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 Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan]

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César I. Bridgestone
JE SUIS LA JUSTICE ♦ EMPEREUR
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César I. Bridgestone

✤ LETTRES A LA POSTE : 379
✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 04/03/2013
✤ AGE : 37
✤ OU TU TE TROUVES ? : Je rôde sur Heartkiller. Serez-vous ma prochaine victime ?
✤ EMPLOI/LOISIRS : L'Empereur / Jouer avec mes esclaves
✤ HUMEUR : Avenante

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MessageSujet: Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan]   Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan] EmptyMer 25 Sep - 21:49

- Errol Shaw vous dites ? L’archiviste … Je m’attendais à tout sauf lui.

Terminait-il dans un murmure. Il semblait sur le point d’exploser. On l’observait garder un regard stable vers le bas. Peut-être dans le seul but de tâcher le calme, d’éviter de laisser sortir sa colère. Ses poings en tremblèrent telle l’agitation était grande dans l’entièreté de son corps. Il n’y avait pas que l’Empereur toutefois. Plusieurs soldats, cinq au total, des meilleurs et expérimentés tremblaient aussi … De peur. Huit jours que nos cinq valeureux Vampires recherchèrent cet esclave appartenant à César Irving Bridgestone. Ils n’avaient lésiné aucun endroit. Des quartiers moins huppés d’Heartkiller jusqu’à la jungle en passant par les grottes que l’on retrouvait sur l’île. Enfin, leur détermination et loyauté fut respectée une fois de plus. Grâce à de jeunes Vampires vivant non loin de la cachette d’Errol Shaw, ils la trouvèrent ce dernier y compris.

Néanmoins, le courage manquait encore à nos guerriers. Leur courage s’étiolait, car ils virent Sullivan Mitchell s’abreuver de sang … Ils sentaient déjà l’Empereur sur le bord de commettre un meurtre. Qu’est-ce que ce serait alors ? César en avait eu plus qu’assez de se faire voler ses esclaves. Au bout de trois jours sans avoir vu la mine rebelle de son esclave, il mit donc quelques-uns des meilleurs soldats en quête de le retrouver. Il souhaitait, par ses recherches, faire deux pierres d’un coup. Il espérait retrouver Anastasia au même titre que Sullivan. Huit jours plus tard, il cherchait encore la raison pour laquelle on s’empara de ses esclaves. Et tout proviendrait d’Errol Shaw. Il ne souhaitait point en discuter avec Jezabelle … Il lui fallait retrouver le fautif avant !

Ce fut dans ces méandres de pensées et de meurtres que César entendit une petite voix craintive. Sans prendre en compte ceci, l’Empereur remonta le regard sommant le soldat de répondre … Sans que sa voix s’élève une seule fois.

- On … On a vu Sullivan Mitchell s’abreuver de sang.

Ce fut clairement des mots de trop. L’Empereur grogna et fit valser telle une plume le pauvre soldat contre un mur du couloir en l’intérieur du manoir royal. Heureusement, ce dernier s’en remettrait vite. Débarrassé de toute forme de barrière gênante, César Bridgestone se mit à avancer d’un pied ferme ordonnant aux cinq soldats de le suivre pour lui montrer le lieu du crime. Oui ! Le malchanceux aussi !

Minuit sonnait et la fraîcheur était au rendez-vous. Rapidement, notre Vampire se vêtit élégamment d’un long manteau et chapeau noirs par-dessus ses beaux atours pour sortir dans l’air frais, agréable de la nuit. Toutefois, cette fraîcheur n’arrivait clairement pas à faire descendre la chaleur du corps du Vampire. Il se laissait guider, fou de rage qu’on ose s’en prendre à lui, vers le mauvais quartier sans prendre le temps d’observer les alentours, les Vampires et quelques humains se faisant tous petits l’Empereur passant devant eux. Oh non ! Aucun n’aurait songé à lui adresser la parole : pas avec ces émotions qui furent impossibles à cacher de notre parfait Vampire. Ses pensées étaient multiples envers Errol Shaw, mais une seule le satisfaisait : un tas de cendre au zénith !

- C’est … C’est ici monseigneur …

Bégaya l’un des soldats tout en laissant place à son Empereur. Ce dernier observa de long en large l’habitation et ne put pas s’empêcher de songer qu’Errol Shaw avait des goûts particulièrement étranges. On lui donnait une suite au manoir et il s’obstinait à prendre une maison délabrée ! Quel paradoxe ! Sur ce, il lança son poing avec violence contre la porte. Le vieux bois sec se fracassa automatiquement incapable de tenir à la colère du Vampire. Ce dernier finit de faire tomber le tout avec sa jambe droite pour pester un moment s’étant écorché bêtement une jointure … Quelques secondes plus tard, il n’y paraissait plus. Alors, César ordonna à deux des soldats de rester à l’extérieur. Entrant avec les autres, même à l’aide de sa vision nocturne ses sens ne lui firent apparaître aucune âme vivante. Vivante, dans le sens qu’on l’entend sur Heartkiller évidemment. Sans émettre un seul bruit, tel un chat, il ordonna d’un geste à deux autres soldats d’aller voir à l’étage. Le dernier devait rester à ses côtés.

César savait se trouver dans la cuisinette peut-être même où l’on mangeait étant humain. Machinalement, mais toujours aussi brusquement il passa deux doigts sur une table. L’endroit était extrêmement poussiéreux. Il soupira tâchant de faire taire ses sentiments de meurtre. Ils reprendraient, à l’évidence, dès qu’Errol Shaw lui apparaîtrait.

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Errol O. Shaw
Just bring me a flower and I'll take you beyond the veil
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Errol O. Shaw

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✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 25/11/2012
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MessageSujet: Re: Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan]   Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan] EmptySam 28 Sep - 1:46


Quand aviez-vous pense fuir ?
Ft. Sullivan D. Mitchell & Cesar I. Bridgestone

Sullivan et Errol avaient adopté l'étage supérieur abandonné de cet immeuble pour éduquer Sullivan à sa nouvelle vie de vampire. La tâche était ardue, parce que Errol s'attendait à des questions qu'on s'attends à se faire poser lorsqu'on change de vie, mais il semblait que le jeune infant n'avait absolument aucune curiosité intellectuelle à ce sujet. C'est pas plus mal, en fait, c'est juste que l'archiviste a un peu de mal à orienter son enseignement si Sullivan ne s'intéresse même pas à ce qu'il est devenu. En fait Errol a remarqué que Sullivan ne semble avoir absolument aucun intérêt pour quoi que ce soit, si ce n'est qu'il est affamé. Il est renfrogné et il souffre, voilà tout ce qu'il semble être enclin à faire. En fait, les seules fois où Sullivan semble avoir un peu d'intérêt c'est lorsque Cyane est présente et son intérêt est surtout de résister pour ne pas lui sauter dessus et la vider de son sang. Autrement, lorsque ce n'était pas Cyane qui était présente, mais un ou une autre esclave, Errol a nettement plus de mal à contenir Sullivan. Il semble à Errol que Sullivan résiste de plus en plus aisément, mais Errol ne laissera pas Sullivan seul en ville de si tôt. Plusieurs jours durant, Sullivan est resté confiné à cet immeuble abandonné et par nécessité, Errol y est resté aussi.

Depuis quelques jours, discrètement, enfin, tout aussi discrètement que peut l'être un nouveau-né assoiffé peut l'être, Errol avait accompagné de dit nouveau né en ville, à la recherche d'humains pour s'y abreuver. Jamais Errol ne laisse Sullivan les saigner à blanc. Jamais il ne le laisse non plus boire jusqu'à être rassasié. Selon Errol, Sullivan doit apprendre à rester lucide et ce, même assoiffé. Errol s'astreint à cette routine depuis des siècles et il s'en porte plutôt bien. Évidemment, pour lutter contre la soif de Sullivan, il a nettement augmenter sa consommation de sang, ce qu'il a le teint nettement plus rosé et les cernes sous ses yeux sont moins prononcés. Il a habituellement l'air d'un insomniaque, ce qu'il est si on y réfléchit bien, mais ces derniers jours, il a l'air d'un vampire en pleine forme. Ce qu'il est effectivement. Éduquer un jeune vampire, malgré le peut d'intérêt intellectuel que lui porte Sullivan est tout de même divertissant et très formateur pour l'archiviste dont la soif de savoir est plus puissante que celle du sang.

