Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme
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Sujet: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Mar 9 Juil - 22:02
☇ Solveig Mathilda Raulne
“ Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme ”
☇ My Lord, My Master
FEAT. Jennifer Love Hewitt
PRENOM(S) & NOM : Solveig Mathilda Raulne SURNOM : Sol’, Chérie, Maman DATE & LIEU DE NAISSANCE : 12 mai 1979 à Lille, nord de la France AGE : 34 ans MÉTIER : Traductrice de roman STATUT : Mariée ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle CARACTÈRE : éméraire – Passionnée – Fougueuse – Emportée – Rancunière – Dévouée – Aimante – Accorde trop facilement sa confiance – Brisée - Désespérée
☇ LE QUESTIONNAIRE HEARTKILLIEN
▬ comment considérez-vous la famille Bridgestone ? avez-vous une relation spéciale avec eux ?
La famille Bridgestone ? Je connais le journal de Bridget Jones, un livre et un film que j’ai dû voir à la Tv, mais Bridgestone, franchement cela ne me dit rien. Si c’est en rapport à cette ile, je viens d’arriver donc… Ce n’est pas à moi qu’il faut poser cette question du coup. Je ne vous serais pas d’une grande aide
▬ que pensez-vous de la condition des esclaves/humains sur l'ile ? pour ou contre leur traitement ?
… C’est une blague c’est ça ?! Ouais, ça doit être ça, car faut franchement être bête pour venir me poser cette question. Ce que je pense du fait d’être une esclave sur cette ile, c’est franchement évident, je suis contre. Vous vous attendiez à quoi au juste ? Je ne vais pas vous répondre « Wouhouuu je ne sais pas où est mon fils, ni même mon mari, et je me retrouve prisonnière d’un vampire, ma vie est vraiment la plus belle de toute, je n’aurais pas pu rêver mieux ! » …
▬ comment trouvez-vous heartkiller ? la ville en elle-même, son organisation, son climat, ses habitants.... ?
Vous êtes vraiment sûre que vous ne vous êtes pas trompés de personne là ? Je n’en sais foutrement rien, allez fichez moi un peu la paix ! Je suis vachement là pour faire du tourisme et pour me préoccuper d’une ville que je n’ai pas vraiment vu en plus. J’ai autre chose en tête. Faut que je vous le dise en quelle langue ? Français, anglais, chinois ?
▬ avant d'arriver sur HK, quelle était votre opinion sur les rumeurs englobant le triangle des bermudes ?
Le triangle des Bermudes, c’est comme le monstre du Lock Ness, ou encore une licorne… Ce sont des inventions de toutes pièces, créées dans l’imaginaire de l’esprit de plusieurs Hommes, au sens être humain et non pas représentant de gente masculine bien entendu. Je ne m’en occupais pas. Je ne crois que ce que je vois de toute façon…
▬ craignez-vous la furie des derniers levinson ? d'ailleurs, qu'évoque pour vous la chute du roi allan levinson ?
Vous allez un peu arrêter avec vos questions !? Je vous l’ai dit, et je vous le répète, je n’en sais rien du tout ! Et même si je savais quelque chose, vous savez quoi ? Je m’en contre fous, mais à un point, vous ne vous imaginez même pas. Tout ce qui m’intéresse c’est de retrouver ma famille et de rentrer chez moi.
▬ et enfin, question piège, que pensez-vous des adminettes ? Qui est la plus folle ? La plus sexy ? La plus chieuse ? dites-nous tout...
