— Stelymes,
— Benedict Adhara.
— 503 ans,
— 06/11/1509, Roumanie.
— hétérosexuel mais très ouvert ♥
— à qui le désire et à qui le prend.
— incube de John Constantine.
— fiche de présentation ~

Lucide, belliciste, astucieux, assuré, anxieux, sensuel, dévastateur, culotté, loyal, curieux, bagarreur, fier et parfois même outrecuidant, dépendant affectif, caractériel, aimant, sadomasochiste, folâtre, meurtrier, hypersexuel, fiévreux, servile, licencieux, déterminé, intrépide, naturel, pernicieux, joueur, téméraire, orgueilleux, volontaire, impétueux, immodéré, passionné.

/Ceci ne vaut pas la lecture de la fiche !\ Né bâtard du seigneur Zamoyski et d’une servante, Benedict a été adoubé à ses quatorze ans et dès lors, participa à de nombreuses guerres. Lors de ses dix-sept ans, il participa à la bataille de Mohács (en 1526) où il rencontra le baron Théron Stelymes, vampire, qui néanmoins ne le transforma pas à ce moment de sa vie. En 1528 ils se recroisèrent lors de la célébration lancée pour féliciter la famille Báthory, devenue voïvode de Transylvanie. Toutefois, Benedict et son épouse Oana rentrèrent rapidement chez eux, le chevalier se sentant mal en la présence de Théron. Ce dernier les invita alors chez lui, quelques jours après cet épisode et ; étonnamment, le bâtard Zamoyski et son épouse acceptèrent. Ce fut à ce moment que le vampire tua Oana et captura Benedict. Trois ans plus tard, après s’être assuré de l’allégeance du chevalier envers sa personne, Théron en fit un incube. Ce dernier était malgré tout privé de toute liberté et ne pouvait rien faire sans son accord. D’ailleurs, il se fit rudement malmener quand il ramena au château une enfant, Angharad, dans le but d’en faire son jouet. Cette dernière d’ailleurs finit par devenir celui de Théron, qui s’était pris de tendresse pour la jeunotte. Il y a environ deux ans et demi, leur demeure fut attaquée par des chasseurs et Etelka, la succube bien-aimée de Théron, succomba et Benedict faillit bien y rester lui aussi. Pour mettre à l’abri le chevalier et Angharad et aller accomplir sa vengeance suicidaire, le baron les envoya sur Heartkiller, sous la protection de John Constantine – ce dernier offrit Angharad à Esfir Bridgestone. Cela fait aux alentours de six mois que Benedict se trouve sur cette île peuplée de vampires.

Aime le cuir, les cordes et les poitrines menues. Le corps chaud des humaines et leur sang, bien évidemment. Se baigner en pleine nature et s’abandonner sur des rochers. La nuit sans lune, le bruit des animaux nocturnes. Les cris des loups et des hiboux. Les jeux de hasard, d’argent ou violents. Monter à cheval et se battre à l’épée. Séduire et dominer ou être séduit et dominé. La fornication et le meurtre, mais aussi les douces étreintes et les mots doux. Etre complimenté et récompensé. Nager. L’odeur de la mer et celle de la terre trempée. Sentir de la cire chaude brûler sa peau, le goût des rouges à lèvres les plus chers. Mordre d’autres vampires. Les mystères féminins, comme le maquillage et les corsets. S’extasie devant les petites filles toutes mignonnes et les femmes dans leur robes de mariées. Voyez-vous, le chevalier est en manque de princesse à dorloter… S’émerveille des histoires de ses aînés. Aime tenir compagnie aux plus vieux. Les jeux de mains et enfantins. La corde à sauter, la marelle. Colle son oreille au ventre des femmes enceintes, curieux. Chasser seul. Les bagarres amicales entre hommes. La lutte et les bras de fer. Montrer sa force et à quel point il est un individu fier de ce qu’il est. Aime maltraiter des orgues et jouer du kaval ou du violon. Le raï et la culture gothique. Les poèmes, les ballades amoureuses qui se finissent mal. L’odeur délicate des roses.

Déteste les boîtes, leur musique trop forte et la façon dont on y danse. Qu’on le juge vieux jeux et de ce fait ridicule. Qu’on critique ses racines et l’importance qu’il y attache. Les films américains qui finissent toujours bien, les vêtements qui en dévoilent trop. Qu’on contrarie ses plans. Perdre. La menace du soleil ou d’être laissé seul contre son gré. Qu’on repousse ses bras quand ils quémandent de la douceur. Qu’un visage lui rappelle celui de Théron ou d’Etelka. Cela le rend tellement triste… tellement. Qu’on ne le comprenne pas à cause de son fort accent. S’endormir sans personne à ses côtés. Les chasseurs (étrangement). Les intrigues politiques auxquelles il ne comprend rien ; qu’on lui demande de faire des choix cornéliens. Devoir rester enfermé trop longtemps. Les grille-pains, les lumières qui clignotent, les demoiselles au vernis écaillé. Glisser, trébucher. Tomber. La peur de l’échec, de décevoir. Peur d’être puni. Qu’on le surprenne en train de chantonner. Les dessous et les chaussettes dépareillés. Qu’on ignore ses questions et ses propos. Etre considéré comme inutile ou de petite importance. Les traîtres. Les menteurs. Qu’on lui interdise de se battre quand il le désire. Les mauvais dragueurs qui pensent que courtiser une femme veut dire lui mettre la main aux fesses. Qu’on refuse ses présents ou qu’on demande sa fidélité. A part si cette demande vient de John ou d’un régnant. Parce que Benedict ne peut dire appartenir qu’à ces derniers.

stark, nina

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constantine, john

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