Aujourd'hui, encore, Errol a déniché un humain, libre ou esclave, ça lui importe peu, il ne va pas le faire tuer. Juste abreuver Sullivan. L'homme ne semble pas très rassuré, malgré les paroles rassurantes d'Errol. En fait, si ce n'était que d'Errol, l'homme serait probablement rassuré, mais la présence de Sullivan le rend nerveux. Errol joue au cartes avec l'humain et Sullivan, mais Sullivan n'est pas concentré. L'homme a une marque au poignet et l'odeur de sang frais flotte dans la pièce, couvrant presque celle de la poussière. Errol n'a pas laissé Sullivan boire à sa soif. Il lui a à peine laissé le temps de prendre une gorgée. Enfin, deux, parce que Errol a quand même eu un peu de mal à faire faire lâcher prise Sullivan. C'est évidemment ça qui a terrifié l'homme. Mais contrairement à Sullivan, l'homme, un dénommé Brent, porte toute sa concentration sur le jeu, pour surtout pas la porter sur Sullivan. Il abat un jeu des plus payant, si évidemment l'enjeu avait été monétaire. Mais Errol est brusquement déconcentré par un craquement sinistre venant de l'étage inférieur. Jamais Errol est Sullivan ne vont à cet étage, préférant passer par l'issue de secours dans la ruelle. Bien que singulièrement silencieux, les deux gardes furent entendu d'Errol qui quitta son siège pour aller tout bonnement ouvrir la porte avant même que les gardes aient achevé de monter à l'étage.

- Plait-il ? dit-il en faisant face aux deux gardes, son accent britannique imposant une stricte à la familiarité que les gardes auraient pu tenter de poser envers lui.

En bras de chemise, lui qui est toujours soigneusement engoncé dans ses éternels costumes sombres, il semble presque négligé. Sans doute parce que quelques gouttes de sang maculent la blancheur jadis parfaite de sa chemise. Mais autrement, il s'agit d'Errol O. Shaw, dans toute sa splendeur... et son flegme tout britannique.

© Leeyarom



Dernière édition par Errol O. Shaw le Sam 7 Déc - 21:34, édité 1 fois
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Sullivan D. Mitchell
★ Darkness will always be there, no matter what we do... ★
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Sullivan D. Mitchell

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MessageSujet: Re: Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan]   Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan] EmptyLun 30 Sep - 21:25



Quand aviez-vous pensé fuir ?



Les habitations  ◈   César Irving Bridgestone ◈   Errol Oswald Shaw   ◈  Sullivan Dale Mitchell


13 septembre 2013

Depuis ma récente transformation, j'avais beaucoup de mal à me contrôler en présence d'humains, ma fiancée Cyane ayant failli me servir de déjeuner, mais mon créateur, Errol O. Shaw, m'en avait empêché de justesse... Durant une bonne dizaine de jours, il m'avait obligé à rester dans cette maison pleine de poussière, le temps que je parvienne à me maîtriser, et m'amenait un humain par nuit, afin que je "mange" un peu... Je n'avais pas posé beaucoup de questions, à propos des vampires, les ayant suffisamment observés pendant mon année d'esclavage, ce qui ne dérangeait pas Errol, bien qu'il ait pensé que je l'aurais fait, mais j'avais d'autres préoccupations... Au bout d'une semaine à ne boire qu'une gorgée de sang à chaque humain, ce qui ne me suffisait pas vraiment, je commençais cependant à dominer quelque peu mes instincts, même si ce n’était que pendant un bref instant... La nuit dernière, nous étions sortis dans la rue et j'avais pu prendre un peu de son sang à un humain que nous avions croisé... Toutefois, ce que j'ignorais, c’était que des gardes de mon ancien maître m'avaient surpris en pleine action... Actuellement assis à la table, comme Errol et un humain, effrayé par moi mais tâchant de garder ses yeux rivés sur la partie de cartes, les miens le fixant avec envie, surtout au niveau du poignet, là où je l'avais mordu un peu plus tôt... Je n’étais absolument pas concentré, ce qu'Errol devait se rendre compte, car il s'était placé entre nous... Brusquement, un bruit au rez-de-chaussée, audible seulement par Errol et moi, le fit se lever et aller vers la porte...

* J'ai trop faim... * pensais-je sans détacher mon regard de Brent, en repoussant à mon tour ma chaise sans bruit...

Incapable de me retenir davantage, je contournais la table en silence, pendant qu'Errol ouvrait la porte à nos "visiteurs", saisis Brent par le cou puis le mordis sans qu'il ait eu l'occasion de réagir, ma main libre plaquée sur sa bouche... Je ne pus cependant pas vider ma proie et me fis repousser assez violemment contre un mur...

« Je suis désolé... » murmurais-je à l'adresse d'Errol en reprenant mes esprits, tandis que Brent essayait de s'enfuir par l'escalier menant au rez-de-chaussée, les deux gardes s’étant écartés pour le laisser s’échapper...
©C. Jacks'Lamiche
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MessageSujet: Re: Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan]   Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan] EmptyDim 20 Oct - 19:03

Les deux soldats ne se laissèrent en rien intimider par Errol Shaw. Évidemment, ils savaient l’illégalité dans leur geste. Anglais, Shaw avait l’immunité diplomatique. Certes, ils connaissaient aussi leur Empereur. Il aurait été mortel d’aller en sens contraire de ses propos actuellement. Néanmoins intelligents, les Vampires savaient que tout ceci allait se finir entre les sept frères et sœurs comme toujours. Non, ils ne devaient pas s’en mêler juste approuver les ordres.

- Monsieur Shaw, vous êtes dans l’obligation de venir avec nous pour …

Commença l’un des deux soldats récitant un texte écrit sur le ton de la déclaration, mais il ne put pas finir sa phrase. Un grand bruit se fit entendre, un bruit de fracas et enfin l’odeur de sang se fit partout. Nos deux Vampires eurent à peine le temps de vouloir désirer entrer et investiguer la pièce qu’Errol Shaw disparut à leur vue. Moult secondes plus tard, un homme les surpris qu’ils le laissèrent passer bouche bée. L’humain continua sa descente en panique pour heurter de plein fouet l’Empereur qui évita habilement le choc en agrippant par réflexe le fuyard.

- Lai … Laissez-moi passer ! S’il vous plaît … Je … C’est dangereux en haut …

Bégaya-t-il effrayé à souhait envers César comme s’il souhaitait aussi mettre en garde ce dernier. La panique lui fit omettre que cette personne pourrait être bien plus forte. Effectivement, notre parfait Vampire n’émit qu’un seul petit sourire en coin sans avoir peur une seule seconde. L’odeur du sang emplit alors ses narines et dès lors que le soldat resté à ses côtés s’enquit de l’humain, César leva la tête vers le haut intrigué sans n’aucunement sembler indisposé par le liquide rouge. Grâce à son père, il fut un expert dans la matière depuis ses 8 ans et pour un dvampire, c’est ce qu’on pourrait même appeler d’exploit.

- Faites-en sortes qu’il ne s’échappe pas.