Demandez à Philippe… Il a toujours bien aimé s’entourer de belles femmes, il saura vous répondre mieux que moi. Ah et si vous le voyez, dites-lui que je le recherche, et que Jean est quelque part sur cette foutue ile, seul…
PRÉNOM/SURNOM : Kanala AGE : Bientôt un quart de siècle SEXE : F COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : Philippe :P ET COMMENT TU LE TROUVES? Bien, sinon je ne serais pas là :P Je ne lui trouverais que deux défauts : Pas de partie crédit dans la fiche pour les créations utilisées, et de très long profil sur le côté qui allonge un max les messages, quelque fois pour rien du tout ;) EST-CE QUE VOUS SOUHAITEZ ETRE PARRAINE ? Cela dervait aller PEUT-ON ON FAIRE UN PREDEFINI DE VOTRE PERSO. SI VOUS ETES SUPPRIME ? Il faut voir ça avec Philippe, pas avec moi :) CODE RÈGLEMENT : VALIDEE PAR G.G qui voit tout, qui sait tout
Dernière édition par Solveig M. Raulne le Mar 16 Juil - 20:06, édité 7 fois
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Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Mar 9 Juil - 22:02
☇ Préambule
“Il était une fois ”
Il était une fois… Toutes les belles histoires qui se finissent bien commencent par un « il était une fois ». Enfin, belles, c’est une question de point de vue je pense. Je n’ai jamais aspiré à devenir une princesse au foyer, qui n’a que pour seule ambition que de s’occuper de ses trente-six milles gosses et de son époux qui s’en va sauver le royaume tous les quatre matins. Si je pouvais m’identifier à l’une d’elle, ce serait plus Leia, dans Stars War. Indépendante, forte, téméraire, têtue, se battant pour ces proches et ces valeurs. Et pour autant pas sans défaut, capable de se laisser tenter par un soupirant prévenant, prenant soin d’elle… Vous le comprendrez, ma vie est loin d’être un conte de fée. Pourtant, je n’ai aucun regret. Aucun…
After Ever After ❖ Paint
☇ Si l'esprit voit plus loin, l'avenir nous appartient
“ Puisqu'on est jeune et con, puisqu'ils sont vieux et fous... ”
J’ai vu le jour, et j’ai toujours vécu à Lille. Ne me demandez pas pourquoi, j’ai toujours été attachée à ma ville natale. Si j’ai pu visiter d’autres lieux, je suis toujours revenue vers elle. J’y ai tous mes souvenirs, qu’ils soient heureux ou non. Que vous dire de ces derniers ? C’est assez dur de faire le tri de tout ce qui me vient en tête lorsque je pense de mon enfance. Pour aller à l’essentiel, je suis la petite cadette et seule fille d’une famille modeste qui comptait trois enfants. Mes parents m’ont toujours apporté de l’amour et m’ont toujours couvé. Peut-être quelque fois un peu trop d’ailleurs. Avoir quatre personnes constamment sur votre dos, ce n’est pas facile tous les jours. Je les adore, ne vous méprenez pas. Seulement ils m’empêchèrent pendant très longtemps de faire mes propres expériences, d’échouer pour mieux réussir. Vous ne connaissez pas la fameuse phrase de M. Wayne à Bruce ? « Pourquoi tombons-nous Bruce ? Pour mieux apprendre à nous relever. ». Très vite indépendante et plus mature que les autres personnes de mon âge – chose que je devais de passer beaucoup de temps avec mes grands frères plus âgés de 4 et 6 ans –, c’est donc très jeune que j’ai commencé à faire le mur, pour échapper à mes frères et mes parents. Si j’étais très studieuse à l’école, et laissais voir une jeune fille très sage et propre sur elle, j’étais une vraie boule d’énergie au fond de moi qui rêvait d’évasion. Je pense que c’est de là que m’est venue ma passion pour… La gente masculine. Oui je n’ai pas honte de le dire, j’étais une véritable croqueuse d’hommes. Et à mesure que les années passées, je devenais de plus en plus exigeante. Fini de se satisfaire du voisin de bonne famille, je voyais toujours « plus grand ». Je sortais souvent, dans le dos de mes parents bien entendu. Mes grands frères, eux, passaient leur temps à essayer d’éloigner leurs copains de moi, en vain. S’ils ne disaient à mes parents, c’était parce que je restais leur petite sœur, chiante qui se lassait de draguer pas des garçons de trois à cinq ans plus âgé qu’elle, mais leur petite sœur quand même. Disons-le, nos géniteurs étaient pas mal conservateurs, et me voyaient déjà épouser un jeune homme de bonne famille, respectable, qu’eux m’aurait choisi. Bref, le genre de chose qui m’apparaissait franchement insupportable. Cette pression, Gaël et Benjamin n’ont jamais eu à la subir, et c’était d’ailleurs pour cela qu’ils ne me dénonçaient pas. Ils n’arrêtaient pas de se répéter que cela me passerait. Et ils avaient raison…
Mon attrait pour les hommes plus âgés passa à mon entrée au lycée. Pourquoi ? Disons que j’aimais bien m’exhiber avec mon « nouveau trophée » devant mes copines, et que c’était difficile si je ne pouvais l’avoir avec moi qu’en dehors de mon établissement scolaire. Ainsi me reportais-je sur les jeunes hommes de mon âge. J’étais souvent plus expérimentée qu’eux, mais je m’en fichais. Du moment qu’ils étaient canons, qu’ils en avaient un peu dans la tête mais surtout qu’ils étaient dingue de moi, cela me suffisait. J’étais persuadée à l’époque que c’était suffisant pour trouver chaussures à mon pied, ce qui n’était absolument pas le cas. Contrairement à mes copines qui m’entouraient, je n’ai jamais vraiment trouvé un garçon à qui je pouvais faire vraiment confiance et qui ne me considérait pas comme juste la fille populaire avec qui il faut absolument sortir au moins une fois. Je dois l’avouer, je n’avais pas vraiment de véritables amies. C’était rare qu’elles restent avec moi pour autre chose que ma popularité ou mes bonnes notes. J’aurais pu m’en offusquer, mais j’étais consciente que je n’étais pas vraiment non plus une bonne amie. Ce n’était qu’un juste retour de leur part après tout. Lorsque j’avais un problème, j’allais trouver mes frères. J’avais toujours été très proche d’eux, encore plus à mesure que je grandissais. Ils étaient mes meilleurs amis, ceux qui ne me jugeraient jamais et qui seraient toujours pour moi, peu importe ce que je pouvais faire.
