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 La Confraternité, cette Haine Vigilante ☠ Elwing Ambroise Greyback

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MessageSujet: La Confraternité, cette Haine Vigilante ☠ Elwing Ambroise Greyback   La Confraternité, cette Haine Vigilante ☠ Elwing Ambroise Greyback EmptySam 8 Déc - 18:01


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La Confraternité, cette Haine Vigilante




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Feat. Elwing Ambroise Greyback & Satyne Euphoria Bridgestone
Le Soleil, cet astre maudit aussi lumineux que mortel venait enfin de se coucher laissant place à sa consœur la Lune qui cette nuit-là sera pleine. Beaucoup de Vampires allaient sortir chasser dans la forêt les rares êtres Humains survivants que nos incapables Incubes et Succubes n'avaient pas réussies à charmer voir même à trouver, à croire qu'à notre époque notre race devient de plus en plus incapable et misérable autant que cette pourriture qu'est la race Humaine. Heureusement que moi, certains de mes membres de ma famille, et mes infants sommes là pour remonter le niveau car sinon nous courions à notre perte depuis des siècles déjà!
Je pensais à tout cela en sortant de mes appartements pour me diriger dans les longs couloirs du Palais en compagnie de serviteurs m'obéissant au doigt et à l'œil, ainsi que deux gardes du corps même si je dois avouer que je n'en ai guère besoin vus mon expérience et ma force que j'avais accumulé avec les siècles, et un des larbins de la Bibliothèque Royale qui avait demandé audience auprès de ma personne quelques minutes plus tôt. Effectivement, celui-ci s'était pressé devant ma chambre pour me narrer une erreur que l'un des nouveaux avait fait, mais n'importe quelle sottise non! Le nouveau-né avait par inadvertance renversé tous les livres et dossiers confidentiels sur Heartkiller ainsi que les classeurs où étaient inscrits de ma propre plume toutes les lois que nous avions mis en rigueur depuis notre prise de pouvoir. J'avais moi-même refusé que l'on les enregistre sur informatique car après tout JE suis la Rédactrice et conservatrice des lois qui régissent notre île entière!
Alerté par cette grossière erreur, je me mis rapidement en colère et sortis en trombe de mes appartements après avoir bien entendu fait attention à m'habiller élégamment avec une des plus magnifiques [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] rouge à dentelles que ma styliste personnelle m'avait faîte sur mesure. Cette dernière mettait parfaitement en valeur mon corps de déesse et me donnait un air sérieux de par sa coupe, qui se mêlait à la provocation qu'offrait cette couleur dès plus tape à l'œil; en somme, cet habit résumait parfaitement ma personnalité. Me faisant une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] des plus préparés mais qui donnait un aspect assez simple voir naturel, je ne tardais guère à me maquiller des plus sobrement avant de me rendre d'un pas pressé vers le lieu du crime, enfin en quelque sorte.
Lorsque je pouvais d'un coup les grandes portes donnant sur la Bibliothèques communes du Palais, toutes les personnes présentes me saluèrent avec respect en penchant l'échine jusqu'à ce que j'accède à une autre pièce à vitesse Vampirique que ma colère de plus en plus grande ne faisait qu'augmenter. Je ne faisais guère attention aux autres, comparés à moi ils n'étaient rien, de plus je n'avais pas le temps de faire des courbettes! De toute façon étant l'Impératrice, je pouvais tout me permettre.
Après avoir ouvert nombres de portes, j'arrivai enfin dans les archives secrètes du Palais dans lesquelles je pouvais admirer le pauvre petit Vampire s'incliner à terre devant ma personne et qui de plus était tétanisé par la peur. Il fallait dire que j'avais une réputation des plus sulfureuses qui avait mit peu de temps avant de se répandre dans tout le monde Vampirique, même les petits nouveaux savent à qui ils ont à faire lorsque l'on prononce mon prénom. Etant fière d'inspirer autant de crainte et de terreur, un sourire sadique vint se nicher sur mes lèvres alors que je regardais la catastrophe que cette abomination avait commis « N'ais pas peur voyons, je ne vais pas te tuer car aujourd'hui je suis de bonne humeur, je dirais même que j'ai très envie de jouer »


