Avoue-le : tu veux jouer [PV Sullivan]

✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 04/03/2013

Une nuit où le manoir était un peu trop bruyant, César Irving Bridgestone fut totalement incapable de se concentrer à quoique ce soit. Il entendait des couinements venant de certaines chambres, des cris venant d’autres pièces, des bavardages, des … Ahhhh !!! Il allait devenir complètement fou ! Avant de perdre tous ses papiers importants en les froissant de rage, il comprit devoir se calmer et vite.

Il marcha un moment dans les couloirs longs et sinueux du manoir appréciant toujours et encore les œuvres d’art sur les murs. Certes, il s’ennuyait … Pourquoi ne pas s’amuser quelque peu. Sur un ordre direct, César Bridgestone fit appeler son esclave Sullivan pour qu’il le rejoigne à la salle des bains. Pourquoi lui et non Anastasias ? Aucune idée vraiment. Il désirait s’amuser et ressentir sa fierté lorsque ce misérable humain serait enfin à ses pieds, soumis à jamais jusqu’à la fin de sa belle vie. Belle ? César voulait la rendre longue et paisible le servant avec véhémence. Puis, il détestait tuer ses esclaves. Où se trouvaient le défi, l’adrénaline et le plaisir avec un humain mort ? Nulle part. C’était d’un ennui mortel. Dans la salle des bains chaude, agréable comme à l’ordinaire César se laissa immerger dans la plus grande baignoire ses vêtements formant un tas non loin. L’Empereur ferma les yeux et se laissa aller à la rêverie … Mélinda … Encore elle et toujours elle. La jeune femme hantait son esprit. Elle était, tout simplement, parfaite. Il devait en faire sa Succube. Pas son esclave ! Non mais, Mélinda n’était pas aussi basse que Sullivan.

Justement, où était-il celui-là ? Il l’avait appelé depuis plusieurs minutes pourtant ? Un soupir sortit d’entre ses lèvres. Un soupir que César voulut pour tâcher de ne pas s’agacer. Non … Il fallait rester calme. La salle des bains était une source de détente après tout. Le Vampire se laissa couler sous l’eau. Il s’immergea complètement. Tout en se tenant fermement pour rester au fond, César allait maintenant bien mieux. La gravité l’avait laissé tout comme ce son … Ces bruits ambiants alors qu’il tentait de travailler. Ressentant néanmoins la vibration caractéristique de pas près du bain où il se trouvait, l’Empereur remonta à la surface de l’eau. Ses cheveux ruisselaient d’eau laissant celle-ci dégouliner vers le bas en n’oubliant pas de caresser le torse de l’homme.

- Tu en as mit du temps Sullivan.

Fit-il sur une voix forte, franche et surtout sans détour. Ses yeux azurs pouvaient paraître clairs, mais l’intimidation et la force qui en ressortait était si puissante … Peu souhaitait faire face au regard de César Irving Bridgestone. Il était glacial, il faisait peur. Certaines rumeurs courent que ce regard était aussi dur dans la jeune enfance du Vampire. C’était faux. Totalement faux, mais nous n’en étions pas là.

- Viens me rejoindre Sullivan … L’eau est chaude. Tu viens me rejoindre sans détour et j’oublie ton retard. Qu’en penses-tu ?

Affirma-t-il changeant complètement d’attitude. Les bras écartés à l’extérieur du grand bain, César se faisait plus désiré et gentil. Il souriait même. Il avait envie de s’amuser et … Non, Sullivan ne devait pas le mettre en colère croyez-moi.

✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 01/09/2012

Avoue-le : tu veux jouer...

Les salles de bain ◈ César Irving Bridgestone ◈ Sullivan Dale Mitchell

Tiré de mon sommeil par un autre esclave, celui-ci m'informa que César Bridgestone voulait que j'aille le retrouver de toute "urgence"... Je le remerciais, bien que je n'apprécie nullement le fait d'être captif contre ma volonté, puis je quittais les lieux, simplement vêtu d'un T-shirt et d'un jean...

* Putain, je déteste ça, franchement ! * pensais-je, à demi endormi, en me dirigeant vers les salles de bain, un lieu où je n'étais encore jamais allé, me doutant plus ou moins des intentions de mon "maître" vampire...

