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| Quand la diablesse débarque / Alice&Gabriel | |
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| Sujet: Quand la diablesse débarque / Alice&Gabriel Mer 7 Nov - 16:54 | |
| " Quand la diablesse débarque "[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Crédit Ephram Von Broeke & WasTinTime Alice & Gabriel Chez John Constantine Le retour de John n'avait pas amélioré l'humeur de Gabriel, les retrouvailles du maître et de son esclave la veille avait prit de drôle de tournures commençant sur une ambiance plutôt haute en couleur et des plus mouvementée, chacun libérant sa colère sur l'autre avait fini par déboucher sur une découverte des plus inattendue, Gabriel ne détestait pas autant son maître qu'il pouvait le croire, au contraire ce qu'il n'avait pas réussit à comprendre par lui-même c'était qu'en réalité par certains côtés il s'était attaché à ce dernier, à cause de certaines attention, à cause de certains gestes à son égard. De la confiance dont il faisait parfois preuve envers lui. Et que ... finalement ... Toute cette colère qu'il avait accumulée pendant la semaine ne résultait que de l'absence de ce dernier et surtout du fait qu'il soit partit sans le prévenir prenant cela comme un nouvel abandon. Jamais Gabriel n'avait vu les choses ainsi, jamais il n'avait pensé voir son maître autrement que comme un monstre auquel il était rattaché par cette marque qu'il avait apposé dans son cou, démontrant ainsi son appartenance à ce vampire, qu'il pensait froid, cruel et sans sentiments à son égard. Durant leurs échanges il avait également appris de la bouche de ce dernier qu'il ne le considérait pas comme un esclave mais comme un égal, un ami, qu'il le traitait différemment des autres et que son tatouage n'avait que pour unique but de le protéger. Gabriel avait cru en ses paroles, surprit de ces découvertes il s'était même étonné à se laisser approcher, toucher par son maître, qui de façon sensuelle venait le frôler et déposer des baisers glacée sur sa peau qui se réchauffait à son contact, réveillant chez son esclave un désir alors inconnu et des sensations encore jamais explorées. Mais cela ne dura qu'un bref instant car le maître ne faisait que jouer (du moins du point de vue de Gab) et il coupa court au jeu aussi facilement qu'il avait ouvert les hostilités, laissant un Gabriel désappointé mais surtout encore plus vexé et furieux qu'avant. Retrouvant alors ce sentiment bien ancré en lui, celui de n'être qu'une possession dont on peut facilement se passer et que l'on peut poser dans un coin quand on en a plus besoin, comme avait pu le faire sa mère par le passé, les différentes familles d'accueils ou centres qu'il avaient connu. John avait s'octroyait tous les droits, comme de dire qui fait quoi et quand, de commencer ou de mettre un terme à une situation, une conversation, un jeu.
Voilà ... pourquoi ... ce matin il était d'une humeur exécrable, ce qui vous me direz n'est pas très différent de d'habitude et pourtant je vous assure que si ... Aujourd'hui il ne valait mieux pas venir l'ennuyer, même lui parler, il était même conseiller de l'éviter car quand il découvrit que Alice était de retour et déjà auprès de John, son sang ne fit qu'un tour. Car cette garce était l"égal de John, mais en plus elle avait le droit à son admiration, sa tendresse, sa confiance, son corps. Non pas que Gab aimait son maître, non il semblait même le haïr encore plus depuis hier. Cependant, maintenant qu'il avait découvert d'autres sentiments pour lui, il était partagé, il savait qu'en plus de le détester il ressentait aussi de l'amitié pour lui, il comprenait que son maître était le seul à croire en lui, à lui accorder de l'attention, de la confiance et tout cela avait déclenché un raz-de-marée en lui, qui était aussi la cause de sa possessivité ... car comme il appartenait à son maître, il avait presque envie que John lui appartienne de la même manière. Jamais on ne lui avait accordé la moindre importance, le moindre sentiment ... John était le seul et cela n'avait fait qu'éveiller une grande jalousie chez Gabriel, oui ! il avait presque envie que tout cela ne soit que pour lui, car si d'autres venaient à être plus important alors ... irrémédiablement ... Il le perdrait ... John le laisserait comme tant d'autre avant lui.