Somma-t-il le soldat tout en montant les escaliers. Ce dernier acquiesça automatiquement du chef. Effectivement, la dernière chose que César Bridgestone voulait c’était d’attirer trois ou quatre autres Vampires dans cette affaire. Les soldats restés en haut bloquaient toute échappatoire et la première chose que vit l’Empereur dans cette chambre fut Errol Shaw debout au fond de la pièce, Sullivan semblant avoir été repoussé sur le côté … Le sang emplissait toute l’atmosphère. Une odeur délicieuse et difficile à s’astreindre surtout pour l’un des deux soldats. Celui-ci préféra rester dans l’encadrement de la porte. Pendant quelques secondes, César Bridgestone observa, comme en transe, son esclave la bouche maculée de sang. On avait l’impression que le temps fut même arrêté. Il voyait de ses propres yeux l’affront qu’on lui a fait. Il en prenait conscience peu à peu. Puis, son regard azur froid comme un ciel d’hiver retourna vers Errol.

Alors, son visage eut un rictus de colère. Son poing gauche se serra. Sans prendre garde aux meubles entre les deux Vampires, il s’élança à une vitesse surhumaine vers Errol. César le repoussa brusquement contre le mur du fond son poing gauche serrant la gorge de l’Anglais. Il ne pensait plus. Il ne voyait que l’affront posé par le noble. Il n’y avait que colère, rage en lui actuellement.

- Donne-moi une seule bonne raison de ne pas te tuer maintenant Errol Shaw !

Hurla-t-il à en faire presque trembler les murs.
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Errol O. Shaw
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Errol O. Shaw

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MessageSujet: Re: Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan]   Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan] EmptyVen 25 Oct - 1:58


Quand aviez-vous pense fuir ?
Ft. Sullivan D. Mitchell & Cesar I. Bridgestone

Ce n'était pas le bon moment pour suivre des gardes. De toute manière, sans bonnes raisons. Errol pouvait volontiers refuser. Son statut diplomatique en était la cause. L'immunité diplomatique avait ses avantages, mais Errol n'en abusait pas. Partout où Errol avait été porteur de ce statut, il s'était soumis aux protocoles et aux manières de la royauté locale. On ne sait jamais qui on va froisser et Errol n'aime pas trop froisser les gens. Les guerres éclatent tellement rapidement et pour si peu. Et en tant qu'archiviste et historien, Errol préférait qu'on ne le boude pas. On était peu porté à se confier à ceux qu'on boude. Mais en cas de nécessité, Errol pouvait invoquer des tas de raisons diplomatique.

- Est-ce nécessaire ? demande-t-il, avec la plus parfaite politesse, avant qu'un froissement de tissus et le choc mat de deux corps ne se fasse entendre. Excusez-moi, dit Errol, avec une politesse excessive.

Oh non, pas question que son infant ne devienne un monstre sanguinaire. Beaucoup trop de vampires le sont. Errol fera de Sullivan quelqu'un de bien. Il peut comprendre son comportement trouble depuis sa renaissance, il est affamé. Ce qui est tout à fait normal dans cette situation. Mais Errol veut lui apprendre que la soif n'est qu'un état que que ça ne doit pas gouverner sa vie. Mais pour ça, il doit apprendre à supporter la soif ou du moins ne pas saigner à blanc tous les humains qu'il croise.Mais c'est pas encore gagné. Aussitôt que Sullivan goûte le sang, il devient incontrôlable. Et ça doit cesser. Errol n'y va pas avec des pincettes pour faire lâcher prise à Sullivan. Sans ménagement, il lui serre la nuque pour le faire lâcher, puis le pousse loin de Brent, plus précisément, conte le mur le plus proche. Et s'en est un peu trop pour Brent. Il profite sans vergogne de l'ouverture pour tenter une fuite remarquable. Tellement que les deux gardes vampires le laissent passer sans rien dire. De toute manière, ils sont là pour Errol et Sullivan, pas pour l'esclave. Pendant ce temps, Errol sermonne Sullivan, l'intimant à cesser de faire l'imbécile et de se reprendre en main, jusqu'à ce qu'une présence, nettement plus imposante que les deux garde, ne se profile. Une lueur interrogative passe furtivement dans le regard de l'archiviste, avant qu'il ne relâche Sullivan et se retourne pou faire face à la présence.

Si rien ne paraît dans son attitude, le fait de se retrouver face à l'empereur américain, qui de plus, est furieux, il y a de quoi jubiler. Pourtant, Errol ne laisse paraître qu'une apparence d'indifférence. L'empereur observe son ex-esclave, quoiqu'en théorie, il l'est toujours, mais il a maintenant en plus un statut de vampire, ce qui fait qu,il n'et plus esclave, mais sujet. Et techniquement, comme Errol est son créateur, il est sujet britannique. Tout ça est bien intéressant comme situation. Si Errol était du genre démonstratif, il ricanerait sans doute, mais il ne l'est pas. Et puis, ça ne serait pas prudent. Pourtant, lorsque le regard assassin de l'empereur se pose sur lui, Errol affiche un air dubitatif. La colère de Cesar se manifeste alors envers lui, ce qui, jusqu'à un certain point, est préférable à une manifestation de violence envers son nouvel infant. Qui sait comment aurait pu réagir Sullivan. Errol garde son calme. Errol est toujours très calme. S'en est presque énervant. Le contact entre l,empereur et l’archiviste est agressif, voir violent, mais le britannique ne bronche pas, il ne fait que protéger son organe le plus sensible, à savoir son coeur. Heureusement, les vampires ne respirent qu'à intervalle de longues secondes, ce qui fait que si ce sera malaisé de parler, ça ne l'étouffe pas, même si la position est loin d'être confortable. Le regard de glace bleue croise les yeux pluvieux de l'archiviste. L'empereur le menace de mort. L'archiviste réplique.

- Mon mandat chez vous n'est pas encore terminé, plaide-t-il, à tout hasard. Il avait presque rattrapé en une année le siècle de négligence des archives américaines. Mais ce n'est pas encore terminé. Pour quelles raisons veut-on ma mort ? demande-t-il du ton de la plus parfaite innocence.

Oui, mieux valait savoir de quoi l'accuse-t=-on exactement avant de tenter de trouver des raisons. Sinon qui sait ce que de mauvaises informations pourraient apporter.


© Leeyarom

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MessageSujet: Re: Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan]   Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan] EmptySam 26 Oct - 22:49



Quand aviez-vous pensé fuir ?



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13 septembre 2013

La pression d'Errol sur mon cou, pour m'obliger à relâcher ma proie, un instant auparavant, avait été suffisante pour que je cède, mais si j'avais encore été humain à ce moment présent, je n'aurais sûrement pas survécu... Maintenant que Brent avait pris la fuite, je me sentais plus calme, supportant les reproches qu'Errol m'adressait pour ma tentative de dîner... L'irruption soudaine de mon ancien Maître provoqua aussitôt un grand silence dans la pièce et plus personne ne bougeait, moi y compris... Je sentis son regard se poser sur moi, durant à peu près cinq secondes, puis sur Errol, immobile à côté de moi... Sans que je m'y attende, je le vis foncer droit sur mon créateur et le saisir violemment à la gorge, ce qui me parut être un acte déplacé, et je faillis m'avancer pour l’écarter de lui mais le regard d'Errol sur moi me dissuada de le faire...

* Comme vous voulez... * pensais-je en demeurant là où je me trouvais...

Bizarrement, je me sentais plus loyal envers lui qu'envers César, du temps où j’étais encore humain, ce qui n’était pas plus mal étant donné que je n'avais jamais été un esclave "docile"... Annoncer que j'avais été transformé uniquement pour pouvoir "rester en vie" allait certainement augmenter la colère de César, mais j’étais prêt à courir ce risque...

« Il a fait ça parce que je le lui avais demandé... » déclarais-je sans préciser ni comment ni pourquoi...
©C. Jacks'Lamiche
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MessageSujet: Re: Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan]   Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan] EmptyLun 4 Nov - 1:59

Oh ! Il aurait aimé le voir enrager. Il aurait tant adoré le voir s’agacer … N’était-ce qu’un petit peu. Pourquoi Errol Shaw semblait de marbre ? Pourtant, il venait de le rentrer violemment contre le mur. L’archiviste aurait du avoir mal. Il aurait du en ressentir toute une surprise. Rien ! Absolument rien ! Ceci augmenta la rage de César. Pourquoi ne pouvait-il pas être en colère, démontrer quelque chose. Arrgh ! Il allongeait toujours ses canines dans ces circonstances. Non, ce n’était certainement pas pour manger. C’était un réflexe guerrier. Une manière qui laissait épancher sa colère rugissant presque sur celui qu’il crut loyal voir un peu trop. Errol Shaw avait toujours été discret. Il parvenait même à un excellent travail dans les archives, cela en était ahurissant. César n’avait jamais rien à redire envers l’Anglais … Jusqu’à maintenant.