Lorsqu'il perçut mon arrivée dans la pièce, dix minutes plus tard, ayant fait exprès de traîner durant le trajet pour le rejoindre, il refit surface en l'espace de quelques secondes...

« Tu en as mis du temps, Sullivan. » me reprocha-t-il froidement, imaginant sûrement que j'allais m'excuser...

* Ouais ben désolé mais j'étais en train de dormir, hein ! * songeais-je pendant qu'il s'adressait à moi, nullement intimidé par le ton de ses paroles mais préférant le dire mentalement plutôt qu'à voix haute...

Il profita du fait que je sois à proximité du bassin pour me toucher au niveau de la poitrine, heureusement dissimulée par mon T-shirt... Son geste, limite pervers, ne me surprit qu'à moitié, étant donné que ses autres esclaves m'avaient raconté qu'ils avaient déjà eu à subir ses assauts, et cela me rendit à la fois dégoûté et énervé... Cependant, je jugeais préférable de garder mes émotions pour moi...

« Viens me rejoindre, Sullivan… L’eau est chaude. Tu viens me rejoindre sans détour et j’oublie ton retard. Qu’en penses-tu ? » ajouta-t-il, l'air plus "agréable", mais je n'étais ni dupe ni désireux de me laisser tripoter par ce vieux sadique sénile...

* C'est une question-piège ? * pensais-je en jetant un regard sur le bassin du grand bain puis sur lui...

« Comme si vous vous souciez réellement de mon avis... » répondis-je, en restant immobile à quelques centimètres de lui..

©C. Jacks'Lamiche

✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 04/03/2013

Sullivan optait, encore et toujours, pour son petit air de défi au visage. Cette attitude laissant croire à César Irving Bridgestone qu’aucune peur ne se trouvait en Sullivan. Mieux, il y avait la volonté de s’expatrier d’Heartkiller, sa fierté de ne pas produire les résultats que notre Vampire souhaitait ardemment. César observait ces émotions dans les yeux de son jeune esclave. Jeune, farouche, rebelle, amusant … Il n’avait jamais souhaité avoir un esclave trop vieux. Trop de sagesse. Ils finiraient par poser des questions et chercher des problèmes à notre parfait homme malgré son absolu non désir de celles-ci. Il ne voulait que s’amuser et non chercher à philosopher avec ces foutus humains. Ceux-ci pouvaient être fichtrement agaçants sur leur petite moralité. Cela agaçait fortement César tout cela. Il préférait philosopher avec sa famille son frère Seth en premier lieu.

Un sourire se fut alors posté au beau milieu de son visage. Un sourire signifiant qu’il n’abandonnerait pas. César désirait jouer et Sullivan ne lui dirait point un non catégorique. Les bras écartés de par et d’autres du bassin en son extérieur, l’Empereur laissa l’eau glisser le long de son corps sans pour autant quitter le regard de Sullivan une petite seconde. Son avis ? Bien sûr qu’il se souciait de son avis voyons. Si cet avis était aussi le sien, César l’approuverait. À cette pensée, un petit sourire en coin surgit à la commissure de ses lèvres. Il baissa la tête dans un rire voulut presque silencieux. Déjà, il avait oublié son agacement et sa colère des bruits ambiants du manoir. Merci à notre cher Sullivan. Il riait toujours un peu …

- Bien sûr que je me soucis de toi. Moi un Vampire qui laisse vivre un humain ? Sullivan c’est exactement mon souci pour toi que tu es encore en vie aujourd’hui. Bien au contraire, tu serais mort baignant dans ton sang aux portes d’Heartkiller. Tu te rappelle ? Notre première rencontre tous les deux ? Tu voulais avoir des informations. Je t’ai tellement trouvé amusant … que j’ai eu envie de te garder.

Plus César Bridgestone se remémorait et racontait en même temps la petite histoire de leur rencontre et plus il prenait un air plutôt sadique s’amusant – comme il se fut amusé – de la peur facilement ressentit du jeune homme plusieurs semaines précédent la soirée actuelle. Il nagea lentement se laissant aller à toucher l’autre côté du bassin. Maintenant, il se tenait tout juste sous Sullivan l’observant dans un air … Un air qui semblait prêt à dire autre chose. Quelque chose l’amusant, le faisant sourire.