Lors de mes premières paroles le jeune Vampire crut que j'allais lui faire grâce de sa vie, cela est vraiment mal me connaître voyons! Tenant toujours mes promesses, je ne fis rien qui pouvait mettre sa petite vie insignifiante et misérable en danger, mais avec un de mes rires à vous glacer le sang je lui arrachais d'un seul coup très rapide son bras gauche avant de lui ordonner avec froideur « A présent, tu vas me faire le plaisir de me ranger tout cela rapidement sinon je me ferais un plaisir pervers à te démembrer petit à petit tout en te laissant en vie, car après je ne te tuerais pas de mes propres mains, mieux vaut une mort lente en agonissant, n'est ce pas? » un cri inhumain de douleur se fit entendre dans l'endroit où nous nous trouvions et sans nulle doute dans toute la Bibliothèque si cela n'est pas plus au moment où sans ciller ni une once du compassion je lui avais retiré son membre que je jetais pas la suite dans les mains d'un de mes larbins qui était habitué à ce genre de choses qu'il savait pertinemment quel était son rôle à présent. En effet, ce dernier se dirigea vers l'amputé, le pris avec violence par les cheveux en lui hurlant « Madame Sa Majesté l'Impératrice t'as posé une question!! Réponds lui MAINTENANT!! », cela était après tout le moindre des choses de me remercier de laisser à ce pauvre quelques minutes de plus de survie dirais-je. Le pauvre était d'une pâleur extrême et semblait tellement terrifié qu'il s'agenouilla encore plus bas avant de m'annoncer d'une voix à peine audible pour un frêle Humain « Bien... Bien sûr vo... Votre Maj... Majesté, tout, tout... Tout de suite... » sa peur et vulnérabilité m'amusait grandement, et je me mise à observer non sans rire sadique et froid sa façon d'essayer de tout ranger avec un bras en moins. Je devrais faire cela plus souvent au lieu de leur arracher tout simplement le coeur, je suis certaine que je gagnerait en cruauté.
Quelques minutes plus tard une fois qu'il eut terminé j'ordonnais d'un claquement de doigt à trois de mes serviteurs à amener ce pestiféré dans une de mes prisons préférées: celle où se trouvait tout un haut une légère ouverture qui emplissait la cellule de Soleil lorsque le jour se levait, construite par mon tendre Eleazar suite à un de mes caprices. « Vous m'aviez promis que vous ne me tueriez pas! » protesta le condamné à mort, furieuse que ce dernier ose me défier je lui arrachais son dernier bras lentement pour bien le faire souffrir et l'entendre me supplier d'arrêter avec de lui expliquer d'une voix calme mais d'une philosophie sans pareil « Qui es-tu pour remettre ma parole en doute? Je t'es en effet promis de ne pas te tuer, mais de mes propres mains or tu vas brûler sous cet astre maudit dans 14h, donc le meurtrier ne sera guère ma personne, nuance! », puis je lui tournais le dos en ricanant suivit de mes gardes du corps tandis que l'amputé hurlait.
Après avoir de nouveau exercé mon pouvoir sans l'accord de mes frères et soeurs, ce que Cesar risque de me reprocher mais après tout mon grand-frère est mal placé pour me faire la leçon car celui-ci fait souvent justice sans nous lorsque cela l'arrange.
Je retournais donc enjouée dans mes appartements où une de mes esclaves les plus fidèles m'avait déjà allumé un feu de cheminée avant de me servir un verre de scotch, ne la remerciant guère car étant une inutile Humaine je lui ordonnais sur le champ d'aller me chercher un cœur tout chaud en compagnie d'un de mes petits larbins que je traitais souvent avec moins de considération que ces Humains aussi lent que succulent!
Au moment où la demoiselle sortit, son visage pétrifié par l'acte immonde et inhumain qu'elle était obligé de commettre si elle tenait à la vie, l'un de mes trois gardes qui surveillait l'extérieur de mes appartements m'annonça avec son air pompeux « Madame Votre Majesté, Altesse Sérénissime et Impératrice d'Heartkiller, l'on demande à vous voir.» demandant avec nonchalance qui était mon visiteur, un sourire des plus sadique s'afficha sur mon visage lorsque l'on m'annonça que cela n'était qu'autre qu'Elwing, mon petit souffre douleur d'intendant. Me remettant droite sur mon canapé style Napoléon Ier avec mon deuxième verre à la main « Faites-le entrer! » je sens qu'en cette belle nuit étoilée mon amusement n'était pas encore terminé, et au contraire ne faisait que commencer!




