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 La connaissance des secrets d'autrui est un pouvoir enivrant. Naoki & Cesare

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MessageSujet: La connaissance des secrets d'autrui est un pouvoir enivrant. Naoki & Cesare   La connaissance des secrets d'autrui est un pouvoir enivrant. Naoki & Cesare EmptyMar 27 Aoû - 21:58

Naoki & Cesare
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«  La connaissance des secrets d'autrui est un pouvoir enivrant. »

Il sourit et frissonne en sentant les mains caresser sa peau. Les longs doigts fins courent sur son ventre, ses pectoraux, redescendent avant de refaire le chemin inverse. Il profite du moment de douceur, lui qui n'en à que peu. Pour tout avouer il ne connaît même pas le prénom du jeune homme à ses côtés, un bel éphèbe blond comme les blés avec un visage d'ange. Un être humain qu'un de ses incubes lui à ramassé dans le bar de la ville. Un beau corps, doué il faut l'avouer. Cesare soupire, le temps passe et il n'est pas patient, l'agacement reprend vite sa place. D'un coup contre la main de l'humain, il lui fait comprendre que ses caresses lassent le souverain. « Sors, pars, je ne te le redirais pas. » Cesare se tourne vers le côtés pour terminer sa nuit mais pour son plus grand malheur le petit humain ne va pas le laisser tranquille. Il sent son corps chaud se coller contre la peau froide du roi. Ce dernier grogne de colère et se retourne pour lui faire face. « Tu n'as pas compris ? » Il siffle entre ses dents, c'est mauvais, très mauvais. Cet humain va finir en repas si il ne part pas en courant rapidement. « Si mais... » Il tente une approche, mais la main de Cesare contre sa gorge stoppe tout mouvement.

Le roi Espagnol plante ses crocs dans la carotide de son amant d'une nuit, rapide, net, froid. Glacial même. Cesare laisse retomber le corps de l'humain sur le lit et enfin se lève de sa couche. Il est trop contrarié pour dormir, tout ceci l'a mis en colère et il n'a pas envie de se recoucher. La nostalgie le prend alors qu'il s'avance vers la fenêtre pour regarder l'horizon. La nuit noire baigne la ville d'une aura inquiétante, presque malsaine. Il aime ce sentiment d'insécurité, elle lui rappelle ses années à Madrid. Il est nostalgique de sa vie au Vatican, des complots, meurtres, trahisons au sein de la cité papale. Ce temps béni où il pouvait glisser une jolie dose d'arsenic dans chacun des verres qu'il trouvait lui manque, il avait tant de pouvoir, de respect dans les yeux de ses sujets qu'il en aurait presque la larme à l’œil. Presque bien-sûr, Cesare ne pleure pas. Il n'a jamais pleuré de sa vie, même à la mort de sa mère pour qui il à eut de l'affection, il à été incapable de verser la moindre larme. Cela fait-il de lui un monstre ? Oui. Une bête assoiffée de sang sans doute, il est pire encore que le diable en personne. A l'image de l'antéchrist écris dans les bibles qu'il à lu, il est la plus pure des représentations de Satan sur la terre. Et sur l'île aussi. Quoi qu'il à eut vent d'un certain Eleazar et de Lorcan Bridgestone qui, d'après les rumeurs, sont hauts placés dans le sadisme également. Il aimerait les rencontres, voir ce que cela peut donner. Une autre fois peut-être aujourd'hui il voudrait se reposer.

Après tout il vient d'arriver sur l'île et il est fatigué. Il sent l’épuisement alourdir ses yeux. Entre les réunions, rencontres diplomatiques et conférences il n'a plus le temps de se reposer et aujourd'hui cela se fait sentir. Il frissonne, plus par habitude que par froid. Cesare est né vampire il ne sait pas ce que peut-être le froid, la chaleur du soleil sur une peau, la brûlure d'un métal bouillant sur son épiderme. Il ne le sait pas et pourtant il aurait aimé connaître ces sensations humaines au moins quelques heures, savoir tout ce que cela procure. Bien-sûr il y a l'argent qui brûle la peau des vampires, mais la douleur est telle qui ne pense pas que c'est pareil pour un humain. Il est condamné à fantasmer jusqu'à la fin de sa vie des sensations qu'il n'aura jamais connu.

