ
Le voyage avait été pénible alors poser pied à terre fut comme une réelle libération. A peine arrivée, elle s’empressa de se rendre dans le premier bar du coin afin de trouver de quoi se repaître. Elle avait pris l’habitude de dépouiller ses victimes et avait ainsi accumulé un certain pécule qui lui permettrait de vivre paisiblement un certain temps. Mais incapable de rester les bras ballant, la jeune femme cherchait déjà un moyen de s’occuper l’esprit, sachant pertinemment qu’à défaut d’activité plus ou moins honnête, elle tomberait à nouveau dans ses vilains travers et risquait de mettre en péril ses projets d’installation sur l’île.
Ici personne ne savait qui elle était et surtout qu’elles étaient ses réelles origines. Personne ne savait non plus les horreurs qu’elle avait pu perpétrer dans d’autres pays, ne pouvant s’empêcher de se mêler d’affaires qui la dépassaient et tenter de trouver la paix de l’esprit en accomplissant d’horribles crimes, impardonnables même pour des créatures comme celles peuplant Heart Killer. Il fallait qu’elle se contrôle ! Trouver l’apaisement, de nouveaux buts… mener une vie raisonnable et cesser de vivre de petits larcins. La vie de château ne lui avait pas manqué jusque-là, mais l’idée de pouvoir bénéficier d’un certain confort et luxe ne lui déplaisait pas. Un bon objectif en soi.
Mais trouver du travail attendrait un peu. Ce soir, elle s’accorderait un peu de bon temps pour fêter ce nouveau départ. Triturant son pendentif en bois, elle se douta qu’il faudrait surtout chasser sa nostalgie du pays.
Fort heureusement, elle n’était pas de celles à se laisser abattre pour si peu. Son moral d’acier et sa façon trop humaine de toujours positiver la poussait toujours en avant, l’obligeant à ne pas s’attarder sur le passé pour se concentrer sur le futur. Et le présent était ce qu’il était. Une succession d’évènements dont elle appréciait la qualité ou dépréciait l’atrocité au jour le jour. Alors dès le lendemain au coucher du soleil, elle ne traina pas et se mit en chasse. Non pas d’un tendre cou à mordre, mais d’un travail honnête qui lui rapporterait de quoi vivre le plus librement possible. Nina arrêta rapidement son choix sur un établissement qu’elle repéra bien vite au cœur de la Cité. Une sorte de bordel avec pouliches de luxe pour vampire en mal d’amour.
Les lieux semblaient bien tenus, les clients propres et aisés et l’ambiance plutôt agréable. Bref, un endroit respectable où elle ne doutait pas de pouvoir se montrer utile à en devenir indispensable. Elle en avait connu pléthore de ces boîtes branchées, des bars miteux aux endroits peuplés de riches héritiers et avait toujours travaillé soit au service soit comme gérante. Au fond, à par tuer, torturer et décapiter proprement, c’était là bien tout ce qu’elle savait faire à la perfection.
A peine installée pourtant, elle faisait déjà face à un premier obstacle. Un grand dadais à peine transformé qui ne se prenait pas pour de la merde. Faisant preuve de tout son self-control pour ne pas lui défoncer sa belle petite gueule, elle se remercia intérieurement de s’être contenue lorsqu’elle vit le patron enfin s’approcher. Cette fois, elle en était sûre, c’était dans la poche.
A trop prendre ses aises…
La vie au club suivait son cours après quelques événements qui ne firent qu’asseoir la position de la vampire au sein de l’établissement. Polyvalente, elle tentait d’aider autant qu’elle le pouvait ses collègues et son patron, tout en prenant soin d’ignorer ou de remettre à sa place ce cher Logan. Même si elle ne s’entendait pas particulièrement bien avec tout le monde, elle ne rechignait pas à la tâche et avait à cœur de faire son travail correctement. Elle ne se souciait pas beaucoup de l’aspect relationnel à vrai dire, ce détail n’était que secondaire à ses yeux. Le temps ferait qu’elle apprendrait à connaître tout le monde, petit à petit, et qu’ils l’acceptent ou pas parmi eux, elle s’en fichait tant que le patron lui, l’avait à la bonne. Et elle avait su s’arranger pour que cela ne change pas de sitôt.