- Ne fais pas l’innocent Errol Shaw ! Tu le sais autant que moi sinon plus !

Hurlait-il alors que ses membres tremblaient de rage. Encore, il ne raisonnait pas. Il n’apercevait que cet affront, cette traitrise à son encontre. C’était SON esclave qu’on lui avait volé ! Pourquoi ? De sa main libre, il avait pointé brusquement et violemment en direction de Sullivan Mitchell. Que ce petit impertinent de Shaw ne joue nullement l’innocent effectivement. Oh que non ! Ce n’était réellement pas le moment.

Ce fut alors que Sullivan osa prendre la parole de lui-même. Ceci détourna le regard de César, bouillant de rage, d’Errol en direction du nouveau Vampire. Il n’avait aucun droit de parler, mais là était et de loin la raison pour l’intéressement soudain de César envers son ancien esclave. Ce furent plutôt les paroles de ce dernier qui firent tiquer l’Empereur. Sans crier gare, il envoya durement Errol Shaw contre la table qui craqua un peu sous le poids et le choc du coup. César Bridgestone ne s’intéressait donc plus, pour le moment tout du moins, à l’archiviste. À l’inverse, les deux soldats restés à l’étage s’avancèrent discrètement vers Errol inquiets par la colère monstrueuse de sa majesté et ce que cela allait apporter. Justement, César était encore aveugle de tout raisonnement. On ne cessait pas de s’en prendre à lui … Il était attaqué de toute part. On lui volait ses esclaves !

- Pourquoi tu lui as demandé Sullivan ? Tu désirais devenir Vampire ? … Je vais te … te …

Sembla-il hésiter un moment pour tuer Sullivan comme son instinct le lui demandait. Il grognait tel un chat devant le pauvre jeune Vampire imposé tel un dirigeant parfait. Il semblait un peu fou seulement … Enragé comme un diable. Heureusement, César Bridgestone n’était pas certains de ses frères, il n’était pas un jeune Vampire non plus et loin de là cette idée. Il préférait juger obtenir toute la vérité et exécuter ensuite. Il ne se rendait pas compte du statut « anglais » de ces deux Vampires ni de la conversation maudite qu’il aurait avec Jezabelle un peu plus tard. Il ne voyait rien de cela. Il savait uniquement ne pas automatiquement tuer avant d’avoir eu la vérité. Il voulait apprendre la vérité par lui-même et non uniquement par l’entremise des soldats venus le chercher à sa chambre précédemment cette nuit.

- Toujours, tu as été un esclave têtu, mais jamais je n’ai osé imaginé que tu aurais fait cela Sullivan ! … Et toi ! Pourquoi as-tu acquiescé à sa demande !

Hurla-t-il à nouveau vers Errol. On semblait ressentir les murs vibrer telle la colère de l’Empereur était énorme. Il se sentait attaqué de toute part. Menaçant, autoritaire oui, mais il se fut retenu admirablement bien devant le jeune Vampire souhaitant vivement obtenir les informations demandées. Il explosa à nouveau vers Errol que les deux soldats tentaient de remettre sur pied. César les laissa faire ... Trop occupé à gérer sa rage, à chercher le pourquoi du comment les crocs toujours sortis.
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Errol O. Shaw
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MessageSujet: Re: Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan]   Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan] EmptyMar 5 Nov - 2:49


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Oh, l'archiviste encaisse le coup à la gorge et contre le mur. Il en ressent la douleur et son visage se chiffonne de douleur, mais il sait que la douleur, comme les blessures, vont disparaître sus peu. Et puis, l'empereur n'est pas encore à le poignarder et le lacérer encore et encore. Il peut donc supporter quelque coups. De toute manière, dans quelques minutes, il ne restera de ce contact que ses vêtements froissés. Errol ne réplique en rien. Il n'a pas à répliquer contre un empereur. Et encore moins lorsque l'empereur tente un dialogue. La dialogue, c'est important, surtout quand on est menacé de mort. Les menaces, c'est bien, ça signifie que ce n'est pas encore le cas. Errol se contente de croiser un bras en travers sa poitrine, question de protéger son coeur. Son autre main se serre autour du poignet de Cesar, mais il ne fait rien de déplacé. Réflexe naturel de défense. Toujours aussi contrarié, Cesar semble aussi savoir que l'archiviste sait très bien de quoi il veut parler. D'accord, feindre la pure innocence ne marche pas avec Cesar. Bon point pour l'empereur doit s'avouer Errol, malgré la colère de l'empereur qui serre son emprise sur la gorge de l'archiviste.

Derrière, il voir Sullivan s'approcher et vu son air, il est aisé de voir l'intention du jeune vampire. Avant que les eux gardes, pur le moment trop ahuris par la situation ne remarquent Sullivan, Errol tente d'articuler un "Non, sullivan", il n'y a qu'un peu d'air qui réussisse à sortir dans ce qui ressemble à un grognement. Pourtant, Sullivan semble comprendre et reste derrière, mais il s'interpose tout de même en annonçant que l,archiviste a agit à sa demande. D'accord, c'est vrai, mais pas juste pour cette raison. L'annonce semble toute fois faire réagir l'empereur. Errol y voit presque de l'hésitation. D'accord, pense Errol, l'empereur voit ce qui se passe, mais il ne sait pas ce qui s'est passé. Il connaît les faits actuels, mais il n'a aucune idée de ce qui s'est passé. Il y a un peu de perfidie. Juste un peu de vengeance. Ok, pas mal de vengeance. Mais... Errol découvre certaines choses chez l'empereur qu'il n'avait jamais vu avant. Visiblement, le fait de lui avoir enlevé un esclave le met dans tous ses états. C'est bon de voir qu'il n'est pas le seul à vouloir garder ses esclaves.

Cesar demande des explications à Sullivan et pousse Errol contre une table qui craque et qui recule sous l'impact. Il sent le bois dur lui broyer les reins et il grimace. Une fois relâché, il tousse, pour reprendre possession de sa gorge douloureuse, qu'il masse d'une main, tandis qu'il balaie les deux gardes de a main pour les garder à distance. Il n'a pas besoin d'escorte et encore moins de mains secourable. Pas pour le moment. Il laisse Sullivan s'expliquer, parce que de toute manière, il doute pouvoir parler pour les prochaines secondes, le temps que sa gorge de régénère. Il occupe ce temps à se recomposer une dignité. Il replace le col et tente de défroisser sa chemise blanche immaculée, outre les quelques point rouge du sang de Brent. La pièces est très poussiéreuse et que la colère de Cesar la fait se soulever. Sa gorge le gratte. Bon signe, ça se soigne. Et soudainement, Cesar s'adresse de nouveau à lui. Errol le regarde, sans manifester la moindre émotion, pas même de la contrariété, ni une parcelle d'agacement. Excepté quelques mèches dorées qui ont été déplacés par le contact entre l'archiviste et l'empereur, ainsi que quelques traînées poussiéreuses sur son pantalon gris, personne n'aurait pu deviner que Cesar venait de prendre Errol à la gorge.

- Pourquoi ne l'aurais-je pas fait ? Aurais-je du l'achever plutôt ? demande Errol avec dans la voix peut-être un léger trait d'agacement.

Il n'aime pas trop rendre des comptes, bien qu'il savait très bien qu'il en aurait à rendre pour Sullivan. Et puis, Errol était sur Heartkiller depuis une année et il avait, depuis la première semaine, la réputation d'être excessivement conciliant et empathique avec les esclaves. Un peu trop, parfois, on jasait beaucoup. En bien chez les esclaves, de manière mitigée chez les vampires.