Leur perte m’est encore très douloureuse. Ils disparurent dans un accident de voiture. Un chauffard complètement ivre les a heurtés. Gaël est mort sur le coup, et Benjamin sur la table d’opération. Je venais tout juste d’entrée à l’université. Ce fut un coup dur pour toute la famille. Nous sombrèrent tous d’une manière qui nous furent propre. Mes parents divorcèrent et ma mère partie sans jamais se retourner, me laissant avec mon père, qui lui tomba peu à peu dans l’alcool. Moi qui m’était toujours plainte de leur trop grande protection, je me retrouvais complètement libre… Enfin, complètement livrée à moi-même surtout. Après la mort de mon père, deux ans après celles de mes frères, je me retrouvais plus seule que jamais. Me raccrochant à ce que je pouvais, à savoir mes études et mes conquêtes, je connu de nombreuses déceptions avec mes camarades étudiants. Mes erreurs de jugements les concernant étaient nombreuses, et je faisais l’erreur de leur accorder trop facilement ma confiance. Je finis par ne plus accorder à personne la possibilité d’entrée vraiment dans ma vie, me contentant de quelques soirées sans lendemain, et de vagues camarades de classe.
En 2004, j’obtenais mon diplôme et trouva tout de suite un boulot de traductrice dans la littérature. Parlant couramment le français, l’anglais, le chinois et le russe, ce ne fut pas vraiment dur d’obtenir le poste que j’avais toujours voulu avoir. Pas besoin de passer par la case « stagiaire qui sert le café ». Et heureusement, car je ne l’aurais pas supporté. Exigeante, je l’avais toujours été et je pouvais me permettre de l’être surtout au vu de mes compétences. J’entamais une nouvelle vie, et j’étais loin de me douter de tout ce qu’elle allait m’apporter…
Jeune et con ❖ Saez
☇ Faudrait surtout rien gâcher
“ Me vois-tu comme je te vois?”
En terme de carrière professionnelle, je ne pouvais pas rêver mieux. Mon travail me plaisait et j’adorais m’y rendre tous les matins. On me confiait de plus en plus de bouquins à traduire, dans des délais de plus en plus courts, délais que je tenais à chaque fois. J’étais une employée modèle et j’adorais la reconnaissance que je pouvais en tirer. Elle comblait le vide béant dans ma vie affective. Si j’étais devenue plus sociable et m’étais fait des amis, de vrais amis, je restais la célibataire endurcie du groupe, qui ne voulait pas entendre le mot « couple », et encore moins « mariage » et « enfant(s) ». Je leur disais à chaque fois que ce n’était pas mon truc et que j’aimais ma vie de célibataires volages. Ce n’était bien évidemment pas vrai, mais pour rien au monde je ne l’aurais avoué, trop fière que j’étais. Si j’écumais souvent les bars et les boites de nuit, ce n’était que pour m’amuser une nuit, avant de retourner à ma vie où personne ne pourrait me faire du mal. Je ne m’attendais vraiment pas à tomber un soir sur Philippe. C’est lui qui était venu m’aborder, et j’eu du mal à reconnaitre le plouc, sans cervelle, aux faux airs rebelles et de dur, un imbécile qui n’était pas capable de calculer deux fois deux que j’avais connu au lycée. A l’époque, lorsqu’il s’était intéressé à moi, je n’avais pas vraiment été tendre avec lui. S’il avait été éprit de moi, cela n’avait pas du tout mon cas… Là, c’était différent. Il était différent, et moi aussi, même si dans le fond, je restais toujours la même. Si cette image que j’avais de lui aurait pu me rebuter, ce ne fut bien vite plus le cas. Il sut me séduire avec une facilité déconcertante. Son humour, sa carrure, sa maturité, sa manière de voir les choses… Je ne sais pas trop quand nous avons quitté la boite pour aller chez lui. Tout ce que je sais c’est que notre première nuit fut passionnelle, et qu’elle déboucha qu’une relation de la même manière. J’étais attirée inévitablement vers lui et ses efforts toujours constants pour me garder pour lui, rien que pour lui me firent chavirer du tout au tout. Notre histoire alla très vite aux yeux de certains, vu qu’à peine huit mois plus tard, il me demandait en mariage et que quatre mois plus tard je lui disais oui. Pour nous, elle fut… le prolongement naturel de cette relation que l’on partageait. Je ne sais pas vraiment comme l’expliquer mais je m’étais rendue très vite compte qu’il était l’homme de ma vie, celui avec qui je finirais, celui qui serait le « dernier » d’une longue liste qui m’avait amené jusqu’à lui finalement. Nous eûmes d’ailleurs très vite un enfant. S’il n’avait pas été vraiment dans mon projet immédiat, il n’était pas question d’avorter, car cet accident était finalement le fruit de notre amour. Ma grossesse se fit sans problème, et en 2006, naquit Jean. Notre vie était parfaite et j’étais comblée et heureuse. Rien ne pouvait gâcher cela, rien… Ou du moins c’était ce que je pensais…