On frappe à la porte de sa chambre, il donne l'ordre d'entrer. Un esclave du château s'excuse avant de sursauter en voyant le corps sans vie de l'amant d'une nuit du roi. Ce dernier sourit en voyant l'effet que provoque le cadavre, c'est toujours jouissif d'avoir autant de pouvoir, décider de la vie et de la mort de tout ces sujets. C'est presque grisant. Cesare à toujours aimé cette sensation de tout contrôler, de décider de qui vivre où qui vivra encore une journée, qui aura le privilège fou de survivre 24H de plus. Le serviteur prend le corps et débarrasse la chambre instantanément, tremblant à l'idée de finir en repas également. Le roi d'Espagne se dirige vers son armoire et enfile un peignoir, cachant sa nudité et les cicatrices qu'il arbore un peu partout sur son corps. Vestige de combats avec ses frères, jalousie fraternelle et épée d'argent sur sa peau. Ce métal laisse des traces, le corps de Cesare peut le témoigner.

Au même moment un autre serviteur rentre avec des draps sous le bras. En effet il faudrait faire le lit du roi, il est souillé de sang et Cesare ne va pas se recoucher tant que les draps ne seront pas propre. Pourtant l'esclave ne bouge pas, il reste à l'entrée de la chambre et regarde son maître. Quel affront ! Rare sont les esclaves qui osent regarder dans les yeux les vampires, royaux qui plus est. Il risque sa vie mais ne semble pas le réaliser. Et puis Cesare fait le rapprochement, c'est un petit nouveau qui vient d'entrer à son service depuis quelques jours. Le roi ne connaît même pas son nom et pour tout dire il n'en a rien à faire. C'est un asiatique qui parle mal la langue apparemment. « Fais le lit. » L'ordre claque sans douceur dans la chambre, pourtant le serviteur ne bouge pas. « Et bien ? Fais ! » Le souverain sent que sa patience va être mise à rude épreuve avec ce petit nouveau qui ne comprend pas un traître mot de ce que baragouine le roi.  

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Naoki Shimizu
Puisque tu sais chanter, ami, tu sais pleurer.
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MessageSujet: Re: La connaissance des secrets d'autrui est un pouvoir enivrant. Naoki & Cesare   La connaissance des secrets d'autrui est un pouvoir enivrant. Naoki & Cesare EmptyMer 28 Aoû - 20:21

Cesare & Naoki
Naoki était dans ce foutu palais depuis un peu plus d’une semaine, et ça faisait tout juste quelques jours de plus qu’il était sur cette foutue ile, sur cette ile remplie de vampires. Le petit brun n’arrivait pas le croire, les vampires excitaient. Il vivait avec ces êtres sanguinaires depuis une semaine, et pour le moment il ne s’était pas fait sucer le sang par une de ses créatures, mais ça ne saurait tarder. Il était au service des vampires et d’après ce qu’il avait compris que certains d’entre eux n’hésitaient pas à maltraiter les humains en ne les considérant que comme des vulgaires garde-manger et esclaves devant exécuter leur moindre de leur désir. Naoki avait beau être poli et respectueux envers les autres, il n’aimait pas être considéré comme un petit toutou qui devait effectuer les moindres autres désirs d’un mec. Bref, c’était la nuit et il n’avait plus qu’une envie et c’était d’aller endormi. Il était fatigué, fatigué d’entendre à longueur de journée une langue qui n’est pas sienne et d’essayer de la comprendre. Le jeune n’avait qu’une envie et c’est d’être chez lui emmitouflé dans sa couette, mais il devait être là pour répondre au moindre besoin de son maitre. Tiens, parlons-en de son maitre, c’est un certain Cesare Borgia. Naoki n’avait pas pu s’empêcher de sourire à l’annonce du prénom de son maitre. Oui, le nom de Cesare Borgia ne lui était pas inconnu, le jeune avait joué à plusieurs jeux vidéo et il avait déjà croisé quelques personnages nommés Cesare Borgia. Est-ce une simple coïncidence, ou pas ? Enfin ce n’était pas très important, c’était juste amusant… Son maitre était quelqu’un de cruel, il ne l’avait jamais vu à l’œuvre, mais certains humains l’avaient prévenu. Il n’avait pas vraiment saisi ce qu’on lui avait dit, mais il semblerait c’était un vampire particulièrement violent. Pour le moment, le japonais était avec d’autres humains dans une salle du palais. Il les observait plus qu’il ne parlait avec eux, il ne comprenait pas totalement ce qu’il disait, et surtout il n’osait pas parler anglais.  