- Rassures-toi que je t’ai trouvé. La plupart des humains ne vivent pas plus de 2 jours ici. Ils se font tuer par certains Vampires trop jeunes pour comprendre le plaisir que tu apportes. Malheureusement, je n’ai pas la mainmise sur tout le monde. J’espère que tu étais aussi seul que tu me l’as déjà dit … Dans tous les cas, s’il y avait une autre personne, elle est probablement morte maintenant.

Termina-il haussant les épaules s’amusant toujours de la probable peur injectée dans le corps de mortel de Sullivan. Si ce dernier n’avait pas été seul, César le verrait réagir d’une manière ou d’une autre. Depuis leur rencontre il s’assurait de comprendre la solitude de Sullivan sur ce bateau. Mais rare les humains voguaient sur les mers seuls.

✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 01/09/2012

Avoue-le : tu veux jouer...

Les salles de bain ◈ César Irving Bridgestone ◈ Sullivan Dale Mitchell

Tandis que je demeurais au bord du bassin, mon "maître" continua à m'observer, de là où il se trouvait...

« Bien sûr que je me soucie de toi. Moi un vampire qui laisse vivre un humain ? Sullivan c’est exactement mon souci pour toi que tu es encore en vie aujourd’hui. Bien au contraire, tu serais mort baignant dans ton sang aux portes d’Heartkiller. Tu te rappelles ? Notre première rencontre tous les deux ? Tu voulais avoir des informations. Je t’ai tellement trouvé amusant… que j’ai eu envie de te garder. » prétendit-il, s'imaginant convaincant mais ce n'était absolument pas le cas...

* Mais bien sûr... Je suis peut-être vivant mais je préférerais être vivant autre part... * songeais-je ironiquement à ses paroles, sans l'annoncer à haute voix...

« Rassures-toi que je t’ai trouvé. La plupart des humains ne vivent pas plus de 2 jours ici. Ils se font tuer par certains vampires trop jeunes pour comprendre le plaisir que tu apportes. Malheureusement, je n’ai pas la mainmise sur tout le monde. J’espère que tu étais aussi seul que tu me l’as déjà dit… Dans tous les cas, s’il y avait une autre personne, elle est probablement morte maintenant. » poursuivit-il d'un ton sadique, en m'observant fixement...

* À vrai dire, c'était l'inverse... Et j'aurais mieux fait de ne pas m'approcher des murailles, cette nuit-là... * pensais-je avec amertume en écoutant César évoquer le soir où je l'avais aperçu...

« J'étais tout seul... Je vous l'ai déjà dit plusieurs fois... » répondis-je sans tomber dans son piège...

©C. Jacks'Lamiche

✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 04/03/2013

Sullivan répéta tel un perroquet avoir été seul. Un perroquet pouvait-il répéter ses propres paroles ? Ce serait bien une première. César Irving Bridgestone aimait penser à certaines hypothèses sans fondement. Cela l’amusait et le détendait. Son esprit était cloîtré toute la nuit sur des papiers administratifs du mariage, d’ambassadeurs ou de finances même. Parfois, il se ramassait la frustration de toujours devoir sermonner ceux ne respectant pas la loi. Oh ! Mais ils pouvaient tâcher d’être plus dociles aussi. Ils pouvaient tenter d’avoir plus de respect pour autrui … C’était pour la protection des autres que César punissaient les hors-la-loi. Non, il aimait faire cela … Sur le coup. César préférait tellement plus s’amuser, avoir du plaisir avec ses esclaves voir mieux. Que c’était agréable, jouissif tous ces petites caresses vous faisant frissonner … Il savait parfaitement que Sullivan adorait ou allait bien adorer à un moment. Tôt ou tard. On ne disait pas non. On devenir docile envers César Bridgestone. C’était incontestable.