Je ne me souviens plus vraiment quand est-ce que notre mariage est parti en vrille. Il me semble que c’était l’année des quatre ans de notre fils… Oui c’est ça, c’était lorsque Jean avait quatre ans que tout dérapa. Je ne sais pas comment nous en sommes arrivés là. A mesure que Philippe partait et revenait de mission, il se refermait sur lui-même. J’essayais de lui parler, de l’aider, mais cela ne menait qu’à des silences de plus en plus fréquents. Il nous abandonna peu à peu, Jean et moi, oubliant ses anniversaires, les miens, et les notre. Il ne rentrait quasiment plus à la maison, et les rares fois où c’était le cas, il dormait sur le canapé. J’avais essayé de sauver mon mariage, et j’avais échoué. Ce constat fut très dur à encaisser, mais nécessaire pour que j’avance, que je recolle les morceaux de mon cœur blessé. Il le fallait. Du haut de ses cinq ans, Jean pensait que, si j’étais malheureuse, que si son père ne rentrait plus, c’était de sa faute à lui, parce qu’il n’était pas assez sage. Ce fut à ce moment-là que je repris ma vie en main. Pour mon fils. Mon fils méritait une mère heureuse. J’ai alors cessé d’espérer que les choses s’arrangent. Si je n’entamais pas une procédure de divorce, c’était pour ne pas chambouler plus mon fils. Je rangeais ma bague dans mon coffre à bijoux, et entama une vie de mère célibataire.
Le bonheur finit par frapper de nouveau, à un moment où je ne m’y attendais pas. Alors que je sortais avec des amies dans un bar, je tombais sur le professeur de mon fils. Nous discutâmes autour d’un verre, avant de retourner à nos vies. Nous nous revîmes d’autres fois, au même bar, nous nouant d’amitié l’un pour l’autre. Je ne pensais pas possible d’être séduite par un autre homme et pourtant, ce fut le cas. Contrairement à ma relation avec Philippe qui s’était fait nouée rapidement, avec Mickaël, ce fut tout autre. Un an, il a fallu attendre un an et qu’il ne soit plus en charge de mon fils pour que je finisse par accepter de diner chez lui. Ce dernier déboucha sur de nombreux autres qui se concluaient toujours de la même manière : il insistait pour me ramener, m’embrasser, me glissait des mots doux et des compliments, puis rentrait chez lui. Pas une seule fois, il ne s’était montré insistant, et c’était ce qui me plaisait chez lui. S’il avait eu au départ une attirance physique pour moi, ce n’était pas seulement ça qui l’intéressait, mais bel et bien la femme que j’étais. Il me faisait me sentir bien dans mes baskets, et je redevenais peu à peu heureuse. Philippe n’était plus qu’un colocataire qui partageait la garde de mon enfant rien de plus. Malgré tout, je restais mariée à lui, et tant que c’était le cas, je me refusais à coucher avec Mickaël. Et pourtant, ce n’était pas l’envie qui nous en manquait. Si j’avais failli céder une fois, je m’étais reprise, lui expliquant que je ne pouvais pas, pas tant que j’étais encore liée à mon époux. Cela m’était moralement impossible, en souvenir de toutes ses belles années passées ensembles. Et puis, je pense aussi que j’avais peur que cela ne gâche tout entre l’enseignant et moi, que tout se gâte entre nous. Cette peur irrationnelle, il ne put jamais l’apaiser, ainsi l’acceptait-il par faute de choix. Il lui fallait attendre de long mois d’ailleurs avant que je finisse par lancer une procédure de divorce, papier que je faisais parvenir par la poste à celui qui était encore officiellement mon époux, qui venait de repartir encore en mission et qui ne devait rentrer que dans un mois, ou deux, ou trois allez savoir vous quand est-ce qu’il rentrerait. Je ne m’attendais pas à tomber sur lui le lendemain, à peine une semaine après son départ. Ce soir-là, j’étais sortie avec Mickaël. Je ne sortais pas la semaine d’habitude, mais Jean dormait chez un ami. Ainsi avions nous profité de cela pour nous revoir. Nous avions diné dans un restaurant, puis voir un film au cinéma. Alors que j’invitais pour un dernier verre l’homme à minuit passé, je ne m’attendais pas à trouver dans le salon Philippe. Sinon je n’y serais pas rentrée main dans la main avec mon amant – dieu que je déteste ce mot -, riant aux éclats à ce qu’il venait de me dire, et le laissant m’attirer vers lui, pour m’embrasser. C’est le bruit d’un verre se brisant par terre qui me fit tourner la tête vers le canapé et voir, dans la pénombre, la silhouette de Philippe se dessiner. Je me revois encore séparer les deux hommes, et demander à Mickaël de s’en aller, que je le rappellerais plus tard. A peine avait-il passé le pas de la porte qu’une violente dispute éclata entre mon époux et moi. Ces reproches… je crois que je