votre histoire
veuillez voir le prochain post afin de voir mon histoire, merci


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Hello guys! Moi c'est Alex, je suis du genre féminin et j'ai 16 ans!J'ai connu Heartkiller grâce à Bazzart, et je le trouve super original, magnifique, inspirant, et bien plus! .
Vous voulez savoir si vous pouvez faire de mon personnage un prédéfini si jamais je suis supprimé(e)? Et bien la réponse est: OUI
Sinon, j'ai bien lu le règlement, et le code à retrouver est: Ok by Daenerys

« ARE YOU FUCKING KIDDING ME? »
- chapter one -

C'était le matin de mes neuf ans, en 1947, j'avais décidé de me reposer au lieu d'aller aider mon père avec sa ferme emmerdante. Il y a une chose importante à savoir sur moi : Je vis dans une famille disfonctionnele. Mon père, fermier au premier coup d'oeil, est aussi un trafiquant de stupéfiants dans Moscou, il cache sa drogue dans des bottes de foin et personne ne le soupçonne. Après tout, ce n'est pas en s'occupant d'animaux que l'on devient riche, croyez-moi! Ma mère, je ne l'ai jamais connue. Ce n'est qu'une femme parmi tant d'autres qui m'a donnée la vie pour ensuite en sortir. Je n'ai pas envie de la connaitre car, après tout, c'est rare à notre époque une mère qui décide d'abandonner son enfant. Après être resté des heures couché dans mon lit peu confortable et à fixer le plafond, je décidai de descendre pour aller rejoindre mon père et lui poser une question à laquelle il n'a jamais voulu répondre. J'arrivai où les chèvres étaient toutes alignées pour recueillir le lait et je vis mon père à genoux en train de ramasser du fumier trainant au sol. Bouchant mon nez, je m'avançai lentement puis lui dit directement : « Père, j'ai une question pour vous. » - En soupirant, il releva la tête en lançant au sol sa pelle remplit de fumier. Il me regarda avec des yeux désespérés et dit en levant les bras dans les airs : « Au lieu de me poser un lapin et de ne pas venir m'aider, aurais-tu la simple politesse de m'aider avec les chèvres? Les questions, je peux très bien y répondre plus tard. » - Je pris alors une pelle qui trainait un peu plus loin et je l'aidai, il avait maintenant un petit sourire sur le coin des lèvres et il alla s'asseoir sur une chaise en bois dans un coin de la pièce. Je lançai la pelle au sol en hurlant : « Vous ne me répondez jamais! Toutes les questions que je vous pose, vous n'osez même pas y répondre et vous changez de sujet! Vous n'avez pasl e droit! Je ne connais rien de ma vie! » - Il s'approcha de moi et pris la pelle dans ses mains. Avec le manche, il me poussa au sol et embarqua à cheval par-dessus moi. Il approcha son visage du mien et me dit en chuchotant : « Tes questions, tu peux te les mettre où je pense. T'as compris? » - « Alors, oubliez que je suis votre fils. » - Il me donna, non pas une gifle mais, un coup de poing au visage. Je me débattis de toutes mes forces et je réussis à le faire basculer sur le côté, je pris ma pelle et lui donna un coup avant de m'enfuir en courant. Je montai les marches de ma maison pour arriver enfin à ma chambre, j'ouvris la porte, entendant mon père entrer dans la maison à l'étage juste en dessous. Je pris quelques vêtements et une bouteille d'eau, mon père était maintenant dans les marches et ne tarderait pas à arriver dans ma chambre. Je regardai par ma fenêtre et glissai sur le toit. Arrivé sur la corniche, je faillis me tuer mais je me rattrapai au bon moment pour pouvoir courir sur le bord du toit. Lorsque je fus en face d'uen rue, je sautai et j'arrivai directement dans la rue où je me mis à marcher vers le nord. Où j'allais? Je ne sais pas. Ce que j'allais faire? Je ne sais pas plus. Ce que je comptais faire de mon avenir? Mon dieu, question réellement trop difficile à répondre. Mais j'étais officiellement un orphelin.