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MessageSujet: Re: Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan]   Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan] EmptyMar 5 Nov - 23:28



Quand aviez-vous pensé fuir ?



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13 septembre 2013

Mon intervention pour empêcher César de continuer à s'en prendre injustement à Errol fit effet et je le vis l’expédier violemment sur la table où j'avais joué aux cartes un peu plus tôt... Il était encore plus furieux, ce qui ne donnait pas vraiment une bonne image de lui en cet instant... Ses reproches envers moi ne m'atteignirent pas et je restais immobile à le regarder, pas effrayé par son attitude comme je l'aurais été si j'avais encore été humain...

* Me tuer ? Désolé, mais quelqu'un y a pensé avant vous... * songeais-je en réponse à la remarque de mon ancien maître, souriant intérieurement face à sa colère...

Suite à la dernière question de César, Errol lui répondit par une autre, en faisant implicitement allusion à ce qu'il m’était arrivé... Je compris que je devais expliquer ce qu'il s’était produit, le soir où j’étais parti en "mission" pour mon ancien maître et j’espérais ne pas finir en cendres lorsque j'aurais tout raconté...

« Le soir où j’étais censé revenir au château, je me suis fait attaquer par quelques vampires... Je serais mort si lui ne m'avait pas secouru... C’était la raison de mon choix...Je ne l'aurais pas demandé si cela ne s’était pas produit, mais je ne regrette pas ma décision... » annonçais-je calmement en désignant Errol pendant mon récit...

Je laissais cependant sous silence le passage où ma fiancée était intervenue, n'ayant jamais confié à quiconque sa présence, même si Errol le savait désormais...
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MessageSujet: Re: Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan]   Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan] EmptyMar 12 Nov - 0:46



Il bouillonnait de rage encore et toujours. Un orage aurait pu faire rage en l’extérieur au moment même pour mettre un peu plus d’ambiance. Manque de chance, la lune brillait de son firmament, le ciel était dégagé et seule une légère brise voletait dans les manteaux des deux soldats gardant loyalement l’entrée de la maison à l’extérieur. Oui et cela bien malgré la forte chance d’ouragans à cette époque de l’année. La colère fut donc uniquement intérieure. N’avait-elle donc pas lieu d’être ? N’allez pas faire croire cela à César Irving Bridgestone actuellement, il vous trancherait la gorge. C’était bien la raison pour laquelle les deux soldats se furent reculés laissant Errol reprendre un peu de sa dignité perdue précédemment.

- Mais bien évidemment !

Se laissa-t-il emporter par la violence de l’affront lui ayant été fait. César s’était alors tourné à nouveau vers Errol Shaw répondant à la question remplit de sens de ce dernier. Bien évidemment ! Enfin, s’il y réfléchirait un peu plus, peut-être changerait-il d’avis … Enfin, il aurait changé d’avis avec arguments à la clé. Son esclave fut volé, il aurait dû ne plus exister voilà tout ! César se dégoutait d’avoir à faire à Sullivan en Vampire … Il haïssait ce sentiment que ce dernier était maintenant un citoyen à part entière d’Heartkiller et donc leurs liens changèrent totalement. Il n’aurait plus la jouissance de l’avoir pour lui seul … Il n’aurait plus cet amusement à le faire sortir de ses gonds … Rien, rien ! Plus de jeux sexuels, plus rien … Il était à lui ! Et il avait fallu que Sullivan explique la situation, la véritable situation.

La pitié. C’était donc cette foutue pitié qui attrapa Errol Shaw droit au cœur. Cette pitié envers ces foutus humains. Les poings de l’Empereur se serrèrent brusquement qu’ils auraient pu en claquer dans l’air ambiant. L’atmosphère était tendue à nouveau. Cette pitié envers les humains que certaines de ses sœurs prodiguaient dans tout Heartkiller et qui apparemment faisait des petits. Les humains n’étaient rien ! Rien ! Ils n’étaient qu’assassins ! Des êtres irrespectueux et intolérants ! Rien de plus ! Comme si, en l’espace d’un instant, par cette colère et l’affront en cause la véritable douleur de César Bridgestone remonta lui voilant alors momentanément le regard. Évidemment, rapide vous aurez été pour remarquer telle souffrance, car elle disparue de suite pour laisser sa place à un geste emplie d’une vitesse et d’une force inouïe dirigée vers Sullivan Mitchell cette fois. César plaqua son ancien esclave contre le mur ses crocs meurtriers le faisaient apparaître tel un monstre … Celui qui se cachait et parfois reprenait ses droits sur la personne quand les circonstances étaient parfaites.

- Mort ! Tu aurais dû être mort Sullivan … Et pourquoi donc ais-je du te retrouver par mes propres moyens ? Pourquoi donc ne pas me l’avoir dit bien plus tôt ? Eh ! Erol Shaw !

Termina-t-il en criant en direction de ce dernier. Les soldats tremblaient de peur. Ils avaient remarqué le ton mielleux, sadique de l’Empereur précédemment. Ils avaient remarqué sa main gauche approchant de la poitrine de Sullivan. Subitement, il arracha la chemise du jeune Vampire et appuya avec force véhémence sa poigne pour … Le désir d’en arracher le cœur. Oui ! Le désir de contrôler la vie à nouveau de son esclave … Il devait mourir. César en ricana alors que ses ongles creusèrent la chair faisant couler le sang … Alors, un soldat s’interposa d’une petite voix sachant où voulait en venir l’Empereur et n’ayant aucune envie de contrecarrer ses plans outre le fait de respecter les règles de base. Peut-être pour … Gagner du temps.

- Votre majesté … L’exécution doit se faire dans les règles de l’art.

Aussitôt, un rictus de colère déforma le visage de l’Empereur qui se retourna vers cet impertinent. Le soldat resta calme, serein tel Seth Bridgestone le chef de l’armée le lui a appris. Un calme dont César ne pouvait rien malheureusement. Il abandonna donc, un moment, sa folie première baissant le regard pour la réflexion, la raison.
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MessageSujet: Re: Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan]   Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan] EmptyLun 18 Nov - 0:28


Quand aviez-vous pense fuir ?
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Observer l'empereur américain dans toute sa splendide fureur est tout à fait digne d'intérêt. Assister à cet événement, à savoir que l'empereur américain est furieux d'avoir perdu un esclave, vaut bien un costume froissé et quelques coutures éclatées. alors comme ça, l'empereur est beaucoup plus attaché à ses esclave qu'il n'a tenté de le faire savoir à Errol lorsque Chiraz a disparut. Est-ce que l'empereur fait le lien ? Ne lui avait-il pas lancé qu'il n'avait qu'à la surveiller ? De toute évidence, l'empereur ne surveillait pas assez attentivement ses esclaves et c'est une merveilleuse manière de le lui jeter en pleine figure. Errol doit avouer que la situation est des plus excitante. De la pure vengeance et il y goûte avec délectation. Mais rien n'y parait. Il conserve son flegme habituel, immobile, ayant reprit sa superbe malgré son costume froissé et ses cheveux en ébouriffés.

Il laisse Sullivan expliquer son... comportement et il laisse l'ancien esclave et l'empereur bavarder, jusqu'à ce que la question s'adresse à lui. La question provoque chez Errol un regard de glace, tout à fait compatible avec le bleu délavé de ses yeux et il pose ce regard sur l'empereur. Avec toute sa superbe et son prestige britannique, Errol lève un peu le menton, dévoilant un peu de fierté ce qui tranche un peu avec son impassibilité habituelle. Ah bon, Erol O. Shaw a une fierté ? C'est bien la première fois qu'il en démontre quelque chose. Et il y a aussi peut-être cette pointe courroucée dans sa voix, lorsqu'il s'explique.