Mais à trop prendre ses aises, on se brûle les ailes, et Nina n’échappait pas à la règle. Tout se passait pourtant très bien jusqu’à ce qu’elle le rencontre. Humain, exquis, mais surtout esclave de la sœur du patron. Quelle idée stupide avait bien pu lui passer par la tête lorsqu’elle s’en était emparée, se l’accaparant, allant jusqu’à goûter son sang si délicieux ? Son odeur l’avait rendu folle au point qu’elle avait dû se faire violence de ne pas le vider là tout de suite, sur place. Elle avait fait durer le plaisir, lui tournant autour, lui faisant miroiter de jolies choses, un avenir plus doux que ce qui l’attendait réellement.
Elle aurait voulu le garder pour elle, rien qu’à elle. S’en servir comme d’un pion sur un jeu d’échec où le but était de mettre en échec un roi crétin détesté d’une bonne moitié de ses paires. Elle l’imaginait déjà en espion au sein du palais, espion dévoué et adoré. Elle rêvait trop loin et trop grand.
Consciente qu’elle avait été trop loin en le maintenant prisonnier et qu’une maîtresse en colère ne tarderait pas à partir à sa recherche (et surtout à décapiter la voleuse de jouet), elle finit par l’emmener au club, persuadée que le patron daignerait la sortir de ce mauvais pas. Après tout, ne se gardait-elle pas de révéler ses petits secrets ? De couvrir ses escapades amoureuses avec une esclave de l’empereur ? N’était-elle pas assez loyale pour espérer qu’il lui rende pour cette fois la pareille ?
Mais l’entretien ne se déroula pas tout à fait comme elle l’espérait. Le petit esclave, lui aussi, prenait ses aises et se permit des paroles déplacées qui mirent Zephyr dans une rage folle. Non seulement il insulta sa maîtresse, la sœur adorée de son interlocuteur, mais en plus il argua que Nina ne laisserait personne le tuer, car trop précieux à ses yeux. Qu’elle le défendrait corps et âme, (enfin surtout corps). Il manqua de peu qu’il ose prétendre qu’elle éprouvait de quelconques sentiments à son égard.
Croyait-il sincèrement que deux vampires insensibles comme eux l’épargnerait parce qu’il était esclave De et parce que son sang avait fait tourner la tête de l’un deux ? Après avoir volé à travers le bureau sous les coups du boss, Nina dépitée savait ce qu’il lui restait à faire. Après avoir échangé un regard qui en disait long avec Zéphyr et obtenu son assentiment, elle approcha lentement de l’humain. Délicatement, elle lui prit la main et le releva, tentant d’être la plus douce et rassurante possible. L’effet de surprise décuplerait l’horreur de cet instant, elle le savait pertinemment. Elle usait toujours de cette technique lorsqu’elle était contrariée ou frustrée, lorsqu’elle devait contenir une certaine violence en elle qui tapait contre les murs de sa raison afin qu’elle la libère. D’un geste ferme, elle souleva le menton du jeune garçon, son regard plongé dans le sien. Adieu lui murmura-t-elle simplement à l’oreille, sur un ton qui n’avait plus rien d’amical.
Son cou se brisa dans un craquement sinistre, puis le corps sans vie s’écroula dans un bruit sourd sur le parquet du bureau. Malgré cette odeur qui lui enivrait encore l’esprit, elle se refusa à le goûter une dernière fois, à l’achever de cette manière. Que Zéphyr comprenne qu’elle ferait son devoir coûte que coûte, qu’elle n’en profiterait pas, qu’elle resterait dorénavant toujours la plus professionnelle possible.
Mais tout cela ne suffit pas et une punition bien méritée l’attendait dès le lendemain soir. Après avoir été congédiée sobrement la veille, le patron lui avait donné rendez-vous à la tombée de la nuit au port. Elle savait bien ce que cela voulait dire, alors elle prit soin de préparer un sac avec quelques affaires indispensables et toutes ses économies. Encore une fois elle avait merdé, encore une fois il faudrait repartir de zéro dans un autre lieu, autre ville, autre pays.
