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 GABAYNE + « comment tu conjugues le verbe aimer ? »

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MessageSujet: GABAYNE + « comment tu conjugues le verbe aimer ? »   GABAYNE + « comment tu conjugues le verbe aimer ? » EmptyDim 14 Juil - 19:57


I do not want to lose you, but I lost control.

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Il dansait pour lui. Seulement pour lui. A cet instant, rien n’existait à part lui. Son père pouvait aller se faire voir. Ses problèmes étaient à mille lieux de là. Juste Gabriel et Kayne. Il attendait ça depuis si longtemps que son corps au simple contact du corps de l’humain commençait à brûler. Il redécouvrait la sensation de vivre entre ses reins. Il sentait qu’il chutait, qu’il perdait ses ailes pour lui. Car malgré sa transformation, selon lui, il restait quelqu’un de pur. Car toute son enfance il n’avait jamais rien dit, il avait continué à croire à un jour meilleur. Un jour où il pourrait s’arracher les ailes et enfin chuter. Prendre son courage à deux mains, mettant ses problèmes à demain et sauter vers quelque chose de beau, la rédemption, le bonheur.  Et maintenant qu’il y était. Qu’il se sentait chuter. Qu’il sentait le sol arriver, il sentait la fin se rapprocher. Et il ne voulait pas que la chute lui soit fatale. Mais Gabriel l’avait emmené si haut.  Il fallait dire que cet homme-là, l’homme qu’il aimait le plus au monde avait des capacités dans ce domaine qu’il n’avait même pas pensé une seconde que Gabriel aurait en lui. Il brûlait, littéralement. Dès qu’il touchait son corps maintenant totalement dénudé et totalement dépendant de lui, des ondes de bonheur se déferlaient en lui. C’était bon. C’était puissant. C’était eux. Sentant que sa fin approchait bien trop rapidement selon lui, il laissa échapper un grognement sourd, prouvant le plaisir que l’esclave exerçait sur lui. Son souffle était devenu difficile même pour lui qui n’avait pas besoin de respirer, il sentait ses poumons se serrer et se desserrer sur du vide, donnant l’impression qu’il allait se noyer alors qu’il n’y avait aucune source d’eau à proximité. Kayne n’en pouvait plus, il se laissa tomber à ses côtés, entrouvrant ses lèvres lorsque Gabriel quémandait un baiser.

Puis il a recommencé. Il a recommencé à le toucher à des endroits qu’il savait sensible de l’incube. Et Kayne et retombé dans l’abysse de son plaisir. Même s’il se retenait, qu’il essayait de fermer sa bouche, serrant les dents  jusqu’à se casser la mâchoire, ses gémissements sortaient quand même. Il suppliait Gabriel de plus, d’encore plus, toujours plus. C’était affreux. L’humain voyait bien que le vampire souffrait et en jouait en plus, sûrement content que quelqu’un le supplie, attende quelque chose de lui que lui seul avait décidé. Il devait se sentir puissant, le rang d’esclave n’avait plus rien à faire là. Ils étaient égal, comme toujours. Mais encore plus là. L’incube s’offrait à Gabriel. Il s’offrait à lui et par ce geste, il se faisait marquer. Il replongeait dans sa chute. Il recommençait à tomber. C’était intense. Une autre vague de plaisir le prit, lui faisant déchirer les draps, ne pouvant plus se contrôler, ne répondant plus de lui. Ses sens étaient réveillés et parfaitement stimulés, l’envoyant encore plus loin dans son plaisir. Sentent que tous les deux ne tiendraient pas longtemps à ce rythme, il bascula sur Gabriel et reprit son déhancher. Se penchant sur sa personne, il n’attendit pas l’accord de l’humain qui lui-même était plongé dans son plaisir. Il effleura sa gorge, ses canines s’allongeaient et d’un coup de reins plus fort que les autres, il mordit la carotide de son compagnon. Il le marquait comme siens et se délectait de son sang. C’était le meilleur qu’il n’avait jamais goûté. Mais Kayne n’eut pas le temps d’en boire plus car Gabriel demandait ses lèvres.