Il se redressa et se posta devant la fenêtre, il se demanda ce qu’étaient devenus ses amis. Il ne les avait plus recroisés depuis que le Succube l’avait capturé. Il espérait qu’ils soient tous les deux en vie. Peut-être avait-il repartir de l’ile ? Il aurait aimé être avec eux, et parler de tout et de rien. Ils auraient refait le monde comme lorsqu’ils avaient 17 ans. Il aimerait aussi revoir sa famille, tout le monde lui manquait… Est-ce qu’ils pensaient qu’il était décédé ? Ou les recherches continuaient-elles ? Sa mère allait-elle bien, il savait qu’elle était un petit peu de fragile.  Il se laisse tomber sur la chaise à côté de la fenêtre, il ferma les yeux un instant, tout ce qu’il voulait c’était aller dormir. On l’appela, il releva la tête et un des serviteurs du château fit signe de le suivre, ce qui voulait dire que son maitre avec besoins de lui. Il lâcha, un soupire, et se redressa pour suivre l’homme. Naoki essayait de mémoriser le château, il n’aimait pas se perdre et encore moins demander de l’aide à vampire qui passait par là. Le serviteur essaya de lui expliquer ce qu’il c’était passé, mais de nouveau Naoki ne comprit que quelques mots comme le mot sang, draps et lit.  L’homme lui donna des draps, Naoki comprit qu’il allait devoir changer les draps. Il s’arrêta quelques secondes devant la porte, il hésita quelque instant avant de poser la porte. Il entra dans la chambre et un haut-le-cœur le prit, l’odeur de sang était très présente dans toute la pièce. Le japonais avait vu plus de sang humain en une semaine qu’en vingt-quatre ans excitants, dont quasiment dix dans un gang. Il ne baissa pas les yeux, il continuait à fixer son maitre. Son maitre était habillé d’un simple peignoir, il venait surement de passer un petit moment agréable avec un jeune homme ou une jeune femme. C’est qu’il était plutôt séduisant comme ça. Fallait bien avouer que son maitre était un mec plutôt bien fait et très sexy, mais c’était un vampire. Un petit détail qui freinait le jeune homme, il ne voulait pas finir comme l’humain qui était là quelques instants plutôt. Oui, Nao avait deviné que son maitre avait vider de son sang un humain … Et un ordre suivit, il avait compris l’ordre ou plutôt deviné ce que voulais son maitre, mais il ne bougea. Il pensait bien qu’il allait devoir changer les draps, mais il n’était pas sur. Son éducation prit le dessus, et il s’inclina pour s’excuser. « Désoler… J'ai pas compris ». Son accent japonais marquait chaque mot de la phrase…
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MessageSujet: Re: La connaissance des secrets d'autrui est un pouvoir enivrant. Naoki & Cesare   La connaissance des secrets d'autrui est un pouvoir enivrant. Naoki & Cesare EmptyJeu 12 Sep - 21:06

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« La connaissance des secrets d'autrui est un pouvoir enivrant. »

Son nom avait traversé les ages. A tel point qu'il avait marqué l'histoire. Il lui arrivé parfois de taper Cesare Borgia sur internet et de tomber sur des milliers de liens plus farfelues les uns que les autres. Cela le faisait sourire et rire d'avoir tant d'importance. Une sorte de célébrité oui, il avait marqué l'histoire par ses actes et ses agissements. D'une barbarie extrême, sa façon de tuer les propres membres de sa famille, l'inceste avec sa sœur avait fait de lui un des personnages de la famille Borgia le plus connu. Et il était fier pour cela. Comment réagiraient les gens si ils apprenaient que les Borgia étaient encore vivant et bien présent sur terre ? Pas humain certes, mais bien réel. Cela pouvait avoir un intérêt tout particulier, il connaissait l'histoire par cœur car c'était lui qui l'avait écrite. Ses actes avaient façonnée une des parties les plus choquantes de l'église et de la croyance chrétienne. Son père avait été un homme de pouvoir avec une poigne en fer. Un homme qui, lorsqu'il parlait, les gens autour se taisaient. Et son fils Cesare avait suivi le même chemin pour lui ressembler, prendre pour modèle ce patriarche peut enclin aux caresses. Mais cela n'avait servi à rien, son père adorait ses fils mais pas Cesare. L'avant dernier de la famille Borgia n'avait jamais été dans les bonnes grâces de son père, c'était ainsi et c'est ce qui avait expliqué sa colère. Et ses actes de barbaries.