Quand elle l’aperçut devant le navire qui la conduirait très loin d’ici, elle en soupira de frustration, en colère contre elle-même et ses trop nombreuses faiblesses.
Contrairement à ce qu’elle pensait, il ne la chassa pas définitivement de l’île, lui remettant au lieu de ça un autre sac rempli de dossiers et de classeurs, avec une adresse à Nizhnevartovsk. Elle avait si bien redressé la comptabilité du club qu’il avait décidé de l’envoyer dans le trou du cul du monde, dans un autre établissement de sa propriété qui avait quelques problèmes de paperasseries. Ça lui ferait les pieds… voilà ce qu’il lui dit. Pour combien de temps partait-elle ? Elle n’en savait rien. Il refusa de lui en dire plus, l’informant simplement qu’il la rappellerait lorsque les choses se seraient tassées par ici et surtout lorsqu’il n’aurait plus envie de lui refaire le portrait à coup de pieu en bois. Conscient de sa loyauté désormais, il savait qu’il pouvait lui faire confiance même à des milliers de kilomètres, et cette révélation-là eu le don de lui mettre du baume au cœur malgré la situation. Au fond, elle l’avait trouvé son chez elle et le temps qu’elle passerait à l’étranger lui permettrait de comprendre à quel point cet endroit méritait qu’elle donne de sa personne.
L’esprit plus tranquille, elle grimpa sur le navire et intégra sa chambre, se plongeant aussitôt dans les dossiers du club qui l’accueillerait d’ici quelques semaines.
De retour à la maison
Les mois avaient passé sans qu’elle ne se rende vraiment compte, si ce n’est lors de ses journées de congé où son esprit était libre de ressassés les évènements qui avaient conduit à son départ. Le reste du temps, elle travaillait tellement à la remise sur pied du club qu’elle ne pensait à rien d’autres. Histoire d’éviter de nouvelles gaffes, elle tenta de se concentrer sur l’essentiel, même si le gérant du club avait le don de perturber parfois son intense concentration. Sachant pertinemment ce que de quelconques distractions risquaient d’avoir comme conséquences fâcheuses, la demoiselle sut se tenir à carreau et éviter tout impaire. Pour une fois.
Si bien qu’un soir, alors qu’elle s’était déjà installée derrière le bar, Dmitri vint à sa rencontre une lettre dans la main. Le patron la rappelait à lui sur l’île et un billet pour le voyage du retour était joint à la missive. Un pincement au cœur, elle savoura cette dernière soirée des plus tranquilles. L’ambiance ici n’avait rien avoir avec celle de Heartkiller. À part quelques habitués, l’établissement n’était pas très peuplé. Juste assez pour bien tourner et éviter une faillite. Le village lui aussi était très calme, et surtout peu peuplé de vampire. Alors la discrétion était de mise à chaque instant et pour la nourriture, la plupart venait des stocks de l’hôpital où un très bon ami de Dmitri avait réussi à obtenir ses entrées. Cela évitait de laisser trop de cadavres aux morts suspectes.
Apaisée et plus sereine, elle fit ses adieux à tout le personnel avant de filer pour une bonne journée de sommeil avant le grand soir. Elle rentrerait plus calme, plus réfléchie.
Une nouvelle fois, elle se retrouva à l’aéroport, sur le départ. Son bel ami l’attendait, pour une dernière étreinte trop chaste, avant qu’elle ne passe le portique de contrôle et s’envole, prête à enfin rentrer chez elle.
City of Lust ❖ Argmageddon Dildos
Dernière édition par Nina Stark le Dim 23 Juin - 15:42, édité 2 fois
Zéphyr E. Romanov « The last thing I want to do is hurt you. But it’s still on the list...»
✤ LETTRES A LA POSTE : 1421
✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 15/10/2012
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✤ OU TU TE TROUVES ? : aux Plaisirs Coupables
✤ EMPLOI/LOISIRS : Gérant du club aux Plaisirs Coupables
✤ HUMEUR : Emoustillé (a)
Sujet: Re: Kalt wie Stahl Dim 23 Juin - 15:02
And there she is....