Un court sourire rapide, un léger mouvement de la tête envers la rétorque de Sullivan César semblait largement agacé malgré que son geste en dise tout de même tout autre. Qui allait se diriger dans l’océan Atlantique seul ? César n’était pas idiot. Il savait que certains humains – plutôt stupides même – parcouraient les mers du globe en solitaires. Ils étaient très peu nombreux et toujours les médias les prenaient d’assaut. Sullivan Mitchell ne semblait nullement le genre à s’embarquer seul sur un voilier ou peu importe le bateau même. Pendant quelques instants, l’Empereur faisait dos à son esclave. Il laissa l’eau glisser sur la peau de ses mains en bougeant ses bras en larges cercles. Tout cela fut fait machinalement. Il réfléchissait évidemment. Il savait que Sullivan n’était pas seul et aimerait bien connaître l’identité de cette autre personne. Peut-être une personne de son peuple s’en empara. Puis, subitement il ramena son regard azur sur Sullivan sans pour autant se tourner complètement vers ce dernier. Cela prit quelques secondes de plus avant que César bondit en nageant vers le rebord du bassin le repoussant de ses bras pour sortir lui de l’eau.

Complètement nu, l’eau ruisselait sur son torse bien formé. On avait cette impression qu’il brillait telle l’eau se reflétait dans les lampes du plafond. Un sourire en coin se forma alors qu’il s’amusait à regarder son petit rebelle d’esclave. Ce dernier n’avait pas encore enlevé ses vêtements … César allait donc l’y aider. S’avançant vers Sullivan, il mit ses bras sous le haut du jeune homme. Il ressentait alors toutes les dénivellations présentes dans le dos … La colonne vertébrale … Le fessier. Ses doigts encore mouillés glissaient sur chacun des muscles et, soudainement, il approcha brusquement l’esclave de son propre corps. Son cou se pencha vers celui de Sullivan alors que son odorat le ressentait. Il sentait tout ce qui se fut dirigé de près ou de loin en Sullivan. Ses crocs sortirent, mais il n’avait pas l’intention de mordre ... Pas encore. La bouche un peu ouverte, on jurerait qu’il ressemblait là à un chat. Un chat près à chasser, la gueule à moitié ouverte. Mais lui … Lui, César Bridgestone voulait tout autre.

- Je veux jouer avec toi Sullivan. J’en ai très envie donc j’oublie ton attitude si tu joues avec moi.

Laissa-t-il aller sur un ton des plus sympathique, heureux presque suppliant. Rien n’était plus faut que cette supplication. César n’était pas un être qui suppliait, mais un être fier qui manipulait pour son bon plaisir. De son front touchant celui de l’esclave, il le fit volontairement baisser. Sa bouche – les crocs toujours sortis – était à près du cou, la langue sortie il la passa sur la douce peau encore jeune et tendre du jeune homme.

✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 01/09/2012

Avoue-le : tu veux jouer...

Les salles de bain ◈ César Irving Bridgestone ◈ Sullivan Dale Mitchell

César écouta mon mensonge, mais je voyais bien qu'il n'avait pas vraiment l'air de me croire... Pendant qu'il continuait de nager, je pensais brièvement à ma fiancée, me demandant comment elle survivait, mais le regard de César, soudainement braqué sur moi interrompit le fil de mes pensées, et il sortit du bassin, sans même daigner se recouvrir...

* Quel gros pervers... * songeais-je en détournant les yeux, ne tenant absolument pas à regarder mon maître en tenue d'Adam...

Il s'approcha ensuite de moi et commença son manège, à savoir son désir de me tripoter partout... Toutefois, contrairement à lui, j'étais encore habillé et comptais bien le rester, quoi qu'il arrive...

« Je veux jouer avec toi, Sullivan. J’en ai très envie, donc j’oublie ton attitude si tu joues avec moi. » exigea-t-il, à quelques centimètres de moi, tous crocs dehors...

Étant donné la proximité de ses crocs sur ma gorge, je ne pouvais pratiquement pas bouger, ni pour le repousser ni pour m'enfuir loin de cette pièce... Ma seule option était de rester immobile, ce qui ne m'enchantait guère... Un instant plus tard, intentionnellement ou non, je perçus une brèche dans les plans de César...

* Enfin... * songeais-je avec soulagement, en profitant de l'ouverture qu'il venait de me laisser...

Reculant malgré moi, je ne me rendis pas compte que, suite à ce qu'il s'était passé juste avant, je me trouvais pile au bord du bassin et basculais involontairement dans l'eau, aspergeant accidentellement tout dans un rayon d'un mètre...

« Super, vraiment... » murmurais-je ironiquement à voix basse, en essayant de garder mon calme, mes vêtements complètement trempés...