Pas que Cesare n'avait pas un penchant pour le meurtre, il ne l'aurait jamais avoué publiquement. Lui dire qu'il était fou sur les bords ? Jamais ! La fierté l'emportait obligatoirement. Ainsi était le nouveau roi d'Espagne. Il ne réalisait toujours pas. Il venait à peine de monter sur le trône, c'était un nouveau comme on le disait souvent. Et il était traité en tant que tel chose qui pouvait le rendre fou de colère. Jeune roi certes, mais ce n'était pas pour cela qu'il n'avait pas d'expérience. Il avait connu des batailles, des complots et sans doute le pouvoir mieux que personne. Il avait côtoyé les grands du monde, rencontré les personnes les plus influentes. Alors quand un vieux vampire venait lui dire qu'il n'était qu'un jeune, l'envie de lui arracher les tripes lui tordait l'estomac. Mais en tant que bon roi, il avait une éducation et pour cela, il se contentait simplement de rappeler que l'Espagne était l'une des plus grandes puissances du monde vampire et qu'il n'était pas n'importe qui.

Cela avait le don de calmer tout le monde, en particulier ses ennemis. Mais avec le temps Cesare avait réussi à se faire accepter, si bien qu'aujourd'hui lorsque le roi entrait dans une pièce les gens attendaient qu'il parle pour reprendre leurs discutions. Enfin à sa cour du moins, ici sur Heartkiller c'était les Brigestone qui détenaient le pouvoir. Cesare ne les appréciait pas beaucoup. Comme tout les autres d'ailleurs, il n’appréciait que rarement les autres souverains.

En attendant il attendait qu'un serviteur daigne nettoyer sa chambre et ses draps, il comptait se reposer encore. Entre les réceptions, rendez-vous et tout cela il n'avait que peu de temps pour penser à lui et à son bien-être personnel. Loin de son palais et de son Espagne si douce, le climat lui manquait. Il était plus doux qu'ici, l'air était plus chaud. C'était une chose qu'il appréciait tout particulièrement même si il ne pouvait pas croiser les rayons du soleil sous risque de ne plus s'en relever. Tout de même l'attende se faisait longue et le souverain allait perdre patience, il n'aimait pas qu'on le fasse attendre et aimait être servi dans la minute. C'était son petit défaut parmi les autres, plus grand. Enfin un esclave arriva dans la chambre avec des draps. Le roi se tourna vers lui et le salua d'un signe de tête, il était dans son bon jour c'était bon signe pour ce serviteur. Pourtant il regardait le souverain sans bouger. Cesare fronça les sourcils, peu enclin à se faire dévisager de la sorte. L'esclave se pencha en avant en baragouinant quelque chose. « Désoler… J'ai pas compris » Cette petite phrase perçait d'un accent pointu... Un asiatique c'était certain mais de quel pays ? Cesare avait étudié toutes les langues, il savait en parler énormément en tant que vampire et surtout roi.

Il prit le risque de parler chinois. « Fais le lit. » Voyant l'esclave qui ne bougeait pas, Cesare soupira et essaya la même chose en japonnais, espérant que cette fois serait la bonne. Il n'avait pas l'habitude se plier aux esclaves et encore moins des étrangers, mais aujourd'hui la bonne humeur calmait son sadisme habituel. Et puis il avait déjà tué, cela jouait aussi. Voyant le regard du serviteur s'illuminer lorsqu'il parla japonnais il lui fit un sourire. Il avait sans doute trouvé la langue maternelle de cet esclave. Il continua sur sa lancée. « Et fais débarrasser le corps aussi. » Il jeta un regard sans intérêt vers l'humain qui avait été son amant d'une nuit. Puis il revint vers le serviteur. « Comment tu t'appelle ? Tu viens d'où ? »