That ass...
EVERYBODY
DANCE NOW
Bienvenue ma Ninouille!!!
Je vais bien me occuper de toi tu vas voooiiiir Enfin ça tu le sais déjà Et puis, et puis, t'as vu ces gif de fous ou quoi? Avoue, je suis trop trop le meilleur de l'univers comme boss
✤ OU TU TE TROUVES ? : Derrière le bar des Plaisirs coupables
✤ EMPLOI/LOISIRS : Serveuse et assistante personnelle de Zéphyr
✤ HUMEUR : Violente
Sujet: Re: Kalt wie Stahl Dim 23 Juin - 15:07
Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah Daaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaave! Jusqu'à sa mort il a aura la classe... et ce mooooove, je fond!!!!
Contente de vous retrouver les gens (et toi plus que la terre entière mon tit biscuit à la crème ).
Suis ready pour les intrigues de zinzins et les complots bien fourbasses
Invité Invité
Sujet: Re: Kalt wie Stahl Dim 23 Juin - 15:46
RE-BIENVENUUUUUUUUUUE
Il nous faudra un lien qui dééééchire
E. Gabriel Driver - On est mercredi ? - Ouai, c'est fréquent après le mardi.
✤ LETTRES A LA POSTE : 1019
✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 06/03/2013
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Sujet: Re: Kalt wie Stahl Dim 23 Juin - 16:03
Je sais pas qui tu es mais je suis le mouvement donc Rebienvenue Pas besoin de te souhaiter bonne chance pour ta fiche qui est déjà bien avancée
Invité Invité
Sujet: Re: Kalt wie Stahl Dim 23 Juin - 16:35
Bienvenue parmi nous ^^
Lorcan N. Bridgestone I'm the authority
✤ LETTRES A LA POSTE : 292
✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 18/07/2012
✤ OU TU TE TROUVES ? : Au fond d'une crypte lugubre .. Haha, quel humour. Peu importe l'endroit, tu ne me trouvera pas !
✤ EMPLOI/LOISIRS : Pince Vampire démoniaque, je m'occupe de la gestion des esclaves & Chef du Clan des Damnés
✤ HUMEUR : Ironique
Sujet: Re: Kalt wie Stahl Dim 23 Juin - 17:02
NINAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA D'AMOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUR TE REVOILAAAAAA ON VA ENFIN REPOUVOIR (ou pouvoir, tout simplement) SE FOUTRE SUR LA GUEULE Je suis trop contente de te revoir louloutte :D
Nina Stark I’M YOUR OWN PERSONNAL JESUS
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✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 18/06/2013
✤ AGE : 36
✤ OU TU TE TROUVES ? : Derrière le bar des Plaisirs coupables
✤ EMPLOI/LOISIRS : Serveuse et assistante personnelle de Zéphyr
✤ HUMEUR : Violente
Sujet: Re: Kalt wie Stahl Dim 23 Juin - 17:47
Merci les gens!
Ouiiiiiiiiiiiiiii 'tit ananas! Nina est de retour pour faire enrager la pouliche de ce cher Zephyr *rire diabolique*
Me réjouis trop
(et si tu veux présenter Lorcan à Nina tu peux aussi héhé, entre méchant, ils devraient se comprendre )
edit: j'ai oublié de dire que ma fifiche est terminée \o/
→ Félicitation! Les membres du staff sont heureux de t'apprendre que tu es validé(e)! Nous te souhaitons donc la bienvenue parmi nous et sommes heureux de te compter parmi nos membres!
→ Maintenant que tu es validé(e), vérifie tout de même que nous n'avons pas oublié de rajouter ton avatar dans le bottin et que nous t'avons aussi ajouté au bon groupe. Vérifie également ton rang si tu fais parti des vampires!
→ Si tout est OK, tu peux désormais te lancer dans l'aventure HeartKiller et aller créer ta fiche de liens et de RPs!
→ N'hésite pas à remplir ton profil, à faire une demande de rang ou de lieux si tu souhaites RP dans un endroit en particulier.