« IF YOU SEE ME RUN, RUN LIKE HELL! »
- chapter two -

J'avais maintenant treize ans, ça faisait plus de quatre ans que je m'étais sauvé de chez moi et mon père n'a jamais tenté de me retrouver. En promenant dans Moscou, j'ai finis par rencontrer d'autres jeunes comme moi, des orphelins volontaires. J'ai rejoins leur petite bande et j'ai rapidement pris le rôle de chef étant donné que j'étais probablement le plus intelligent de tous. Il y avait le gros Gustav, personne ne sait pourquoi il est aussi gros car il ne mange pas beaucoup, il est un mystère parmi tant d'autres. Il a Arold, le plus jeune de la bande, il n'a que sept ans mais il est probablement le plus grand voleur que je n'aie jamais connu. Il y a Stephan, celui qui trouve la nourriture facile à volée et qui demande à Arold d'aller la prendre. Puis, il y a Joshua, l'ancien chef de la bande qui tente par tous les moyens de retrouver sa place sans succès car il n'a pas le dont de "charmer" les personnes. Dans la bande, j'étais celui qui amadouait les personnes. Je faisais ma petite bouille d'ange et il était rare qu'une personne me dise non.

Nous étions en face du plus grand centre d'achat de Moscou moi, Gustav, Arold, Stephan et Joshua. Nous regardions les magasins de vêtements, le grand stand de nourriture, le magasin de jouets... Nous voulions faire un gros coup et nous devions tous nous y mettre. Nous avions besoin de nourriture, de vêtements et de quelques "jouets" que nous allions réutiliser en gadgets pour nous faciliter la vie. J'avançai le premier, et les autres me suivèrent après plusieurs secondes car personne ne devait soupçonné que nous étions dans le même groupe. J'arrivai au stand de nourriture et alla voir directement la caissière, elle était vieille et ridée, elle allait craquer rapidement. « Madame, je n'ai pas mangé depuis plusieurs jours et je suis affamé... Auriez-vous la gentillesse de me donner un pain ou quelque chose pour me remplir l'estomac? » - « Je ne devrais pas fiston... » - Sa vieille voix était remplie de compassion, je fis mine de me retourner en faisant semblant de pleurer. Je commençai à m'éloigner et la vieille dame m'attrapa le bras et me fis tourner. Je vis Arold aller vers le stand avec le gros Gustav pour commencer à voler de la nourriture. « Attends jeune homme... Je vais te donner à manger, c'est contre toutes les croyances de Dieu de te laisser mourir de faim. » Je la pris dans mes bras et regarda mes copains avec un grand sourire aux lèvres. Je leur fis un clin d'oeil et aussitôt, le stand sembla s'évaporer sous leurs vêtements. La vieille dame me garda ainsi pendant assez de temps pour leur permettre de prendre assez de nourriture et partir tranquillement dans des directions opposées. Lorsqu'elle la vieille se retourna, elle me donna une soupe et un pain en disant : « J'espère que ça va assez remplir ton ventre fiston. » - Elle me laissa partir sans se soucier de son stand jusqu'à ce que je sorte à l'extérieur pour que l'on donne toutes nos provisions à Arold pour qu'il aille les cacher dans notre planque. Je l'entendis crier : « Qui a dévalisé ma nourriture?!?!?! »