ne pourrais jamais les oublier, pas même les insultes que je dus essuyer ce soir-là. Jamais nous ne nous étions pris la tête aussi violemment. Jamais je ne m’étais imaginée lui jeter un objet à la figure en lui criant de partir, ce qu’il fit sans même se retourner. Je n’eus plus aucune de ses nouvelles, si ce n’était des réexpéditions de son courrier par l’armée, dont les papiers du divorce, que j’avais signé et que je lui avais envoyé. Je finis par mettre un terme à ma relation avec Mickaël. Il me reprochait de ne pas être le seul dans mon cœur, et le fait que j’aimais encore Philippe. Il avait raison. J’étais toujours attachée au militaire, et je le serais sans aucun doute toute ma vie. A chaque fois que je posais les yeux sur Jean, je ne pouvais pas m’empêcher de repenser à tous nos bons moments. Je me recentrais d’ailleurs sur mon fils, vivant très mal l’absence de son père.
Si je reviens vers mon époux, ce fut pour notre enfant, lorsque, dans sa lettre pour le père noël, il demanda à ce dernier que son papa rentre à la maison, et qu’il ne voulait rien d’autre, aucun cadeau si ce n’était celui-là. En lisant ses mots, je m’étais effondrée, puis avais mis ma fierté de côté pour trouver le militaire, grâce à l’adresse fourni par la femme d’un de ses collègues militaires. Si cela fut très dur à encaisser et à gérer, nous eûmes une rude conversation. Tout fut mis à plat, les sujets les plus délicats, comme les moins délicats. S’ils nous étaient clairement impossible d’oublier le passé et les tords/erreurs de chacun, nous devions faire avec, faire un pas vers l’autre. Lorsqu’il revint dans notre demeure familiale, ce n’était au début que pour préserver Jean, et par souvenir de notre amour. Et puis, nous finîmes par retrouver un équilibre, précaire et fragile, mais un équilibre quand même. Nous devions repartir à zéro, et ce n’était pas des plus facile, loin de là même. Il fallut de nombreux mois et de nombreuses séances chez un conseiller conjugal pour qu’il regagne notre lit. Il ne se passait rien entre nous, mais il ne dormait plus par terre, sur un matelas qu’il gonflait tous les soirs. Mon contact lui était difficile, comme le sien me l’était. Mais nous faisions des efforts dans ce sens-là, petit à petit. La croisière que j’avais gagné via un jeu dans un magazine féminin, se présenta comme une aubaine, un moyen de recoller un peu les morceaux, loin de la maison et de tout ce qu’elle représentait. Nous embarquâmes avec Jean, loin de nous douter que jamais plus nous ne reverrons notre chez nous, et nos proches…
Si tu savais ❖ Shy'm
☇ La meilleure façon de résister à la tentation, c'est d'y céder
“le monde a tellement de regrets, tellement de choses que l'on promet”
Dans l’ensemble, la croisière se passa plutôt pas mal. Il arrivait à Philippe de nous laisser pour aller « se reposer dans la cabine » - enfin c’était ce qu’il disait, je savais pertinemment que c’était pour aller boire un verre - , mais la plupart du temps, il restait avec nous, à jouer avec notre fils qui était heureux d’avoir retrouvé son père. Le soir, nous mangions au restaurant, et tandis que Jean allait au mini-club pour les enfants, mon époux et moi passions la soirée ensembles, rien qu’à deux. Au début, c’était un peu tendu. On ne savait pas trop quoi se dire, ni faire. Et puis au fur et à mesure, on arrivait à discuter, à rire même ensembles. Notre complicité revenait, doucement mais surement. Entre nous, il y avait comme un « accord tacite », l’un apprenant à connaitre et à faire avec l’autre qui avait inévitablement changé. Quelques fois, un silence gênant pouvait s’installer, souvent à la suite d’une discussion qui allait aboutir sur une dispute. Ou encore lorsqu’on nous interrogé sur notre « secret », notre potion secrète pour s’aimer encore après autant d’années. Mais bon, tout ne pouvait pas se faire un quelques jours pas vrai ? Et puis mon fils était heureux alors le reste ne comptait pas vraiment. Je n’aurais jamais pensé que cela aurait viré autant à la catastrophe…