Il était là, coller contre son torse, se reposant des sensations qui l’avait bousculé pendant plusieurs longues minutes, voir des heures, il n’avait pas compté le temps avec lui. Kayne, lui, l’observait en silence, le même sourire remplit d’amour et de tendresse sur ses lèvres. Il l’aimait et aurait été prêt à tout pour lui. C’était sur maintenant. C’était officiel. Il l’aimait. Il ne voulait personne d’autre que lui. Son regard dériva sur les deux trous visibles sur le cou de son humain et son sourire s’élargit. Il était à lui aussi. Même s’il redoutait la gueulade de Gabriel, le fait est qu’il l’avait marqué. Et cela lui suffisait à se pencher sur l’humain pour embrasser son front avec tendresse. Il aurait tant voulu le regarder dormir encore et encore mais il devait bouger. Il savait que Gabriel avait un maître et que ce dernier ne serait pas content de ne pas le voir à son poste. Et Kayne ne désirait en rien au monde que l’humain reçoive une punition à cause de lui-même s’il aurait pu aisément passer sa journée à ses côtés. Soufflant à son oreille d’une voix rendue encore plus rauque à cause de son réveil : « Gabriel … debout. M’oblige pas à te réveiller avec des caresses. »  Tout en disant cela, il fit courir ses doigts sur le torse de Gabriel, descendant vers son bas ventre. Il voulait que Gabriel se réveille de bonne humeur car il ne voulait pas qu’ils aient une dispute dès le réveil.
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E. Gabriel Driver
- On est mercredi ? - Ouai, c'est fréquent après le mardi.
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✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 06/03/2013
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✤ HUMEUR : Tristounet, comme toujours

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MessageSujet: Re: GABAYNE + « comment tu conjugues le verbe aimer ? »   GABAYNE + « comment tu conjugues le verbe aimer ? » EmptyLun 15 Juil - 20:57




[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Plaisir : Le plaisir est le contraire de la douleur. Il correspond à un état émotionnel agréable né spontanément d'une situation donnée, de la satisfaction d'un désir ou de la perspective de cette satisfaction. Physique, psychique ou intellectuel, il concerne tous les âges et est, comme le désir, indispensable à l'équilibre d'un être humain. Son refus, conscient ou inconscient, révèle un trouble psychique. A cet instant précis, Gabriel aurait pu avoir la définition du plaisir gravé sur le front. Elle le définissait entièrement. La satisfaction d'un désir. Si un des sept péchés capitaux devait les définir, ce sera la luxure, l'envie ou bien la gourmandise. Cette faim de l'autre. L'envie de le prendre. Le posséder à tout jamais. La colère, cette rage qui est une forme d'animosité. L'amour c'est brutal. Surtout pendant l'acte, le moment où le corps des deux êtres s'unissent, le moment où ils ne forment plus qu'un. Le corps travaille pendant cette période, il est en guerre civile pour lutter contre ses propres envies, le désir de la chair. Mais l'être vivant ne peut pas vivre sans cela. Il a besoin de ces pulsions animales pour vivre. Pour faire battre les cœurs. Le cœur ; coucher par amour. C'était une notion que beaucoup d'être vivant perdaient. Mais Gabriel avait eu du mal à respecter cette simple règle qui apportait de l'importance à cet acte. Pas parce qu'il aimait offrir son corps à des hommes qui n'avaient aucune importance pour lui. Juste qu'il n'y avait que ce genre d'homme. L'amour, un mot qu'il n'avait jamais connu auparavant. Il n'avait jamais pris le temps de s'y intéresser, parce qu'il n'y voyait pas l'intérêt. Ou non. Ce n'était pas la vrai raison. En réalité, il ne pensait pas plaire à qui que ce soit. Son corps, il ne l'aimait pas. Son visage, il le trouvait banal. Son caractère, personne ne le supportait bien longtemps. Il n'avait aucune estime pour lui. Il se descendait en flèche sans arrêt. C'est pour cela qu'il avait fuit son amour pour Kayne. Pour la même raison qui l'avait poussé à agir comme un con avec lui. Il préférait aimer secrètement plutôt que de tomber de haut. Pourquoi un si bel homme s’intéresserait à lui ? C'est ce qu'il se répétait quand l'envie de lui avouer ses sentiments le prenait.