Nous avions ensuite décidé de frapper le magasin de vêtements, l'hiver allait bientôt arrivé et nos vieux vêtements d'hiver ne nous faisaient plus. Il fallait que nous volions de nouveaux habits, nous savions tout de suite que ce ne serait pas une mission facile. Mais il le fallait, pour notre survie. J'avançai vers le magasin et tout de suite, le caissier me dévisagea, remarquant la différence entre les vêtements qu'il vendait et ceux que nous portions. Je dis aux gars : « Écoutez les gars, si jamais vous me voyez courir... Courez comme si vous aviez le feu au cul! » - Les mecs se mirent à rire mais ils remarquèrent que je ne blaguais pas, ils ont reprit leur sérieux et m'ont dit que le champs était libre. J'entrai dans la boutique, me cacha derrière les tonnes de manteaux en attendant le signe de mes potes pour qu'ils m'avertissent lorsque le caissier allait me laisser la voie libre. Le caissier alla dans l'arrière boutique et aussitôt, toute la bande entra dans le magasin et prit des vêtements. Il ne restait que moi et Arold dans le magasin car nous prenions plus de morceaux mais le caissier sortit et nous cria : « NE BOUGEZ PLUS! J'AI APPELÉ LA POLICE! » - Arold me regarda : « On est dans la merde... » - « Non... J'vais faire diversion, quand le caissier regarde plus... COURS! » - Je me suis donc dirigé directement vers le caissier, la tête basse, à l'air honteux. Il mit ses deux mains sur mes épaules en soupirant puis dit : « J'suis désolé de t'faire ça gamin, mais tu sais... J'ai des chiffres à respecter! » - « Ouais j'sais... mais j'suis pauvre, j'ai pas de vêtements, pas de nourriture... Comment voulez-vous que je survive à l'hiver qui arrive? » - Aussitôt que le caissier commença à s'asseoir, je levai la tête rapidement et gueula comme un fou : « SAUVES-TOI! » - Je vis aussitôt Arold déguerpir comme si sa vie en dépendait. La chose pratique à Moscou, c'est que les policiers prennent du temps à arriver, et tout le monde le savait. J'avais bien assez de temps pour entourlouper le caissier et me sauver. Alors que celui-ci tenta de poursuivre Arold, je pris sa caisse, l'ouvrit d'un coup de poing et prit l'argent qu'il y avait à l'intérieur. Je cachai l'argent dans mon slip et me sauva en courant par l'arrière boutique. J'entendis alors les sirènes de police qui se rapprochaient, je courus de plus bel avant d'arriver enfin à destination : notre planque. La journée fut difficile, mais nous avons réussit à avoir tout ce qui nous avions besoin et nous avions assez de nourriture pour environ une semaine et demi, peut-être même deux.

« I DON'T CARE, I'LL DO IT! »
- chapter three -

À mes dix neuf ans, la vie a enfin décidée d'être de mon côté. Après avoir vécu dans la rue pendant plus de 10 ans, une femme est venue me voir un jour et m'a dit que je pourrais facilement devenir mannequin. Elle m'offrait même un endroit où vivre! Même si je m'étais attaché à ma bande, je les ai laissé seuls avec leur ancien chef qui est redevenu le nouveau. Je me suis enfin mit de l'argent dans les poches et aussitôt que j'eus assez pour partir, ce fut la première chose que je fis. J'allai vivre avec Arold dans un appartement que je payais seul jusqu'à ce qu'il se trouve un job et qu'il paie une partie à sn tour. C'était la belle vie et nous avons ensuite entendus parler du triangle des Bermudes. Arold me regarda avec ce grand sourire aux lèvres : « J'suis sur que tu seras même pas capable de t'y rendre et d'y revenir! » - « Mais t'es fou? Ça le dit, noir sur blanc, des gens disparaissent là-bas! » - « Oh, alors t'aurais la trouille? » - « Bien sûr que non! » - « Alors vas-y! » - « Oh et puis merde, j'm'en fiche... J'suis sur que ça existe même pas de toute façon. J'vais l'faire! » - C'est ainsi que je me suis embarqué dans une aventure vraiment stupide.