Gabriel entendait la voix de la démone, son rire. Tout ce qu'il voulait à cet instant était de lui enfoncer un pieu pour qu'elle se taise enfin ... ou bien ... Sortir, faire un tour, seulement il en avait pas eu l'autorisation. Et puis merde !!Il décidait de sortir après tout il se foutait de la colère de John, il avait cas le punir ou autre il s'en contre fichait et ce n'était pas la première fois qu'il désobéirait aux ordres, il n'aimait pas qu'on lui impose quoique ce soit, il aimait sa liberté ... Même s'il était esclave ... Quoique .. John lui avait bien précisé qu'il ne le voyait pas comme tel mais plutôt comme un égal ... Alors ... Pas de soucis ... Il pouvait bien faire ce que bon lui semblait. Il se dirigeait vers la porte quand il tomba nez à nez avec Alice, manquant de la percuter, s'arrêtant net devant elle, son regard croisa le sien et se fit plus froid et noir que jamais. J'aimerais passer ! Il ne montrait aucune marque de respect, il ne la saluait pas, il ne faisait aucune révérence, il s'adressait à elle avec un ton ferme et froid, sans aucune forme de politesse, ce qui n'avait rien à voir avec le comportement que devrait avoir un esclave, il pourrait le payer très cher mais il s'en fichait pas mal et à cet instant tout ce qu'il pensait c'était qu'il valait mieux qu'il sorte au plus vite car il n'était vraiment pas d'humeur à lui parler ou à rester en sa présence plus longtemps, sinon il ne pourrait dire ce qui adviendrait car le contrôle de soi n'était pas une chose que maîtrisait bien notre beau ténébreux. T'es un vampire pas un fantôme .. je ne peux te traverser ... alors il faudrait mieux que tu t'écartes !! Sa voix se faisait plus ferme et ses yeux plus profond et noir. |
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| Sujet: Re: Quand la diablesse débarque / Alice&Gabriel Mer 7 Nov - 17:51 | |
| "John ! Arrête ! Non !" Elle se trouvait nue dans le lit de son amant, qui s'évertuait à la rendre folle. Les rires de la vampire se répercutaient dans la chambre. Elle se leva soudainement du lit et se mit à courir dans la chambre pour échapper aux chatouilles de son amant. Ils riaient comme des enfants. Elle adorait ces moments-là, de volupté et de douceur. Elle en profitait, appréciant cela plus que tout au monde. John venait tout juste de revenir d'un voyage d'une semaine. Elle n'avait pas pu l'oublier durant tout ce temps, tournant dans sa chambre comme un lion dans sa cage. Elle ne supportait pas d'être seule, loin de lui. C'était devenu un supplice, et dés qu'elle avait appris la nouvelle de son retour, elle était venue chez lui pour en profiter. Elle avait passé une semaine dans une humeur massacrante. Elle n'avait quasiment pas quitté le palais, se plongeant dans le travail et le désespoir d'être loin de son homme. Elle avait beaucoup travaillé, prenant des rendez vous avec les ambassadeurs étrangers pour discuter des nouvelles normes et de la préparations des noces royales. Elle avait essayé d'oublier l'absence de son amant sans réellement y parvenir. Une ou deux fois elle était venue prendre Sebastian, profitant de la présence du jeune enfant pour remplacer au moins celle du père. Elle s'habituait peu à peu à la présence du garçon et il semblait apprécier cela. C'était bien. Les choses dans sa vie redevenait brillantes. Elle laissa John l'attrapait et l'embrassa en riant. "Je t'aime." Lui murmura-t-elle entre deux baisers alors qu'ils tombaient une fois encore sur le lit. Mais au lieu de faire l'amour une fois encore, il la repoussa quelque peu. Il avait du travail, elle le savait. Il devait boucler le procès de Riley et arranger les deux prochaines noces royales : César et Eleazar; avec des princesses étrangères. C'est en boudant qu'elle le laissa quitter la chambre et se leva à son tour. Elle s'habilla avec un gros pull de John et un short de ses soins, avant de remettre ses bottes et de partir. Elle avait soif.