Et pourtant, il n'y pensait plus. Il ne pensait plus à rien. Sa tête était complètement vide et il n'avait plus aucune capacité mentale, surtout pas celle de réfléchir ni de communiquer avec autrui. La seule chose qu'il arrivait à maîtriser, c'était son corps. Brûlant de plaisir. Dégoulinant de sueur sous l'effort. Des gouttes de sueur perlaient sur sa peau pâle pendant qu'il fusionnait avec son partenaire dans une danse sensuelle. Et même s'ils n'étaient pas doux l'un envers l'autre. Même s'ils étaient brutaux à la limite du sauvage. Ils le faisaient par amour. Parce qu'ils avaient trop attendus. Parce que justement, ils étaient trop amoureux l'un de l'autre. Ils étaient tellement épris l'un de l'autre que Gabriel ne remarqua que brièvement la morsure que Kayne lui infligea. Alors ils se donnaient tout l'amour qu'ils avaient au fond de leur cœur. Chacun leur tour. Comme pour se prouver l'un à l'autre que le sentiment était présent. Et d'une certaine manière, à se prouver à eux-même qu'ils faisaient les bons choix.

Matin ou après midi. Gabriel ne savait pas quelle heure il pouvait bien être. Et il s'en moquait. Après la nuit qu'il avait passé, rien n'était important. Seul lui comptait, l'incube, l'homme qu'il aimait. Seul ses lèvres contre son front pouvait le sortir de son état de transe. Sa main descendant le long de son torse nu. Sa belle voix qui lui arracha un sourire. « Gabriel … debout. M’oblige pas à te réveiller avec des caresses. » Ouvrant les yeux, le regard de l'humain se dirigea machinalement sur son compagnon. Qu'il était beau. Qu'il l'aimait. Bon dieu qu'il était amoureux de lui. Posant une main délicate sur la nuque du vampire, Gabriel le fit se pencher vers lui et lui murmura, lui susurrant tout près de ses lèvres. « Fais gaffe, je risquerais d'en redemander. »  Sur ces paroles, Gabriel captura les lèvres de l'incube entre ses siennes pour l'embrasser. Un baiser tendre, remplis d'un amour incommensurable. Il aurait pu rester ainsi des heures à l'embrasser. A garder son corps serré contre le sien. Il pouvait même rester à le regarder des jours entiers. Ce qu'il pouvait être heureux à ce moment-là. Il n'avait jamais été de si bonne humeur, comme s'il avait dormit sur un nuage. Il en oubliait presque ses courbatures. Mais il devait partir, son maître allait l'attendre. Relâchant son partenaire, Gabriel remis son caleçon et pris son portable afin de voir l'heure. Il voulait savoir s'il devait se préparer au pire ou non avec John. Mais un détails dans le reflet de son écran le laissa sceptique. Rapprochant l'appareil de son cou, l'humain jurait voir une tâche. Une marque. Une morsure. Fronçant les sourcils, l'humain passa deux doigts à l'emplacement de la marque et retint son souffle en sentant deux petits trous. Ouvrant la bouche, il la referma ne sachant que dire. Ses deux iris émeraudes se fixèrent sur Kayne dans un regard noir et plein de reproche. « Non mais je rêve ! Comment as-tu oser me mordre ?! » Personne ne l'avait jamais mordu. Du moins il ne s'en souvenait pas si tel était le cas. Serrant les dents instant, l'humain se releva du lit, il était en boxer mais vu les circonstances il s'en moquait. « Qu'est-ce que je vais dire à John moi ?! »
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MessageSujet: Re: GABAYNE + « comment tu conjugues le verbe aimer ? »   GABAYNE + « comment tu conjugues le verbe aimer ? » EmptyJeu 18 Juil - 22:17


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A cet instant, l’électricité lui aurait été utile, lui aurait permis de faire un bon petit déjeuner à l’humain. Comme l’eau chaude lui aurait servis à profiter de Gabriel un peu plus longtemps. Comme le chauffage lui aurait servis à garder un peu plus l’esclave qui n’aurait pas voulu bouger du lit, parfaitement bien là. Comme une maison mieux lui aurait permis de demandé à Gabe d’y rester pour toujours, de rester avec lui. Mais il n’avait aucun de ce qu’il désirait. Ne possédant même pas le moyen de savoir l’heure, il dû se concentrer sur le bruit de dehors, la position du soleil, pour savoir s’il était plus que midi ou moins. Et il semblerait que Kayne soit tout de même lève-tôt même après la nuit qu’il avait passé. Au moins, Gabriel pourrait rester un peu plus longtemps avec lui. Il allait pouvoir profiter un peu plus de lui avant d’attendre toute la journée avec une impatience grandissante la fin de la journée de l’esclave pour le ramener chez lui. Même si son chez lui n’était pas terrible, il n’allait pas s’imposer chez Gabriel. Surtout que la maison de l’esclave était aussi celle de son maître. Et il ne savait même pas s’il avait le droit ainsi de voler le cœur à une personne appartenant déjà à quelqu’un alors que lui se retrouve dans la rue. Il n’avait jamais entendu cette loi être imposée quelque part mais si maintenant un incube et un esclave ne pouvaient s’aimer. Le doute l’envahit, il n’avait jamais pensé à ça. Et s’il allait être obligé de ne plus voir Gabriel ? Jamais. Déjà loin de lui pour une journée entière il ne tient presque plus alors pour toujours, il se suiciderait tout de suite. Puis Gabriel était son équilibre. Il était son tout.