→ Mais aussi de voter régulièrement sur le top site de la PA! C'est important pour la pub du forum. Et puis, un petit click ce n'est pas grand chose (a) N'hésite pas aussi à faire de la pub autour de toi :)
→ Surtout, n'oublie pas de souhaiter la bienvenue aux nouveaux, c'est important pour une bonne intégration! Et pourquoi pas faire des demandes de liens et de RPs après?
→ Et pour finir, toute l'équipe espère que tu t'amuseras bien sur HeartKiller :)
UNE NOUVELLE AVENTURE COMMENCE POUR TOI
✤✤✤
Invité Invité
Sujet: Re: Kalt wie Stahl Mar 25 Juin - 12:05
YAAAAAAAAAAAAAA J'ai un gros train de retard oui Mais on me pardonne je suis mignonne
REBIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUE NINOUCHE Han ça fait plaisir de revoir les anciens
Pas besoin de te souhaiter bon courage pour ta fiche du coup xD J'arrive après la guerre
Nina La femme à la cravache J'avais fait des vavas d'elle, je sais plus où je les ai foutus
Encore re-bienvenue
Nina Stark I’M YOUR OWN PERSONNAL JESUS
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Sujet: Re: Kalt wie Stahl Mer 26 Juin - 8:10
Merciiiiiiiiiiii pour la validation petit ananas
Meuuuh oui je te pardonne Rozen et merci pour ton petit message
La femme à la cravache est bel et bien de retour, prête à (re)mettre le bronx aux plaisirs coupables, juste pour embêter son cher patron adoré
Invité Invité
Sujet: Re: Kalt wie Stahl Jeu 27 Juin - 8:40
(Avec un train de retard...) Je me disais bien que ce pseudo me disait quelque chose^^ Nina Stark, FRINGE POWA (@ Nina Sharp ) Bon retour parmi nous
Invité Invité
Sujet: Re: Kalt wie Stahl Jeu 27 Juin - 9:52
REBIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE NINAMOUR Tu as été validée j'ai même pas eu le temps de venir te souhaiter la bienvenue BREF Contente de te revoir
Invité Invité
Sujet: Re: Kalt wie Stahl Jeu 27 Juin - 13:45
NINAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA :hooooo: :cute:Le boulet m'avait dis que tu revenais mais étant occupée j'ai pas pu te souhaite la re-bienvenue comme il se doit :25:so :
RE-BIENVENUUUUE
En espérant que tu nous quittes plus, on a besoin de quelque ici pour faire enrager le centenaire Je ne suffit pas toujours
Puis fais attention J'ai un nouvel esclave, je te pardonne la perte du premier mais celui-ci est INTOUCHABLE ! Il est déjà pyromane et très dérangé donc si en plus il se met à jouer sur deux tableaux je vais vraiment devoir servir Puis il est spécial donc bats les pattes
En tout cas ravie de te revoir ici
Zéphyr E. Romanov « The last thing I want to do is hurt you. But it’s still on the list...»
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✤ OU TU TE TROUVES ? : aux Plaisirs Coupables
✤ EMPLOI/LOISIRS : Gérant du club aux Plaisirs Coupables
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Sujet: Re: Kalt wie Stahl Jeu 27 Juin - 13:53
Le centenaire? Pffff Je suis un type trop dévoué et serviable, tu crois que yoghurt à la fraise c'est moi qui l'ai tué Et Mahé je vais en prendre soin tu vas voir :nounous:
Le boulet il te pouet la harpie
Invité Invité
Sujet: Re: Kalt wie Stahl Jeu 27 Juin - 14:02
MAHE TU L'APPROCHES PAS
Va jouez avec tes danseuses
Nina Stark I’M YOUR OWN PERSONNAL JESUS
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Sujet: Re: Kalt wie Stahl Jeu 4 Juil - 15:26
Huhu j'avais pas vuuuuu vos tits messages par ici! Merci les gens pour l'accueil
J'vous bizoute baveusement
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Sujet: Re: Kalt wie Stahl
Kalt wie Stahl
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