✤ ARRIVÉE A HEARTKILLER : 04/03/2013

Pourquoi détournait-il le regard précédemment ? Pourtant, César Bridgestone n’était pas si mal formé que cela. Oh non ! On ne jouait pas à la naïveté avec l’un des Vampires les plus puissants d’Heartkiller. Les Humains aujourd’hui avaient une telle pudeur … Par le passé, on en vit plusieurs plonger totalement nus dans une rivière. Tous pourraient les observer … Ils n’en avaient cures. Sullivan était un petit puceau tout juste sorti de son nid. Quelque chose qui ravissait totalement notre Vampire.

Il ne se fut nullement aperçu avoir autant bougé de sa position. Ou fut-il Sullivan qui tentant de s’éloigner appuya quelques mouvements de pieds s’éloignant sans le laisser penser à César Bridgestone ce dernier bien trop occupé par l’odeur de son esclave, la douceur de sa peau, cette odeur de sang n’ayant pas son pareil. Il choisissait toujours ses esclaves avec grand soins. Pour leur sang … Pour leur force de caractère ou la manière dont ils adoraient jouer avec lui. Un sourire d’envie fusa subitement sur le visage du Vampire s’arrêtant momentanément dans son plaisir, n’observant qu’avec les yeux au lieu de toucher sans scrupule.

Mais on ne sut réellement pas comment cela se produisit. Dans un haussement d’épaules semblable à la surprise, César vit disparaître Sullivan dans l’eau … Dans une énorme vague qu’elle vint jusqu’à lécher ses orteils. Un réflexe, il repoussa son regard vers l’arrière. Il n’avait pas peur étant évidemment plus amusé qu’autre chose. Un rire justement prit place. Oui, c’était un rire plutôt communicatif amenant presque automatiquement un fou rire par la suite. Il observait de haut son esclave les vêtements complètement trempé ayant murmuré des mots … Des mots n’échappant pas à l’ouïe fine de César.

- Si tu m’avais laissé te dévêtir avant aussi. Je ne te pensais pas aussi hâtif pour te baigner avec moi.

Lâcha-t-il sur un ton malicieux, espiègle. Un véritable manipulateur et le sarcasme se trouvait à porter de main dans son ton de voix. Il était sarcastique s’amusant de la défaite de Sullivan … Il ne put pas décamper, fuir. Oh ! Mais pourquoi ? Un autre sourire et tout doucement et avec plus d’élégance – mais difficile de faire mieux que Sullivan par peu de classe – César retourna à l’eau nageant jusqu’au jeune homme. Ses bras s’emparèrent du corps de l’humain … Ils l’entourèrent fortement, agréablement. Ses doigts caressaient sous le t-shirt du jeune homme désireux encore et toujours de l’enlever. Maintenant que c’était trempé en plus. Notre Vampire entoura une jambe autour de celles de Sullivan gardant la droite pour son équilibre. Son pied jouait sur la cuisse de ce dernier jusqu’à sa main droite alla – toujours sous l’eau – le désir d’enlever le pantalon cette fois.

- Que faisais-tu Sullivan avant de t’échouer « seul » ici ? Pour ma part, diriger un royaume est fastidieux et parfois ennuyant … Merci à mes frères et sœurs qu’on se sépare les différentes tâches. Mais « ton » emploi fut-il si aisé pour que tu n’ais jamais eu l’envie de te détendre …. ? Ce besoin de plaisir ne l’as-tu jamais ressentit ?

Arbora-t-il un petit sourire dans une attitude toute séductrice, mais oh attention. Il ne restait pas naïf pour autant. Malgré sa très forte envie de prendre du bon temps, il restait l’esprit actif et tâchait toujours de comprendre un peu plus son esclave … Pour alimenter ce plaisir, son pouvoir sur lui.

» Je ne veux pas travailler, je ne veux pas déjeuner... Feat. Cesar ♪
» Je suis ici, mais je suis là-bas, car tu ne veux plus, tu ne veux pas de moi, de toi, de nous.
» Je veux plus que cette vie [Shae]
» ★ Maintenant, je sais... [PV Lukas et Sullivan] ★
» ★ Sullivan s'absente, ^^ ★‏

Avoue-le : tu veux jouer [PV Sullivan]

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