Une main chaude sur sa nuque le fit sortir de ses doutes et il se reconcentra exclusivement sur l’humain pour ne plus paniqué sur la possibilité de le perdre. Il enregistrait ses traits encore et encore même s’il les connaissait par cœur. Même s’il pouvait les redessiner les yeux fermés. L’humain dégagé une chaleur qu’il avait lui-même perdu il y a bien longtemps.  « Fais gaffe, je risquerais d'en redemander. » Un sourire se hissa sur ses lèvres alors qu’il répondait avec tendre et amoureux tout en se laissant faire. Il était docile, pas totalement réveiller encore et encore sur son petit idylle. Il l’observait s’échapper de ses bras même si un froid  pesant était à la place de Gabriel. L’incube l’admirait sans chercher à se cacher, il aimait cet homme. Autant sur un plan physique que phycologique. Son sourire se fana lorsqu’il vu l’humain prendre conscience de la morsure qu’il lui avait fait. Pour lui, ce n’était pas du tout pour se nourrir même si le sang de Gabriel était délicieux. Mais seulement une façon de son espèce pour lui dire qu’il était siens, qu’il l’aimait. Le regard que lui donnait Kayne lui fit mal. Contre toute attente, l’humain l’avait mal pris. « Non mais je rêve ! Comment as-tu osé me mordre ?! »  Son propre regard se voilait d’un air froid et hargneux.  Comme la journée précédente quand Gabriel lui avait jeté à la figure qu’il le dégoutait, il se referma. Sauf que là, il venait de se réveiller et que son caractère était plus facilement changeable et plus fort. Sauf que la nuit d’avant lui avait donné faim et qu’il n’arrêtait pas d’entendre les battements du cœur de Gabriel.  C’était insupportable et ses paroles ne faisaient que lui donner encore plus envie. Car il ne voyait pas la différence entre une morsure là pour se nourrir et une pour marquer. Et que Kayne allait lui montrer s’il continuait.

L’humain s’éloignait de lui, renfermant encore plus Kayne sur lui-même. Il se cachait derrière la barrière qu’il avait faite car il se sentait meurtris. Car il pouvait accepter que son père le cogne jusqu’à ce qu’il meurt mais il ne pouvait pas accepter que Gabriel, premier à passer dans son cœur, le rejette et rejette sa condition de vampire.  « Qu'est-ce que je vais dire à John moi ? » Sa bouche se tordit dans une moue haineuse. Il ne savait pas qui était ce ‘John’ et sa première hypothèse fut qu’il soit celui qui faisait battre le cœur de Gabriel. Et il se referma à nouveau. Une vague d’animosité et d’haine le traversa et en une demie seconde, il fut aux côtés de Gabriel. L’attrapant sans aucune douceur par le cou, il vint le plaquer contre son lit, serrant sa prise sur le cou de l’humain comme pour l’empêcher d’animer son animosité avec d’autres mots blessants. L’incube sentit ses canines s’allonger, percer sa lèvre inférieure tellement il serrait les dents. Il l’aimait. Plus que tout. Mais ce qu’il lui avait dit n’était pas à dire. Il aurait dû comprendre. Et cette rage, ce mal être qu’il ressentait depuis le jour précédent ressortait maintenant. Retroussant sa lèvre supérieure, il se rapprocha de Gabriel juste pour qu’il admire ses crocs, pour qu’il voie ce qui lui transpercera la gorge. Grognant faiblement, Kayne lui dit, d’une voix parfaite malgré ses canines : « Tu n’as qu’à mettre une écharpe, ça réveillera ton côté féminin que j'ai découvert chez toi cette nuit. » Il était méchant, il était froid, mais il avait mal. Il souffrait intérieurement. Lorsqu’il comprit qu’il allait se pencher vers la gorge de son humain pour le mordre, Kayne retrouva un semblant de bon sens et baissa la tête, gémissant faiblement, ses crocs effleurant juste la peau de son cou. Il posa son front sur l’épaule de Gabriel, le souffle court, la respiration difficile et une faim tenace qui lui brûlait la gorge. : « Help me ... » Simple murmure. Une demande à l’aide. Un s.o.s à celui qui pouvait le contrôlé.
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MessageSujet: Re: GABAYNE + « comment tu conjugues le verbe aimer ? »   GABAYNE + « comment tu conjugues le verbe aimer ? » EmptyVen 19 Juil - 19:38