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MessageSujet: Re: La Confraternité, cette Haine Vigilante ☠ Elwing Ambroise Greyback   La Confraternité, cette Haine Vigilante ☠ Elwing Ambroise Greyback EmptyDim 9 Déc - 12:18

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La confraternité,

cette haine vigilante
Satyne Bridgestone & Elwing Grayson

Comme à son habitude, Elwing faisait son boulot d'intendant consciencieusement, vérifiant que tout était en ordre. Après son arrivée sur Heartkiller, Seth avait été celui qui avait tenté de s'assurer de la bonne intégration de son infant, et c'était en partie grâce à lui qu'Elwing avait pu obtenir cette place. Bon, d'accord, c'était peut-être pas le job le plus passionnant du monde, ou le plus magnifique ; mais eh, il avait un job dans le palais, c'était déjà ça. Et puis, au moins, ça lui permettait de communiquer avec plus ou moins tout le monde, si bien qu'après vingt ans passés ici, il connaissait quasiment tout le monde – et quasiment tout le monde le connaissait, mais ça c'était surtout dû à son union avec Seth – et surtout, il connaissait le palais presque comme sa poche. Oui, presque, parce que faut pas croire, mais même après vingt ans, il lui arrivait de découvrir des pièces ou des passages qu'il avait jamais vus. Ou alors, il les avait peut-être déjà vus, mais vu sa capacité à être surexcité à environ 99% du temps, bah il avait pas vraiment le temps de remarquer des détails comme ça, merci bien.

Et, euh.. Il en était où déjà ? Ah, oui. Il faisait tout son petit truc d'intendant, bien tranquillement – ou pas hein, il savait pas être calme – quand il entendit les murmures de gens dans les couloirs signalant que quelque chose d'intéressant se passait. Et puis, avec sa curiosité légendaire, il décida de s'informer un peu. Ah, quelle idiotie qu'il venait de faire. Au final, c'aurait peut-être été mieux s'il n'avait pas été au courant, ça risquait de partir en vrille totale, là. Ni une, ni deux, il se mit à courir vers la bibliothèque royale – et franchement, il ne s'habituerait décidément jamais à cette vitesse phénoménale, lui qui avait été si maladroit quand il était encore humain, trébuchant au moindre obstacle tous les deux mètres.

Une fois arrivé là-bas, il ne put que constater le malheureux spectacle qui s'offrait à lui. Ce qui avait probablement été une mare de sang au sol était en train d'être nettoyé par deux esclaves, qui avaient l'air à la fois habitués et dégoûtés. Elle avait encore fait des siennes, et ça avait vraiment pas l'air ragoûtant. Elwing soupira, sentant la colère monter doucement en lui, envahissant chaque fibre de son être lentement, mais sûrement.