Ça m'a pris deux ans avant de pouvoir rassembler tout le matériel nécessaire pour le voyage et Arold refusait de lâcher prise. Mon bateau était prêt, mes valises étaient faites et j'avais tout le nécessaire pour ce voyage en haute mer qui, sincèrement, me foutait la trouille. Je suis donc parti le 15 mai 1959 vers le Triangle des Bermudes. L'eau était calme, ce n'était rien de bien difficile. Lorsque je regardai ma carte et me rendit compte que je fus tout près de l'endroit, mon coeur se mit à accélérer et je faillis tomber dans les vapes. Mais je vis, au loin, une petite île. Était-ce cela, le Triangle des Bermudes? Si ça se trouve, c'est probablement juste une île de rêves et personne ne veut retourner à leur vie misérable sur la terre ferme où le physique et l'économie règnent. Je me rapprochai de l'île, lentement, et j'eus cette impression... La même que l'on a lorsque l'on entends parler de ces meurtres dans les journaux, ils cachaient rien, ils décrivaient tout dans les moindres détails. Il y avait quelque chose d'étrange. J'arrivai donc sur l'île et descendit de mon bateau, je me sentais étrangement surveillé. Un homme s'approcha alors lentement de moi, comme s'il n'était pas pressé. « Bienvenue sur l'île jeune homme... Vous êtes-vous perdus? » - « Non.. En fait, je ne crois pas. Est-ce que c'est bien ici le Triangle des Bermudes? » - « Oh, un explorateur. Il y en a de plus en plus ces temps-ci. Vous êtes bien au Triangle des Bermudes. » - « Je ne suis pas un explorateur, je voulais juste savoir si ce lieu existait vraiment. Désolé de vous déranger, aurevoir. » - Je voulu quitter l'endroit mais l'homme m'attrapa par le bras et me mordit dans le cou. Ensuite? Ma vie changea, en une vie de rêve.

« THIS IS THE LIFE I'VE DREAMT OF. »
- chapter four -

Je ne suis jamais retourné chez moi, je n'en ai jamais même eu l'intention. Est-ce qu'Arold pense parfois à moi? Je l'espère. Est-ce que je lui manque? Je ne sais pas. C'est étrange de me dire que je vis ici depuis plusieurs années maintenant. Lorsque je me suis fait transformé, je dois avouer que je ne m'y attendais pas du tout, même que je n'avais jamais pensé que les vampires pouvaient réellement exister. Ça été très douloureux, comme si on jetait mon corps en entier sur le soleil mais après une dizaine de minutes, c'est comme si on m'aurait mit dans une salle froide. Je ne sentais plus mon corps, ma gorge brûlait, j'avais tellement faim! J'avais manger toute la nourriture humaine que je pouvais trouver jusqu'à ce que je vois un petit lapin : il n'a pas vécu très longtemps. C'est là que j'ai réalisé que j'étais devenu un vampire car le sang était devenu tellement tentant! Je vois les veines des gens, j'entends leur battement de coeur et c'est une chose irrésistible. Après ma transformation en vampire, je suis rapidement devenu une arme importante pour eux : un incube. Je devais charmer les humains, ce que j'ai fais toute ma vie, ce qui était facile pour moi. Ce n'est pas difficile, je vivais une vie simple et heureuse. Sur une île, où tous les petits curieux comme moi décident de s'aventurer. Parfois, je regrette le passé. Je regrette de ne pas avoir continué de vivre ma vie d'humain, mais je serais devenu tout ridé et hideux. J'aurais peut-être eu des enfants, des petits enfants... Mais je m'en fiche. Je n'ai jamais cru en l'amour. Les gens connaissant mon secret me demandent très souvent comment j'ai pris le fait de "perdre ma vie humaine". Ce n'était pas un énorme sacrifice car je n'avais jamais réellement vécu. J'ai été pauvre toute ma vie jusqu'à ce qu'une dame m'engage comme mannequin. Mais encore là, je ne me sentais pas à ma place. Je vivais car c'est ce que tout le monde faisait. En arrivant ici et ne me faisant mordre, j'ai enfin trouvé une raison pour laquelle vivre. Je remercie ce vampire de m'avoir transformé car maintenant, je vis en étant heureux.

Par contre, la transformation m'a carrément changée. Je ne suis plus le même. Je charme encore, bien sûr. Mais maintenant, voir un homme mourir devant moi devient presque un plaisir. J'adore voir les gens souffrir et voir qu'ils sont prêts à abandonner leur vie pour simplement en terminer avec une souffrance.

C'est devenu ma vie, charmer pour blesser. Je ne m'en plains pas, j'ai maintenant une énorme autorité même si je suis un très jeune vampire.