[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Il n'était pas réellement en colère, ce n'était pas cela. Plutôt déçu. Il n'aurait jamais cru que Kayne le mordrait un jour sans avoir eu son accord au préalable. Et maintenant que cela s'était produit. Maintenant qu'il avait la preuve du contraire, il commençait à avoir des doutes sur la nature de leur relation. Et si tout cela n'avait été que pour au final pouvoir boire son sang ? Bien sûr, il avait d'autre humain sous la main pour se nourrir mais Gabriel n'y pensait pas. Il avait toujours été assez paranoïaque et avait toujours l'impression que tout le monde en voulait à sa vie. Que la moindre chose qui allait de travers était contre lui. Il avait pris cette habitude car avant qu'il n'arrive sur cette île, c'était réellement le cas. Tout le monde était contre lui. Et quand quelque chose n'allait pas, c'est toujours lui qui trinquait. Même lorsqu'il n'y était pour rien dans l'histoire, qu'il était innocent. Alors pour lui, que Kayne le morde, ce n'était pas un hasard. Il avait obligatoirement préparé son coup. Il n'eut pas le temps de dire ouf que Kayne était près de lui. Et avec une vitesse déconcertante et une force surhumaine, il la plaqua contre le lit sans lâcher prise sur la gorge de l'humain. Gabriel ne vit rien venir. La main de son amant sur sa gorge l'empêchait de reprendre de l'air. Il sentait ses poumons réclamer de l'oxygène mais était incapable de combler ce besoin. Essayant de rester le plus calme possible pour ne pas s’essouffler davantage, Gabriel focalisa son attention sur Kayne qui avait l'air hors de lui. Et pourtant, Gabriel ne s'inquiétait pas plus que ça. C'est seulement en voyant les crocs de l'incube apparaître qu'il paniqua et essaya de le faire lâcher prise.

Son coeur battait plus vite que d'ordinaire. Il avait peur. Et même s'il avait confiance en Kayne, il ne savait pas ce dont il était capable. Il ne souhaitait d'ailleurs pas le savoir. « Tu n’as qu’à mettre une écharpe, ça réveillera ton côté féminin que j'ai découvert chez toi cette nuit. » En temps normal il l'aurait mal pris. Il se serait vexé et lui aurait craché une réplique cinglante au visage en lui disant qu'il avait qu'à choisir un meilleur client la prochaine fois. Ou il lui aurait donné un billet, simplement une manière de le traiter de prostitué. Mais il ne fit rien de tout cela. Pour la simple et bonne raison que ce n'était pas le moment, qu'il avait mieux à faire. Il était bien trop concentré sur Kayne, sur ses mains. Il manquait cruellement d'air et sentait qu'il ne mettrait pas longtemps à tourner de l'oeil si Kayne continuait d'exercer cette pression. Fermant les yeux pensant que l'incube allait le mordre, il attendit. Que pouvait-il bien faire de plus ? Il n'avait aucun moyen de se dégager. Il ne pouvait rien face à un vampire. Mais finalement, il ne sentit pas de crocs transpercer sa peau. Rien que le front de Kayne se poser contre lui. Et sa main le lâcher enfin. « Help me ... » La voix de Kayne appelait à l'aide. Et en entendant son timbre de voix, Gabriel perdit toute la colère, tout ce qu'il avait à son encontre. Il n'avait qu'une envie ; lui venir en aide. Le prendre dans ses bras, l'empêcher d'être triste. Sentant alors la main de l'incube sur son torse nu, Gabriel pu enfin respirer. Ses poumons lui brûlait, sa gorge se faisait douloureuse et pourtant il ne lui en voulait pas. Dans une quinte de toux incontrôlable, l'humain repris progressivement son souffle. Ce n'est qu'une fois complètement remis qu'il rebaissa son regard sur Kayne. Il était sur lui, le visage caché contre son épaule, et il aurait juré le sentir trembler.