Ce soir là, Jean et moi dinions rien qu’à deux. Le militaire avait voulu se « reposer » dans la cabine plutôt que de nous accompagner. Que pouvais-je y faire ? Le forcer à nous tenir compagnie aurait été pire que mieux. Alors je le laissais trouver refuge dans un verre d’alcool. Nous ne pouvions pas tout résoudre d’un coup après tout. Je ne connais pas vraiment tous les détails techniques de ce qui s’est produit. Je sais juste qu’une tempête a éclaté et qu’elle a déclenché le naufrage du navire. Tous ses cris… Tous ses gens qui se bousculent, et essayent de se ruer vers les canots de sauvetages…. Tout le personnel du bateau complètement débordé par ce qui est en train de se produire… Tout s’est passé si vite, oui si vite, que les éléments me reviennent un peu par flash. Je ne sais pas vraiment ce que j’ai fait. J’ai suivi mon instinct en fait, sans trop réfléchir. J’avais pris Jean dans mes bras et je nous avais tirés de ce restaurant qui prenait l’eau. Nous étions sur le point de rejoindre un canot lorsque je fus bousculée. Je me vois encore tomber dans l’eau, mon fils pleurant dans mes bras, tremblant de peur. Je lui disais de ne pas me lâcher, de s’accrocher, que j’étais là, que je le sauverais… Nous avons heurté violemment l’eau, et je l’avais rattrapé de justesse avant qu’il ne soit emporté par les eaux. J’ai lutté pendant des heures, oui des heures, nous accrochant à une planche, vestige du bateau. Mais je ne suis pas WonderWoman. Ni la petite sirène. J’ai fini par lâcher prise, n’en pouvant plus. Je revois les vagues m’emporter loin de fils, criant après moi, essayant de me tendre une main, que jamais je ne pus saisir. Et je sombrais à mon tour….
Où suis-je à présent ? Je n’en ai aucune idée. J’ai fini par me réveiller sur une plage, et j’eus du mal à réaliser que j’étais vivante. Lorsque tout se remit en place dans mon esprit, je n’eus qu’une seule envie : maudire s’il existait ce dieu qui m’avait arraché mon fils, plutôt que de m’accepter chez lui. Je fus tentée de mettre fin à mes jours. J’étais toute seule. Je n’avais plus personne… Enfin si, car j’étais certaine qu’ils étaient vivants, que Jean et Philippe se trouvaient quelque part sur cette ile. Je les ai appelés. Pendant plusieurs jours même. J’arpentais tantôt la plage, tantôt la jungle, me nourrissant de ce que je pouvais trouver à manger. C’était précaire, et physiquement parlant j’étais aussi faible que mentalement parlant j’étais forte. Je ne pouvais pas me laisser abattre. Non, je devais continuer encore et encore. Plusieurs jours se sont écoulés avant que je ne rencontre âme qui vive. La première personne que je vis fut non pas Philippe ou Jean, mais un homme que je n’avais jamais vu. Je ne sais pas, mais dès le premier coup d’œil, il me fit me sentir méfiante. Il était en plus si propre si… en forme. Comme s’il était chez lui en fait. J’imagine qu’il a été attiré par mes cris. Il me salua, et ma réponse fut de faire quelques pas en arrière. Il m’affirma pouvoir m’aider à retrouver Philippe et Jean, ce qui me rendit encore plus méfiance et me poussa à reculer de plus belle, à essayer d’échapper à ce psychopathe qui me demandait en échange d’être son esclave. Oui complètement barge le mec. D’ailleurs je lui dis, qu’il était complétement cinglé et que jamais je n’accepterais une telle situation, que je préférais mourir plutôt que d’être à sa botte. Ensuite… c’est très flou. Je ne sais pas vraiment ce qui s’est passé. Je m’apprêtais à m’enfuir, mais je n’y suis jamais arrivée. Lorsque je repris vraiment mes esprits j’étais enfermée je ne sais pas trop où, à crier à l’aide. Il refit son apparition pour… Jouer avec moi… Oui voilà ce que j’étais à ses yeux, un jeu. Naïvement, il pensait que j’allais accepter d’entrer ce dernier ? Allez savoir. Quoi qu’il en soit, je ne comptais pas me laisser faire. Je lui renvoyais à la figure sa nourriture et son eau, refusant toute chose de lui. Je sais pas vraiment comment, mais au bout du compte, il me faisait un je ne sais pas quoi qui m’obligeait à m’abreuver et à me nourrir. Contre mon grès. Je le pensais vraiment stupide de faire ça, de me permettre de reprendre des forces, de lutter plus facilement contre lui. S’il s’était présenté à moi, je n’y avais pas vraiment fait attention. J’avais également refusé de lui donner mon nom, mon prénom, de lui donner la moindre information. Il ne savait pas non plus qui était Philippe et Jean, mais devait sans doute en déduire de par mon alliance que l’un était mon époux et l’autre mon enfant. Car une chose est sûre le concernant : il est plus malin qu’il n’y parait, plus dangereux aussi. Si lui résister pour le moment me parait une bonne idée, je ne sais pas combien de temps je vais tenir. Ce qui est sure, c’est que si un jour je viens à craquer, je ferais tout pour rien n’arrive à mon fils, quitte à ce que ce soit moi le problème à éliminer. Et je crois que ça, il l’a bien compris d’ailleurs…
Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai ❖ Francis Cabrel
Dernière édition par Solveig M. Raulne le Jeu 25 Juil - 12:29, édité 11 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Mar 9 Juil - 22:10
oooooooooooh :emu:
Invité Invité
Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Mer 10 Juil - 13:21
Bienvenue parmi nous, bonne chance pour la suite de ta fiche et pour supporter ton mari J'aime beaucoup Jennifer !