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MessageSujet: Re: La connaissance des secrets d'autrui est un pouvoir enivrant. Naoki & Cesare   La connaissance des secrets d'autrui est un pouvoir enivrant. Naoki & Cesare EmptyDim 22 Sep - 22:29

Cesare & Naoki
Naoki ferma les yeux et respira doucement avant de pousser de la porte de la chambre. On lui avait dit que Cesare était un mec très sadique, et puis si ce que les livres d’histoire, les romans, les films et autre disaient la vérité sur son maitre était quand même quelqu’un de très tordu. Le japonais poussa un soupire avant de pénétrer dans la pièce, le vampire se retourna et salua d’un signe de la tête le jeune esclave , ce qui intrigua le jeune homme. Cesare était censé haïr les humains et ne pas les saluer, enfin c’était ce qu’on lui avait dit quand il prononçait son nom. Il fixa le vampire de son un mètre soixante-neuf, il ne baissait pas le regard… Sa foutue taille le complexait, il se sentait petit à côté de la plupart des Occidentaux, et c’était le cas face à son maitre. Il ne baissa pas les yeux pour autant face à ce beau vampire en peignoir… Sa fierté l’empêchait de baisser les yeux, encore cette foutue fierté qui allait lui causer des problèmes. Naoki essayait d’oublier l’odeur du sang et la présence d’un corps humain sur le lit, il n’avait pas encore osé regarder le lit, il avait peur de poser son regard sur le cadavre mutilé du jeune homme. Le japonais n’avait encore jamais vu un mort, il n’avait que vingt-quatre ans et n’avais pas vécus très dangereusement même s’il faisait partie d’un petit gang… Le brun lui donna un ordre que Noaki ne saisit pas. Il s’était bien douté qu’il fallait changer les draps, mais que devait-il faire du corps ? Il resta un moment silencieux et finit par parler d’une voix hésitant et ponctué d’un accent japonais bien trop prononcé. Il espérait que sa phrase soit correcte et qu’il le comprenne. Oui, Nao n’était vraiment pas douée en anglais, il n’avait quasiment aucun vocabulaire ce qui rendait sa vie ici encore plus difficile qu’elle n’aurait dut l’être. Rien que, demander son chemin où explique qui était son maitre était une véritable corvée pour lui… En même temps qu’il s’excusa, le jeune homme s’inclina plusieurs fois face au vampire, c’était comme ça qu’on s’excusait dans son pays, il savait que ça pouvait étonner certaines personnes. Cesare semblait réfléchir avant de prononcer une phrase en chinois, l’humain ne broncha pas. Il ne parlait pas chinois et ne voulais pas faciliter la tâche au vampire en lui disant qu’il était japonais parce que ça il savait le dire en anglais. Il fut étonné que le brun parle mandarin, et il fut encore plus étonné d’entendre l’homme parler japonais. Il était surpris, heureux et en même temps un peu déçu, heureux parce qu’il allait pouvoir comprendre ce qu’il lui demandait, mais déçu parce qu’il ne pourrait s’énerver dans sa langue natale sans que personne ne le comprenne.
Il avait compris l’ordre, mais il n’avait toujours pas bougé. Il n’avait pas encore pris le courage de tourner la tête et regarder le corps étendu dans lit… Il lui demanda de faire débarrasser le corps. Il n’était pas prêt pour porter un mort, il n’était là que depuis quelques jours et avait déjà du mal à accepter que les vampires existaient alors devoir faire disparaitre le corps des humains qui leur avait servis de repas n’était pas vraiment quelque chose qu’il se sentait de faire et puis quand on est bien éduqué on débarrât soi-même son repas. Nao tenait toujours les draps propres dans ses bras et fus surpris de la question de son maitre

-Je m’appelle Shimizu Naoki, et je viens de Tokyo…

Il n’avait toujours pas baissé le regard, et lança un petit regard vers le lit avant de reporter rapidement son regard sur vampire.

-Je veux bien changer les draps, mais je ne touche pas à votre “repas “ vous pourriez le débarrassez vous-même…
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