L'esclave ne savait pas trop ce qu'il était supposé faire. Le réconforter ? Lui dire que tout allait bien ? Il ne savait même pas ce qui pouvait le mettre dans un état pareil. Ne sachant pas comment s'y prendre, Gabriel enroula ses bras autour de lui pour le serrer contre son corps. Ils ne portaient que leur sous-vêtements ; et pourtant Gabriel n'avait aucune pensé déplacé en tête. Parce que ce n'était pas le moment pour ça. Parce que celui qu'il aimait avait besoin d'aide, il avait besoin de tendresse. Remontant légèrement sa main gauche, laissant la droite sur le dos de son compagnon, il la glissa dans ses cheveux pour les caresser doucement. Tout ce qu'il voulait c'était l'apaiser. « Je ferais ce qu'il faut pour te venir en aide. Mais qu'est-ce que je peux faire ? » Prenant le menton de l'incube entre ses doigts, Gabriel lui releva la tête pour le regarder. Baissant légèrement la tête, il déposa ses lèvres sur les siennes. Malgré les crocs de Kayne qui étaient sortit, Gabriel l'embrassa avec tendresse. Il se moquait que son coeur ai choisit un vampire. Il se foutait complètement du fait que celui qui comptait le plus pour lui ai besoin de sang pour survivre et non de nourriture. En quoi cela était important ? Reculant ensuite ses lèvres, il murmura. « Je suis désolé pour tout ce que j'ai pu te dire. Je m'excuse si je t'ai fais du mal... » Il fit ensuite retomber sa tête en arrière. Il était perdu. Il ne savait plus du tout quoi penser. Il doutait, d'absolument tout. Resserrant ses bras autour de son compagnon, il se racla la gorge. « Je veux bien ... te laisser boire de mon sang. Mais je veux que tu me promettes que tu ne me vois pas que pour ça. » Il retourna ensuite son regard vers Kayne. « Je veux être certain que tu tiennes un minimum à moi... »
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MessageSujet: Re: GABAYNE + « comment tu conjugues le verbe aimer ? »   GABAYNE + « comment tu conjugues le verbe aimer ? » EmptyJeu 25 Juil - 9:01


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Lutter contre ses instincts les plus profonds simplement pour un humain. Simplement pour un humain qui ne lui appartenait même pas. Simplement pour cet humain qu’il aimait à un point inimaginable. Il voulait tant que l’esclave l’aime en retour. Il voulait tant une fois dans sa vie se faire aimer aussi. Mais Gabriel ne semblait pas du tout apprécier le fait qu’il l’ait mordu. Il l’avait peut-être souillé ? Peut-être que son maître ne voulait pas qu’un autre touche à ce qui l’appartenait de droit. Il n’était qu’un vulgaire incube, créature soumise à son maître au même rang que les humains. Mais au fond cela lui apportait peut, car les paroles qui suivirent le firent enrager. D’où avait-il le droit de le traiter de cette manière ? Il n’avait aucun droit de refuser ainsi sa morsure. Pas après la nuit qu’ils venaient de passé, pas après que l’incube lui ait ouvert son cœur. Pas après tout ça. Il n’avait pas le droit de le rejeter. Surtout pour ce ‘John’. Il n’avait pas le droit de lui donner de faux espoir avant de le briser. Il n’avait pas le droit … Kayne était hors de lui. Il savait que peut être ses émotions étaient dépassées, surement basées sur des hypothèses fausses mais il n’arrivait plus à arrêter sa soif. Il avait envie qu’il arrête de lui dire des choses qui le blessait. Il avait besoin de lui, de sa présence, de son cœur. Mais il ne parvint pas à le lui dire. Il lui sauta juste dessus. Lâchant un grognement pour traduire son état actuel. Il était en conflit avec sois même mais l’envie de se nourrir, de lui faire regretter ses paroles étaient beaucoup plus forte que celle de le prendre dans ses bras pour profiter de l’instant. Il lui en voulait. Il lui en voulait depuis hier, depuis leur rencontre. Toutes ses choses méchantes que Kayne se forçait à prendre à la rigolade lui faisait mal, car au fond, au fond il était faible avec lui. Sa carapace n’était plus avec lui, il était à vif, nu devant l’humain. L’incube se sentait si dévoilé devant lui, si diffèrent qu’il était avec les autres, si lui.