- Je n'allais quand même pas m'exhiber à la cour avec un jeune vampire non éduqué, dit-il d'un ton tranchant. Surtout pas devant l'empereur, ajoute-t-il, pure manipulation. Il secoue la tête. Et il est hors de question que je le laisse entrer au palais tant qu'il ne sera pas éduqué, il est encore beaucoup trop instable, note-t-il en repensant à ce pauvre Brent.

Errol redevient soudainement très attentif à la situation. L'empereur joue à un jeu dangereux et le statut diplomatique de l'archiviste pourrait causer bien des problèmes. Il reste alerte, prêt à intervenir si l'empereur dépasse les bornes. Sullivan a perdu son statut d'esclave en même temps que sa vie humaine. C'est maintenant un jeune vampire et sous la responsabilité d'Errol. Et l'archiviste na pas l'intention de laisser l'empereur tuer son infant. Son tout premier infant. Il le laisse pourtant débuter son petit jeu à savoir qui est le plus fort ou quelque chose du genre, jusqu'à ce que l'odeur du sang du jeune vampire ne se répande dans la pièce poussiéreuse. Errol hoche la tête, et amorce un mouvement pour reprendre possession de son infant, mais un garde s'interpose, préférant peut-être que le britannique et l'américain ne s'affrontent pas directement. Le garde propose à l'empereur d'exécuter Sullivan dans les règles de l'art. Shaw fronce les sourcils et pose un regard glacial sur le garde, mais l'empereur semble hésiter. Un peu de répit pour Sullivan ? Errol est curieux de voir ce que l'empereur compte faire. Le britannique constate qu'il semble facile de faire douter l'empereur lorsqu'il est émotif. Ça pourrait servir. Il observe attentivement la scène.

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MessageSujet: Re: Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan]   Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan] EmptyMar 3 Déc - 0:08



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13 septembre 2013

Suite à ce que je venais de dire, mon ancien "maître" en fut davantage énervé et sa réaction ne tarda guère... Je me fis violemment plaquer contre le mur du fond, lequel se fissura sous l'impact, sa main serrée à mon cou... Pour ne rien arranger, il avait sorti les crocs, ce qui lui donnait un air frappant de ressemblance avec un rottweiler enragé... C'était la première fois, depuis que je le connaissais, que je voyais ça, et je n'en fus pas vraiment rassuré, commençant lentement à prendre peur depuis son arrivée dans la pièce... Ce que César me dit ensuite et sa petite conversation avec son garde et Errol me fut indifférent car il avait arraché ma chemise en même temps qu'il parlait et je sentis sa main gauche griffer ma peau jusqu'à ce que mon sang s'écoule...

* Pas question que je meure aujourd'hui ! * pensais-je, en sortant les miens à mon tour à cause de la douleur, sans que je le veuille réellement...

Profitant de sa brève distraction, j'entrevis deux possibilités, aussi risquées l'une que l'autre : soit envoyer valser César dans les escaliers situés à l'autre extrémité de la pièce puis m'enfuir loin d'ici en défonçant le mur, soit le mordre et m'enfuir en défonçant le mur... Après une seconde de réflexion, je choisis la première option et repoussais donc César loin de moi, avec toute la force dont je disposais, mais je ne restais pas immobile pendant qu'il faisait son vol plané... Je fracassais le mur derrière moi en reculant brusquement, puis je m'éclipsais dans la nuit, me doutant bien que je me ferais poursuivre... Ma blessure au ventre avait déjà commencé à se refermer, ce qui m'arrangeait car j'aurais facilement été rattrapé dans le cas contraire...

* Je vais me cacher dans les épaves... * songeais-je tout en courant à travers la cité, un des gardes de César à environ 200 mètres de moi...

Je parvins à le semer au détour d'un croisement de rues, en grimpant silencieusement sur le toit d'une habitation, et je restais assis durant quelques minutes, le temps de m'assurer qu'il était hors de vue...
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MessageSujet: Re: Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan]   Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan] EmptyJeu 5 Déc - 3:03

Errol Shaw le mettait hors de lui.

- Ce serait simplement une marque de respect et de loyauté de me dire la vérité Errol.

Sa voix grave, mais basse avait alors surgit pour rappeler, à ce juste instant, que les Bridgestone dirigeaient Heartkiller. Menaçante, on savait pourquoi il se faisait appeler l’Empereur. On ne pouvait pas passer outre ce pouvoir si quelque chose d’important arrivait. Si l’un de leur esclave se transformait en Vampire, c’était loyauté et respect d’en avertir le concerné dans l’instant où arriva l’événement. César se sentait trahi par l’archiviste. Trahi pour on ne savait quelle raison … Les liens avec l’Angleterre étaient puissants. Jezabelle était sa fiancée … Il se sentait trahi simplement.

Revenant peu à peu à la raison, il se força de songer à ces faits. Le sang qu’il égratigna de la poitrine de Sullivan embaumait la pièce, mais César Bridgestone n’en avait cure. Peu importe combien de fois ou comment il maniait ces faits, la trahison tournait et se retournait dans la plaie. À un moment, il alla se tourner violemment vers Errol, mais c’était sans compter la réaction de Sullivan lui-même. Qu’est-ce qu’il aurait dû insinuer ? Que Sullivan serait resté docile ? Vraiment, il le connaissait mieux que cela voyons … Sans crier gare, César se fit pousser de côté frappant durement le mur de son dos le chapeau tombant de sa tête, son long manteau maintenant poussiéreux et ce fut bien pire lorsqu’une partie du mur s’écroula sous la pression de Sullivan. Dans un réflexe, César se protégea la tête, mais évidemment ses habits et sa coiffure étaient fichus. Quelques égratignures qui auraient tôt fait de disparaître néanmoins.

- Attrapez-le !

Hurla-t-il hors de lui et honteux de s’être fait avoir comme un débutant. Aussitôt dit, aussitôt fait les deux soldats se ruèrent à la poursuite de Sullivan. Retrouvant machinalement son chapeau, César se releva mécontent, agacé, fourbu, en colère. Il passa rapidement ses mains sur son manteau tâchant de se redonner bonne contenance puis, croisant finalement le regard d’Errol Shaw désireux lui dire en le pointant de l’index :

- C’est ton infant d’accord ! Montre-moi que tu peux le contrôler. Que ce ne fut pas une énorme erreur de ta part de ne pas me l’avoir dit immédiatement.

Sourie-t-il d’un regard colérique, mais plus menaçant encore et nullement amusé. Tout sarcasme ou rire ou gentillesse n’avait pas sa place avec César en ce moment. Il était en colère, il se sentait trahi … Qu’Errol Shaw lui démontre le contraire ! Il avait besoin de preuves, mais surtout de son aide. Sur ce, il confia la garde de l’étage au soldat resté au rez-de-chaussée et sauta en bas de l’étage retombant aussi habilement qu’un chat dans la rue. En se retournant dans la nuit, il somma Errol Shaw de venir le rejoindre.

- Si tu as la moindre idée où cet imbécile pourrait se trouver, dis-le-moi immédiatement.

Lança-t-il très sérieux d’où il se trouvait.
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MessageSujet: Re: Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan]   Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan] EmptySam 7 Déc - 2:42


Quand aviez-vous pense fuir?
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Visiblement, l'empereur prend très mal les événements. Tant mieux, Errol n'a pas très bien accepté non plus la disparition de Chiraz et l'inaction des Bridgestone. Un retour du balanciez assez prometteur. Loyauté ? Respect ? Errol n'est pas américain, il est britannique. Sa loyauté est à la monarchie britannique. Il ne doit rien aux américains. Par contre, la monarchie Britannique voue un respect de convenance aux américains et Errol suit le courant. L'héritière Britannique est fiancée à l'Empereur américain après tout. l'entente entre les deux empires est au beau fixe, ce serait bête de détruire tout cela. Le moment est peut-être mal choisit pour rétablir la situation d'Errol à Heartkiller, mais s'il le faut.

- Je ne mens pas, Votre Majesté. Ma loyauté est pour la Couronne Britannique, mais sachez que vous avez tout mon respect.