C'est en chemin, alors qu'elle était plongée dans ses pensées, traversant la maison pour rejoindre la cuisine qu'elle failli se faire percuter par un corps dur... Gabriel. Echo-Alice regarda le bel esclave de son homme avec un sourire moqueur et amusé. "J'aimerai passer." Quelle belle voix. La jeune vampire ne comprenait pas pourquoi John perdait son temps avec un tel esclave. Elle ne lui trouvait que des attraits physiques ravageur, un corps qu'elle brulait de sentir sous ses doigts. En somme, il était beau garçon mais là s'arrêtait son intérêt, et son incroyable insolence lui ôtait la moindre qualité aux yeux d'Echo-Alice. Parfois il lui semblait charmant, et elle était en réalité absolument soumise aux charmes des hommes. Elle était fidèle à John, mais elle se laissait parfois distraire par la beauté d'autres hommes. Sans jamais y gouter. "J'aimerai un bonjour poli de ta part." Dit-elle d'une voix fluette, moqueuse. Il n'avait pas la moindre notion de politesse et de respect. Chose qu'Alice déplorait. Elle ne pardonnait cela qu'aux artistes. Elle le pardonnerait à Sérille, sa propre esclave, qui avait le mérite de l'enchanter de sa musique et de ses histoires. Sérille était d'une beauté sans pareille, et d'une générosité étonnante avec sa maitresse. Qu'avait Gabriel à part un corps de rêve ? Mais il n'était pas l'esclave d'Alice. Il n'était pas même un esclave du palais. Il n'était que l'esclave de John... un jouet aux yeux de la jeune femme. "T'es un vampire pas un fantôme .. je ne peux te traverser ... alors il faudrait mieux que tu t'écartes !!" C'est que la bestiole n'était pas de bonne humeur aujourd'hui. Cela donnait à Alice encore plus l'envie de l'embêter, de le chercher. Elle s'approcha de lui, lui barrant d'autant plus le passage. "Veux-tu traverser au point de me passer sur le corps ?" Demanda-t-elle alors qu'elle s'était approchée de lui encore, regardant dans ses yeux noirs. Il était en colère ? Et pourquoi ? Elle s'en fichait à vrai dire, mais elle n'aimait pas l'idée qu'il ne veuille pas jouer avec elle et se mit à bouder. "Tu n'es pas très engageant ce soir Gabriel. Toi qui es si joli garçon c'est bien dommage. Cette mine boudeuse te donne des rides ~" Dit-elle en posant un doigt gracile sur le front du jeune homme. "Qu'est-ce qui ne va pas Jeune homme ?" Demanda-t-elle avec un regard de défis. |
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| Sujet: Re: Quand la diablesse débarque / Alice&Gabriel Mer 7 Nov - 18:48 | |
| D'une voix fluette et moqueuse la demoiselle lui disait vouloir un "bonjour" de sa part, alors que les yeux de Gabriel parcourait déjà le corps de la demoiselle, elle était magnifique c'était sans conteste et pourtant ce n'était pas ce qu'il regardait en ce moment, non ! En réalité il venait de se rendre compte qu'elle portait les vêtements de John, ce qui horripila un peu plus le jeune esclave sans oublier la façon dont elle s'adressait à lui et dont elle le regardait, comme s'il n'était qu'un jouet. La jeune femme n'était pas la seule à porter ce genre de regard sur lui, et ça avait le dont de le foutre en rogne, il n'était pas un jouet et jamais il n'en serait un, il préférait mourir plutôt que devenir un simple objet ou une distraction, ce qui était vrai c'était que jamais John ne l'avait regardé ainsi. Il releva la tête, replongeant son regard dans celui de la jeune femme, il se mit à sourire et ne répondit pas à sa demande, il se contenta de lui demander de bouger, lui précisant qu'il ne pouvait la traverser et qu'il valait donc mieux qu'elle bouge de son chemin. Mais bien sûr elle ne fit rien, elle resta plantée là, son regard toujours posé sur lui, il y avait de nouveau cette lueur dans ses yeux, elle ne le voyait pas que comme un jeu, elle le regardait aussi un peu comme un repas qu'elle avait bien envie de dévorer et c'était surement cela qui parfois filait la chair de poule à Gabriel et en même temps le faisait rire. Car même si elle disait qu'il n'était qu'un esclave ou autre petit nom qu'elle lui donnait, elle ne pouvait cacher qu'elle était attiré par sa plastique, même s'il n'était qu'un homme ou même pire à ses yeux, elle le trouvait tout à son goût. Finalement toutes les femmes se ressemblaient, qu'elles soient mortes ou vivantes. "Veux-tu traverser au point de me passer sur le corps ?" Gabriel esquissa un sourire amusé et fit un pas en avant, s'approchant un peu plus d'elle, réduisant la distance de leur corps à si peu de chose et toujours un large sourire amusé aux lèvres il