A vitesse vampirique encore une fois, il se dirigea maintenant vers les appartements de Satyne Bridgestone, la responsable de ce carnage – pour changer, hein. Cette femme était probablement l'une des pires rencontres qu'avait fait Elwing ici, à Heartkiller – voire même la pire, c'était encore en débat en son fort intérieur. Elle était cruelle, violente et sanguinaire, capable des pires massacres. D'accord, le sang, c'était fantastique, grisant et même carrément orgasmique. Mais de là à massacrer tout ce qui se trouve sur son passage, y avait une différence. Surtout quand elle mutilait des vampires. Si ça avait été des humains, Elwing n'aurait rien dit, parce que même si au fond, une petite part de lui n'aimait pas quand on les torturait sans pitié, il en avait lui aussi déjà tué – comme tous les vampires. Mais dès lors que Satyne s'attaquait à des vampires sans prendre la peine d'en avertir ses frères et sœurs, ça devenait différent.

De toute façon, cette femme, c'était un pur cauchemar. Elle s'amusait à pourrir l'existence d'Elwing quotidiennement, mettant au point les pires systèmes pour jouer avec lui et le faire tourner en bourrique, faisant de lui son jouet, son souffre-douleur. Elwing détestait ça – il la détestait elle, ouais ! Mais il ne disait rien, d'une part parce que c'était son problème et qu'il voulait le réglait seul, qu'importe le temps que ça prendrait ; et d'autre part parce qu'il avait trop de fierté pour aller se plaindre à qui que ce soit. Donc oui, il subissait le comportement insupportable de l'impératrice, mais ça ne durerait pas longtemps. Ou du moins, c'était ce qu'il se disait.

Une fois arrivé devant ses appartements, il demanda à un des gardes de Satyne de l'annoncer. Il ne fallut pas longtemps pour qu'on l'autorise à entrer, et Elwing pénétra dans les lieux en se tenant bien droit, prêt à faire savoir à la grande sœur de Seth qu'il n'approuvait pas du tout son comportement. Et puis.. D'accord, c'était absolument pas son rôle, et il devrait pas s'en mêler. Parce qu'après tout, il était rien, juste le fiancé de Seth. Mais ça ne lui donnait aucunement le pouvoir de remettre en question les actes barbares de Satyne. Qu'à cela ne tienne, il allait le faire quand même, parce qu'il était imprudent et impulsif, et que sa témérité finirait par lui attirer de sérieux ennuis.

Il l'aperçut, assise sur son canapé avec un verre à la main, vêtue d'une robe qui lui donnait l'air à la fois autoritaire, sérieuse et provocatrice, le regardant avec cet air nonchalant et ce petit sourire de sadique. A donner froid dans le dos, parole d'Elwing. Alors que le garde refermait la porte derrière lui, Elwing s'avança jusqu'à n'être qu'à un ou deux mètres de distance de Satyne, la fixant de ses prunelles ambrées. « Bonsoir, Satyne. » Oh, ça aussi, ça avait été quelque chose auquel il avait eu du mal à s'habituer. Dire bonsoir au lieu de bonjour. En même temps, s'il se mettait à dire bonjour en pleine nuit, ça ferait tâche, n'est-ce pas ? « J'ai vu ce que tu as fait à la bibliothèque royale, et je suis venu te dire que tu devrais éviter à l'avenir. Si tu as des affaires personnelles à régler, j'apprécierais que tu le fasses en privé ; ou mieux encore, avec les autres Bridgestone. »

Elle allait le tuer. Ou pire, lui adresser ce grand sourire de psychopathe avant de le ratatiner. Tant pis, il continua quand même. Maintenant qu'il était lancé, autant aller jusqu'au bout, pas vrai ? « C'est mon boulot de m'assurer que tout est en ordre, et quand tu fais des trucs comme ça, ça terrorise tout le monde, ils sont moins efficaces et ils discutent de ça non-stop. D'autant plus que tu monopolises des esclaves pour des tâches qui ne devraient pas exister, alors qu'ils pourraient être en train de faire quelque chose de plus utile. » Eh, il avait essayé de se rattraper, c'était déjà pas mal. En mettant ses contestations sur le dos de son travail, peut-être qu'il s'en sortirait sans trop d'encombres ? Mouais, il n'y croyait pas trop non plus.

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