Et il entendait le cœur de Gabriel battre. Il battait dans ses oreilles, dans sa tête, se répercutant en lui, le faisant frissonner d’envie, réveillant encore plus ses soifs endormis, retenus. Il se pressait un peu plus contre lui, frottant leurs deux bassins ensemble dans un frottement aérien. Serrant plus fort ses doigts sur le cou de Gabriel, il semblait vouloir incruster sa marque de main sur son cou. Le vampire sentait la carotide pulser sous son index et ça le stimulait encore plus. Il avait envie de lui. De son corps. De son cœur. De sa vie. De son sang. De lui. Mais non. Il ne devait pas. Il ne pouvait pas. Gabriel avait été clair. Il ne voulait pas lui faire du mal. Il voulait que l’humain l’aime. Mais bien trop orgueilleux pour le lui dire, il se contenta de lutter contre son envie de sang maintenant réveillé. Si seulement ce cœur si tentateur arrêtait de battre. Que son sang arrêtait de pulser sous lui. C’était dur de se contrôlé mais il avait été formel, il ne lui ferait pas de mal, jamais. Pas à lui. Il le couvrait de son amour, ne le couvrait pas de ses coups. Kayne réussit, il réussit sans trop savoir comment à contrôlé son envie pressante de se nourrir, posant sa tête contre son torse, le corps parsemé de léger tremblement. Il s’en voulu affreusement quand il entendit Gabriel tousser et son poing se serrait, ses ongles ouvrant sa peau qui se régénérait toute seule juste après. Ça lui permettait d’avoir un peu de contrôle sur son envie. L’incube sentit sa main dans son dos, celle dans ses cheveux et il ferma les yeux, désirant se calmer, profiter de sa chaleur. « Je ferais ce qu'il faut pour te venir en aide. Mais qu'est-ce que je peux faire ? » Restes avec moi pour toujours, aimes moi, fais-moi mal, bouscules moi et reprends moi, déchire moi de l’intérieur et prends soins de moi. Restes avec moi … C’était ça qu’il voulait lui souffler dans l’oreille, c’était ça qu’il avait sur le cœur mais il n’y arriverait pas. Fermant les yeux, il se laissa embrasser, serrant ses paupières entre elles pour retenir les larmes d’impuissance qui semblait vouloir couler. Il le laissait contrôler la situation, son corps semblait d’un coup trop dur à maintenir tout seul, il avait si mal partout. « Je suis désolé pour tout ce que j'ai pu te dire. Je m'excuse si je t'ai fait du mal ... » Plongeant un regard brillant sur lui, Kayne ne semblait pas comprendre au début ce qu’il voulait lui dire avant de ressentir quelque chose de puissant à l’intérieur lui retirer toute envie de se nourrir. Sa partie humaine. Son amour pour lui. Ce qui le faisait tenir debout et ne pas tomber dans le groupe des inhumains.

« Je veux bien ... te laisser boire de mon sang. Mais je veux que tu me promettes que tu ne me vois pas que pour ça. Je veux être certain que tu tiennes un minimum à moi ... » D’abord sans réaction, l’incube vint passer ses doigts sur la morsure qu’il avait fait pendant la nuit. Un courant électrique passa dans son corps, accompagné d’un agréable frisson alors qu’il remontait ses doigts aux cheveux de Gabriel pour s’accrocher à eux, appréciant son contact. S’avançant un peu plus vers son visage, Kayne descendit embrasser son cou, ses crocs qu’il n’arrivait décidément pas à rentrer, effleuraient sa peau mais ne cherchaient pas à la percer. Lâchant un faible grognement de plaisir, il fit remonter ses lèvres jusqu’à celles de l’humain, soufflant doucement contre elles et avalant l’air qu’elles expulsaient. Dans un murmure, il lui répondit : « Bien sûr que je tiens à toi abruti. Je tiens à toi à un point que tu n’imagines pas encore. C’est toi qui me fait perdre le contrôle et qui sait me contrôler. Je suis faible avec toi, je suis moi face à toi, dénudé de ma carapace, tu ne sais pas à quel point je tiens à toi … » Levant un instant les yeux, il plongea son regard maintenant d’un bleu électrisant sur lui avant de fermer les paupières, cherchant ses lèvres pour l’embrasser. Kayne se laissait aller, il ne contrôlait rien, c’était Gabriel qui le contrôlait. Il lui obéissait au fond car il l’aimait, car il avait besoin qu’on le guide. Se baiser fut un pacte, une promesse d’être toujours avec lui, toujours là pour lui. Pour toujours à lui.
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✤ OU TU TE TROUVES ? : Dans la cuisine, tu veux un sandwich ?
✤ EMPLOI/LOISIRS : haha
✤ HUMEUR : Tristounet, comme toujours