Errol n'est pas un invité des américains. Il n'est pas non plus pour offrir ses services, mais bien son expertise. Errol, tout comme son père, est un bien précieux pour la monarchie Britannique. Les Shaw sont l'Histoire, le passé et le savoir de la monarchie britannique. Le roi anglais à prêté l'expertise des Shaw aux Bridgestone. Errol n'est pas un employé des Bridgestone, encore moins un sbire, pas plus qu'un esclave. Errol est un bien précieux des britanique, prêté aux Bridgestone, ce qui lui confère une certaine immunité diplomatique. L'archiviste n'est pas du genre à afficher ce privilège aux quatre vents, ni même agir de manière démesurée pour troubler l'harmonie entre les deux royaumes, mais il n'est pas prêt à céder son âme aux américains sous prétexte de les respecter. Errol a des droits et des privilèges et, comme il n'en abuse pas, il compte bien les faire valoir si on les brime.

Déconcentré par sa réponse et par l'intervention du garde, Cesar, tout comme Errol, ne remarque pas l’amorce de la défense de Sullivan. Défense qui devient aussitôt une fuite, dans un grand fracas de planches fracturées et de plâtre défoncé. Sullivan prend la fuite. Errol secoue la tête, momentanément aveuglé par la poussières. Sullivan n'a que 5 jours vampires. Il est jeune, instable et Errol s'est assuré de le maintenir affamé. Errol lui a beaucoup paré durant ces cinq jours. Errol lui a dit, à Sullivan, que pour un vampire, une fuite devient une proie. Il n'a pas eu assez de temps pour le mettre totalement sous son contrôle. Ça n'a jamais été son intention non plus en fait. Il espérait pourtant avoir plus de temps. Mais il n'en a pas eu. Maintenant, Sullivan a fuit t Cesar vient de lancer ses sbires à sa poursuite. Heureusement, l a ordonner de l’attraper, pas de le tuer.

La poussière retombe et Errol, calme et placide, époussette sa chemise blanche, éclaboussée de gouttelettes du sang de Brent. Il sent le regard de l'empereur sur sa personne et il lève les yeux, soutenant le regard royal. Il louche pourtant sur l'index pointé sur lui. Son nez se fronce légèrement, comme si l'index pointé sur lui était désagréable. Ce qui est effectivement le cas. Errol hoche la tête.

- Je crains ne pas pouvoir réussir là où vous-même avez échoué lorsqu'il était humain, dit-il, sans la moindre mesquinerie dans la voix.

Il énonce un fait dans sa plus stricte vérité. Il ne se moque pas de l'empereur. Il n'oserait pas. Il avoue même avec modestie qu'il n'est pas plus doué que l'empereur. Ce dernier saute par la fenêtre et Errol, tranquillement, prend son veston resté sur le dossier d'une chaise miraculeusement restée debout. Il l'enfile, tout en se dirigeant vers la fenêtre, là ou l'empereur lui ordonne de le rejoindre. Errol consent à descendre par ce même chemin et atterrit souplement à quelques pas derrière l'empereur.

- Je ne sais pas du tout où il pourrait se cacher. C'est un jeune vampire, il est terrifié, affamé et il fuit dans une ville qu'il ne connait que dans un état humain, énumère-t-il, stratège. Vos gardes sont bien nourrit et en pleine forme et ils connaissent la ville. Ils auront tôt fait de le rattraper. Errol hoche la tête. Par contre, je ne sais pas ce que sera sa réaction une fois acculé par vos gardes. Sachez que je prend sur moi les dommages qu'il pourrait faire. J'en doute, mais s'il arrive à tuer un de vos gardes, je m'engage à vous remettre Sullivan, et à accéder au sort que vous voulez lui réserver, même si je dois le mettre à mort moi-même, informe Errol en fixant le ville, sans ciller. Il laisse flotter quelques secondes, patient. Ils sont seuls, sans autre témoins que l'un et l'autre. Si j'avais su que vous teniez à vos esclaves, je vous aurais prévenu dès la première nuit. Je tiens à ce qui m'appartient également et vous aviez été si peu enclin à me requête pour retrouver mon esclave disparue que j'ai cru que vos esclaves n'étaient que broutilles. Il hoche la tête encore une fois. Par contrariété peut-être ai-je outre-passé les convenances, consent-il à avouer. Vous lui avez volé sa liberté humaine, je lui ai offert une liberté vampirique qu,il a choisit. J'arriverai à en faire un garde vampire tout à fait acceptable, à défaut d'un esclave humain obéissant, ajoute-t-il juste avant qu'un fracas, à quelques rues de là se fasse entendre. Il est beaucoup plus près que je ne l'aurais cru... puis-je vous proposer d'aller voir de visu ce dont il est capable ? demande-t-il, aimable.

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MessageSujet: Re: Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan]   Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan] EmptyDim 22 Déc - 23:54



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13 septembre 2013

Environ cinq minutes après que j'eus semé le garde qui me poursuivait, ce que je croyais, je voulus reprendre mon chemin en direction des épaves, situées à plusieurs kilomètres de la cité, que je ne connaissais que partiellement malgré le fait que j'y sois allé régulièrement au cours de mon année d'esclavage... Quelques mètres plus loin, je m'étais évidemment égaré, et pour ne rien arranger, les gardes envoyés par mon ancien maître avaient réussi à me localiser et ils se trouvaient chacun à une extrémité de la rue que je venais d'emprunter, me privant de toute chance de fuite...

* Ne m'approchez pas... * leur ordonnais-je mentalement en leur jetant un regard noir, en les voyant foncer vers moi, même si je savais que c'était inutile...

Néanmoins, je refusais de me laisser faire et je leur résistais du mieux que je pouvais pendant qu'ils me ramenaient de force auprès de César... Par ailleurs, je perçus que lui et Errol n'étaient pas très loin, à l'écoute de leur conversation à mon sujet...

« Pas question que je retourne à son service ! » affirmais-je à l'adresse d'Errol, contrarié par sa suggestion de me donner, comme si j'étais un "objet utile", prononçant les derniers mots avec un certain mépris, vu que je n'avais jamais apprécié ce que César m'avait fait subir...

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MessageSujet: Re: Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan]   Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan] EmptyMar 24 Déc - 3:21

- Alors, il reviendra vite ici.

Articula-t-il dignement lorsque seul le silence de la nuit se faisait présent entre nos deux puissants Vampires. Errol avait expliqué le pourquoi du comment non réellement apprécié par un César encore colérique qui précédemment se fit carrément rabroué par ce petit Anglais insolent : il avait échoué … Échoué … Heureusement, notre parfait Vampire abordait son saut dans le vide. Ce cher Errol se serait retrouvé face contre terre sinon. Ah les coïncidences bienvenues de certains gestes.

Observant au loin, faisant dos à l’archiviste, César Bridgestone laissa passer une seconde tout au plus … Il se mit à faire quelques pas jusqu’à ce que la brise lui rapporte que tout ceci était de sa faute ! Donc, Errol désirait uniquement vengeance et maintenant … Maintenant, il se faisait plaindre. Pathétique !  Enragé toutefois, César n’entendit nullement les derniers mots d’Errol Shaw. Il s’était retourné et fonça à grande vitesse sur l’autre Vampire pour lui envoyer son poing gauche au visage emmenant l’anglais choir au sol par la force de l’impact. Tout tremblant de rage, l’Empereur se tenait au-dessus d’Errol Shaw. Comment osait-il lui manquer de respect à un point tel ? Comment osait-il intimer la faute de la perte de son esclave sur lui ? Avait-il écrit « police des esclaves perdus dans le front » ? Bien sûr que non !

Lentement, mais de manière imposante il s’avança au-dessus d’Errol Shaw toujours au sol. César se posa sur les mains du Vampire l’empêchant, ainsi, de se relever ou de pourvoir à tout acte vicieux. Il ne souriait pas. On avait l’impression, une fois de plus en cette nuit, qu’un orage allait se déclencher … Mais le ciel restait d’un clair de lune magnifique.