Nina Stark I’M YOUR OWN PERSONNAL JESUS
✤ LETTRES A LA POSTE : 118
✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 18/06/2013
✤ AGE : 36
✤ OU TU TE TROUVES ? : Derrière le bar des Plaisirs coupables
✤ EMPLOI/LOISIRS : Serveuse et assistante personnelle de Zéphyr
✤ HUMEUR : Violente
Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Mer 10 Juil - 13:26
Héhé bienvenue par ici et bonne rédaction de fifiche ^^
Nina est impatiente de vous mener la vie dure à tous les deux
The olive noire Le Chevalier Noir
✤ LETTRES A LA POSTE : 246
✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 08/03/2013
✤ AGE : 32
✤ OU TU TE TROUVES ? : A la tête d'une armée d'olives
✤ EMPLOI/LOISIRS : Recruter de jeunes olives et de les amener à maturité
✤ HUMEUR : Je dénoyaute sans prétexte
Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Mer 10 Juil - 17:15
BIENVENUE PARMI NOUS :cute:Philippe a bien su choisir sa femme Amuse toi bien pour ta fichette
ps: Héé une femme ça a de la puissance [mode féministe out] Mais tkt j'ai saisi le sens de ta phrase xD
Esfir C. Bridgestone the demon angel-faced
✤ LETTRES A LA POSTE : 2253
✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 05/07/2012
✤ OU TU TE TROUVES ? : Là où je me trouverais...
✤ EMPLOI/LOISIRS : Reine à plein temps & Trésorière de la famille / Manger, dormir, gouverner, rêver, acheter! xD
✤ HUMEUR : Curieuse...
Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Mer 10 Juil - 20:04
Jennifer
BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE A TOIIIIIIIIIIIII Bon courage pour ta fichette
Tu as maintenant une semaine, ce qui signifie 7 jours, pour terminer ta fiche Si tu as besoin d'aide ou si tu as des questions, n'hésite pas à venir nous voir, nos boîtes MPs sont toujours graaaaaandes ouvertes De même si tu as besoin d'un délai supplémentaire pour ta fichette De ce fait, dès que tu as fini ta fiche, n'hésite pas à le signaler dans la partie adéquat, histoire qu'on ne passe pas à côté de ta fiche
Have fuuuuuuuuuuun
Invité Invité
Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Mer 10 Juil - 20:56
Isalyss, comment ça me supporter?
Nina: Non non, que moi, elle, fous lui la paix!
Seth; t'approches pas trop près.... !
Buffy A. Mikaelson Pour pouvoir coincer sa proie, il faut tout d'abord la séduire et l'examiner jusque au bout
✤ LETTRES A LA POSTE : 375
✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 26/12/2012
✤ AGE : 38
✤ OU TU TE TROUVES ? : Sur l'île en train de préparer mes projets
✤ EMPLOI/LOISIRS : Strip Teaseuse au Plaisir Coupable
✤ HUMEUR : Calme & Massacrante
Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Mer 10 Juil - 21:32
Welcome
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Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Jeu 11 Juil - 14:39
Bienvenuuuue.