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MessageSujet: Re: GABAYNE + « comment tu conjugues le verbe aimer ? »   GABAYNE + « comment tu conjugues le verbe aimer ? » EmptyMer 31 Juil - 12:11




[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Même si tu ne l'avoueras pas, tu as eu peur. Tu aimerais prétendre que tu as assez confiance en Kayne pour être certain qu'il ne te fera jamais rien, mais c'est faux. Bien sûr que tu as confiance en lui, mais d'un autre côté, sa réaction t'a surpris. Il s'était mis dans une telle rage que tu n'avais pas pu avoir assez confiance pour garder ton calme. Tout simplement parce que ces crocs sortis ne t'inspiraient pas confiance. Ce n'est pas de Kayne que tu doutais, mais du vampire qui était en lui. C'est lui qui pouvait te faire du mal. Ce n'était pas le cas de Kayne qui pour toi était doux comme un agneau. Ce qui était certain, c'est que tu ne le laisserais pas ainsi. Il était hors de question que tu le laisses dans cet état, si mal en point. Alors même si en restant encore avec lui, sans rentrer voir ton maître, même si tu savais que John t'en voudrait peut-être, te demanderait des tâches supplémentaires comme punition, tu t'en moquais. Ce qui t'importait pour le moment c'était la santé mentale de ton ami. Ses doigts caressaient légèrement ta morsure, ils les effleuraient doucement. Mais toi, tu ne bouges pas. Tu n'oses pas, de peur de le vexer, de le contrarier. Finalement, sa main remonte dans tes cheveux et si accroche en embrassant ta nuque. Tu fermes les yeux. Ses bras se resserre autour de son corps pendant que tu en redemandes. Tu as de nouveau envie de lui, tu veux qu'il laisse ses lèvres contre toi pour l'éternité, et son corps presque nu contre le tien n'arrange pas les choses. Tu es déçu quand il redresse la tête mais ta déception retombe quand tu sens ses lèvres proches des tiennes. Tu aimerais franchir les derniers centimètres qui vous séparent, mais tu te retiens. Tu préfères le laisser faire, tu le laisses gérer. « Bien sûr que je tiens à toi abruti. Je tiens à toi à un point que tu n’imagines pas encore. C’est toi qui me fait perdre le contrôle et qui sait me contrôler. Je suis faible avec toi, je suis moi face à toi, dénudé de ma carapace, tu ne sais pas à quel point je tiens à toi … » Il ne sait pas à quel point tu es heureux d'entendre ça. Il ne sait pas à quel point cela te fait chaud au cœur.

Et il ne le saura pas. Tu aimerais lui dire. Lui crier que tu l'aimes, et lui demander de t'aimer en retour. Mais tu es incapable de lui avouer. Tu es incapable de lui dire tout ce que tu as sur le cœur. Tu te l'es interdit pendant tellement de temps que craquer maintenant serait stupide. Il t'avait dis qu'il tenait à toi, mais était-ce suffisant pour que tu lui dises que toi tu tenais à lui plus que tout... Tu ne crois pas. Tu roules ensuite sur le côté pour te mettre au dessus de lui. Tu restes penché contre lui, mais tu te retiens tout de même avec tes avant-bras pour ne pas mettre tout ton poids sur lui. Tu sais que tu ne lui ferais pas mal, tu n'es pas gros, mais tu ne veux pas coller ton corps au sien. Tu ne veux pas ressentir le même désir de la veille. Tu voulais garder la tête froide. Restant ainsi au dessus de lui, tu penches la tête en souriant. « Je t... » Vas y. Tu y es presque. Je t'aime. Ce n'est pas la mer à boire. « Je tiens à toi moi aussi » Tu ne peux pas. Tu es trop lâche pour déballer ce que tu as sur le cœur. Au lieu de ça, tu fais un petit sourire en repensant à ce qu'il t'avait dis plus tôt, à propos de ton sois disant côté féminin. « J'suis vraiment aussi peu endurant qu'une femme ? Je suis mauvais à ce point ? » Posant une dernière fois tes lèvres contre les siennes, tu murmures. « Je tenterais de faire mieux ce soir. » Te relevant, tu prends ton pantalon et l'enfile. Tu ne lui as pas demandé son avis, tu ne lui avais pas demandé s'il était libre ou non pour la soirée. Peu importait pour toi, tu voulais le revoir le plus vite possible. Tu ne lui avais pas demandé si tu pouvais venir le voir, tu lui avais simplement dis que tu viendrais. Point.


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