- Les convenances … Tu les as outrepassées Errol Shaw. Tu as décidé de te venger de moi pour la simple et stupide raison que je ne pouvais pas t’aider à retrouver ton stupide esclave ! M**** ! J’avais autre chose à faire moi ! Je ne suis pas un concierge ni la police ! … Je prends tes actions comme de l’irrespect, mais surtout comme de la trahison Errol Shaw ! Tu as trahi notre hospitalité ! Lorsque tu es arrivé sur l’île, le roi d’Angleterre m’avait aimablement stipulé que tu étais des plus respectueux et honorable. Tu as trahi ma confiance. J’ai bien envie de te lui renvoyer la queue entre les jambes avec une longue lettre stipulant ta faute ! Je ne sais pas ce qui me retient de te tuer sur le champ !

Termina-t-il en rugissant ses dernières paroles alors que celles-ci se répercutèrent en écho aux alentours dans le lointain. César a eu beaucoup de difficultés à ne pas éclater de rage durant ses explications si on pouvait appeler cette autorité explicative. Il serrait les poings et ressentait une douleur, une souffrance dans son cœur en même temps. Combien encore le trahiraient-ils. Qui retenait Anastasia ? Qui d’autre lui en voulait à lui personnellement ?

César aurait pu ne pas entendre le cri plaintif de Sullivan, car il se fut habitué au son des pas disciplinés des soldats de la garde. En un coup sec, il se tourna vers les trois autres Vampires laissant un peu d’air à Errol en s’enlevant de sur ses mains. Les gardes lâchèrent Sullivan, mais aussitôt César empoigna solidement le menton de ce dernier.

- Mon service … Non évidemment. À quoi me servirais-tu maintenant ? Tu seras un exclus d’Heartkiller Sullivan Mitchell. On te traitera comme de la vermine. On te laissera moisir dans la rue et alors tu regretteras enfin ta condition d’esclave royal. Tu me demanderas pitié, mais je ne me retournerai pas.

Le défia-t-il les yeux dans les yeux sur le ton de la menace et d’une certaine violence et sadisme. Vers la fin, on sentait parfaitement cette souffrance mêlée à la colère d’avoir perdu quelque chose … Cette trahison encore … Comme Errol Shaw était perspicace toutefois. Oui, César aimait ce qu'il lui appartenait. Il ne pensait guère. César Bridgestone n’était pas bête quand même. Il savait ne pas pouvoir beaucoup envers Sullivan appartenant à Errol Shaw britannique d’origine. Il n’avait, en ce moment, que l’envie d’entendre Sullivan lui dire regretter sa condition d’esclave. Il voulait lui enlever une fois pour toute son air rebelle maintenant plus que jamais ! Il le voulait soumis et docile tel un jeune Vampire d’Heartkiller. Cela le rendait furibond … Cette vengeance.
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Errol O. Shaw
Just bring me a flower and I'll take you beyond the veil
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Errol O. Shaw

✤ LETTRES A LA POSTE : 221
✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 25/11/2012
✤ OU TU TE TROUVES ? : Dans les archives d'Heartkiller
✤ EMPLOI/LOISIRS : Archiviste Royal Britannique - Éminence Grise de sa Majesté Harrington
✤ HUMEUR : Égale

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MessageSujet: Re: Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan]   Quand aviez-vous pensé fuir? [Errol, Sullivan] EmptyDim 29 Déc - 15:51


Quand aviez-vous pense fuir?
Ft. Cesar I. Bridgestone & Sullivan D. Mitchell

L'archiviste n'est pas du genre  à se démonter, même s'il n'a pas tout à fait raison, il sait qu'il n'a pas tout à fait tort. La Monarchie Américaine est toute nouvelle et est loin d'avoir l'envergure de la monarchie britannique. Errol a beau ne pas être un roi, ni un prince, il est tout de même haut gradé. Il est quand même le gardien de tout le savoir Vampirique. Oui, la plus vaste source de savoir et d'information vampirique est rassemblée à Belfast, dans les archives britanniques. Et puis, il n'a pas d'ordres à recevoir des américain, il est britannique. Mais ce n'est peut-être pas le moment pour la ramener avec ça.

L'empereur américain perd patience. Peut-être Errol a-t-il poussé son audace un peu trop loin. Possible, toujours est-il que l'empereur s'en prend, encore une fois, physiquement à l'archiviste. D'accord, l'empereur a une solide gauche. Errol s'effondre sur le sol, sonné sur le coup, mais il retrouve ses esprits assez rapidement, mais pas avant que l'empereur lui marche sur les mains. Pourquoi d'ailleurs ? Errol bat des paupières et fixe un regard clair sur l'empereur. Il ne se serait pas débattu de toute manière. Personne n'attenterait à la vie d'Errol. Il n'est pas américain, il ne leur apparient donc pas. Encore une fois, l'empereur explique qu'il n'avait pas le temps de chercher Chiraz. Stupide esclave ? Quel arrogant cet empereur. Les américains sont si arrogants. Aucun respect pour rien, ni personne.

Une fois que l'empereur l'a relâché, Errol s'assoit sur le sol et s'essuie les mains, avant de se frotter la mâchoire. Il n'y paraître plus rien d'ici quelque secondes. Il laisse Sullivan s'exprimer, puis l'empereur intervenir. Patient, Errol attends son tour. Les américains sont arrogants et irrespectueux. Errol n'est pas un redresseur de tort, sauf lorsque les torts sont fait à la couronne britannique et à sa personne. Errol et archiviste, il sait des tas de choses et connaît la politique. Il connaît même toute la jurisprudence qui s'applique à son cas particulier.

- Vous ne pouvez pas me tuer. Pas sans raisons valables. Je ne vous appartient pas, votre Altesse. Je suis britannique. La seule raison qui pourrait vous permettre de m'exécuter, suite à un long et fastidieux procès, c'est de la haute trahison et un esclave transformé n'est pas de la haute trahison. Si vous me réexpédiez à Belfast avec pour raison la transformation de Sullivan, dit-il en se relevant, ce sera considéré comme un caprice royal et de roi à roi, ce n'est pas très politiquement correct. Vous savez, vous comme moi, que les esclaves ne valent rien aux yeux des lois. Par contre, n'ayant obtenu aucune considération de votre part lors de la disparition de Chiraz, ceci est un manquement aux règles de l'hospitalité, dit-il en époussetant son veston, bien que côté saleté, ça ne change absolument rien. Son costume est foutu. Il est tout de même bien content de se retrouver en costume devant l'empereur. Chiraz ne vous appartenait pas, elle n'appartenait pas aux américains et pourtant, elle a disparue. Un bien de la couronne britannique a disparu en territoire américain. C'est ce dont je parle. Vous ne pouvez pas me tuer sous prétexte que j'ai transformer Sullivan. Il allait mourir. Et ma réputation est bien établie, tout le monde pourra vous dire que j'aurais posé ce même geste au premier humain agonisant qui m'aurait demandé de ne pas le laisser mourir. Sa Majesté n'a pas menti. Je suis respectueux et honorable envers ceux et celles qui me respectent et respectent la couronne britannique. Errol hoche la tête. Je crains que ce différent ne puisse se régler qu'entre nous, Votre Altesse. Deux stupides esclaves disparu n'est pas du ressort légal ni de justice.

Oh, il sait bien que tout ça n'est pas très habituel pour l'empereur qu'un vampire, tout gradés soit-il, le contredise. Mais en même temps, Errol prévenait l'empereur de ne pas faire n'importe quoi, sous peine d'être ridicule. Mieux valait qu'ils règlent ça entre eux plutôt que d'impliquer des tiers. L'empereur avec beaucoup plus de prestige à perdre qu'Errol. Et même que, de tenir tête à l'irrespect ds possessions britannique en territoire américain, ça n'allait pas ternir la réputation de l'Archiviste Royal, au contraire.

© Leeyarom

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