The olive noire Le Chevalier Noir
✤ LETTRES A LA POSTE : 246
✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 08/03/2013
✤ AGE : 32
✤ OU TU TE TROUVES ? : A la tête d'une armée d'olives
✤ EMPLOI/LOISIRS : Recruter de jeunes olives et de les amener à maturité
✤ HUMEUR : Je dénoyaute sans prétexte
Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Jeu 11 Juil - 18:52
En général c'est quand on dit t'approche pas que la situation dérape
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Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Ven 12 Juil - 9:24
Oh Oui battez-vous pour moi Merci à tous pour vos bienvenues J'avancerais dans ma fiche la semaine prochaine ! Avec Philippe nous sommes de mariage dans sa famille du coup, nous ne serons pas présent du week-end (D'ailleurs si j'ai la même IP que lui, c'est normal on vit ensemble :P ) A très vite du coup
Invité Invité
Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Ven 12 Juil - 11:22
:suspect: comment ça battez vous pour moi :suspect:
Invité Invité
Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Sam 13 Juil - 10:06
TIens Ca c'est un choix d'avatar original J'aime beaucoup
Bienvenuuuuuuuuuuuuue sur le forum Et bonne chance pour ta fiche
Si tu as la moindre question, n'hésite pas à nous harceler par mp On adore ca
Esfir C. Bridgestone the demon angel-faced
✤ LETTRES A LA POSTE : 2253
✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 05/07/2012
✤ OU TU TE TROUVES ? : Là où je me trouverais...
✤ EMPLOI/LOISIRS : Reine à plein temps & Trésorière de la famille / Manger, dormir, gouverner, rêver, acheter! xD
✤ HUMEUR : Curieuse...
Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Sam 13 Juil - 11:01
C'est noté Solveig pour ton délai
César I. Bridgestone JE SUIS LA JUSTICE ♦ EMPEREUR
✤ LETTRES A LA POSTE : 379
✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 04/03/2013
✤ AGE : 37
✤ OU TU TE TROUVES ? : Je rôde sur Heartkiller. Serez-vous ma prochaine victime ?
✤ EMPLOI/LOISIRS : L'Empereur / Jouer avec mes esclaves
✤ HUMEUR : Avenante
Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Mar 16 Juil - 14:09
Bienvenue Solveig
Sethichou : Si tu veux, je te la donne pour ton cadeau d'anniversaire ehhh. Toute emballée en plus. Dis donc, Phil a de la chance pour son pv. Amuses-toi bien parmi-nous !!!
Bonne chance pour ton histoire. Du disney.
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Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Mar 16 Juil - 17:42
Merci à tous J'ai beaucoup avancé dans ma fiche aujourd'hui ! Il ne me reste plus qu'à me relire et corriger les fautes et faire la dernière partie. J'attends de trouver le vampire dont Solveig dépend avant de la rédiger. Du coup, ça prendra surement encore quelques jours
Edit : je suis de nouveau sur ma fiche, ayant trouvé un maitre :)
Edit 2 : fiche terminée
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Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Jeu 25 Juil - 12:38
Invité Invité
Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Jeu 25 Juil - 13:01
Je pense que cela te plait et te va alors
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Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Ven 26 Juil - 2:06
Bienvenue parmi nous !
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Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Lun 29 Juil - 17:39
Est-ce que j'ai ton approbation Philippe pour la valider ?
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Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Lun 29 Juil - 17:40
of course
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Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Lun 29 Juil - 17:45
Dans ce cas
- bienvenue parmi nous ! -
THE HARDEST THING IN THIS WORLD, IS TO LIVE THERE
→ Félicitation! Les membres du staff sont heureux de t'apprendre que tu es validé(e)! Nous te souhaitons donc la bienvenue parmi nous et sommes heureux de te compter parmi nos membres!
→ Maintenant que tu es validé(e), vérifie tout de même que nous n'avons pas oublié de rajouter ton avatar dans le bottin et que nous t'avons aussi ajouté au bon groupe. Vérifie également ton rang si tu fais parti des vampires!
→ Si tout est OK, tu peux désormais te lancer dans l'aventure HeartKiller et aller créer ta fiche de liens et de RPs!
→ N'hésite pas à remplir ton profil, à faire une demande de rang ou de lieux si tu souhaites RP dans un endroit en particulier.
→ Mais aussi de voter régulièrement sur le top site de la PA! C'est important pour la pub du forum. Et puis, un petit click ce n'est pas grand chose (a) N'hésite pas aussi à faire de la pub autour de toi :)
→ Surtout, n'oublie pas de souhaiter la bienvenue aux nouveaux, c'est important pour une bonne intégration! Et pourquoi pas faire des demandes de liens et de RPs après?
→ Et pour finir, toute l'équipe espère que tu t'amuseras bien sur HeartKiller :)
UNE NOUVELLE AVENTURE COMMENCE POUR TOI
✤✤✤
Invité Invité
Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme Lun 29 Juil - 17:46
Merci vous deux ! Bon faut aussi que ma fiche aille avec le forum et pas qu'à Philippe x'D
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Sujet: Re: Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme
Solveig Raulne - Pour survivre, il faut être fort comme un homme et belle comme une femme