répondit " Si tu savais ce que je veux faire à ton corps tu serais outrée " Le visage de la jeune femme changea, elle afficha alors une mine boudeuse et le sourire de Gabriel disparut soudain, pas que cela le touchait mais parce qu'il sentait qu'elle allait riposter à sa façon et qu'il n'allait pas aimer la suite. Il fallait dire qu'elle avait du répondant, elle disait ne pas le trouver très engageant ce soir, qu'elle trouvait cela dommage car il était pourtant si mignon et que cet état lui donnait des rides, elle posait même un doigt sur son front, ce contact froid, le troubla, elle continuait de jouer, de se moquer et il n'en était que plus énervé. "Qu'est-ce qui ne va pas Jeune homme ?" Gabriel attrapa la main de la jeune femme dans la sienne puis avançant encore une fois ... avançant rapidement avec force et énergie il plaqua son corps contre celui de la jeune femme et la fit reculer, l'amenant contre le mur, le bras toujours levé de la jeune femme venait tout comme son corps se cogner et se plaquer au le mur, sa main froide toujours prisonnière de celle de Gab. " Ce qui ne va pas ... c'est que tu continues à te foutre de ma gueule sans cesse et me considérer comme si je n'étais qu'un jeu ... est-ce que tu sens ? " Lui demandait-il en plaquant son corps un peu plus contre le sien, serrant un peu plus sa main dans la sienne "Mon corps, ma chaleur ... je suis un homme pas un objet ou un pantin et ... ce battement tu l'entends, tu le sens ? ... c'est mon coeur ! et tu sais quoi ... à chaque fois que tu es dans le coin ... il se met toujours à battre plus vite ... plus fort " A quoi jouait-il bon sang ? Il était devenu fou ou quoi ? |
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| Sujet: Re: Quand la diablesse débarque / Alice&Gabriel Mer 7 Nov - 22:39 | |
| Les jeux dangereux sont de loin les plus excitants mais aussi les plus mortels. Ce n'est pas amusant de jouer en trichant, on est alors sur de gagner. Ce n'est pas amusant de jouer au Poker lorsqu'on ne peut pas s'empêcher de compter les cartes. Ce n'est pas amusant de jouer aux échecs lorsqu'on en connait pas bien les règles. Ce qui est amusant ce sont les jeux de hasard. Lancer les dés sans pouvoir en contrôler la trajectoire. Regarder un esclave dans les yeux sans connaitre sa réaction à l'avance. Gabriel était un spécimen tout à fait remarquable qui faisait beaucoup rire Echo-Alice. La jeune femme n'avait que peu d'esclave en réalité, et surtout peu d'esclave de valeur. Elle en changeait souvent, et elle n'accordait pas beaucoup d'importance à ces êtres. Contrairement à John, qu'elle savait plus protecteur et généreux. En prouvait la marque dans le cou de Gabriel qui signalait son appartenance à l'avocat. Alice aussi avait été marquée, par la morsure de son amant alors qu'ils faisaient l'amour. Une preuve d'amour éternel et de fidélité. Au moins ces deux êtres avaient cela en commun. Ils appartenaient à John.
Ce que Echo-Alice préférait chez Gabriel, outre son physiquement scandaleusement attirant, c'était son caractère lunatique et insolent. Jamais elle n'avait vu un vampire si peu enclin à se soumettre aux lois des vampires. Son maitre était bien trop laxiste c'était une évidence. Et lui n'avait pas froid aux yeux, cela aussi était une chose sure. C'est pour cela qu'il ne baissa pas le regard quand elle lui fit remarquer son insolence. Au palais, un esclave comme lui aurait terminé au cachot, pour y subir plusieurs sortes de punitions, jusqu'à être calmé. Mais il avait la change d'appartenir à John... " Si tu savais ce que je veux faire à ton corps tu serais outrée " Voila le genre de discours qui pourrait lui valoir les foudre de son maitre par contre. Cependant, du point de vue d'Alice c'était simplement follement amusant que de parler avec un tel être. Elle n'avait rien à craindre de lui, elle pourrait le tuer simplement d'une pichenette sur le nez. Et ils le savaient tous les deux. Mais il semblait décider à l'ignorer. "Je pense qu'il en faut beaucoup pour m'outrager, mon cher... Aurais-tu la prétention de croire que tu puisse me choquer ?" Dit-elle d'une voix séductrice, joueuse, à la manière d'un chat tournant autour de sa souris.
Il n'aimait pas cela, c'était une évidence. Il avait besoin d'avoir le dessus sur elle. Quelque part. De savoir qu'il était ... son égal ? Quelque chose dans ce gout-là, sans doute. Elle continua de jouer, frôlant son corps, à travers l'espace réduit qu'il fit quasiment disparaitre en faisant un pas vers elle. Elle le laissa faire. Au jeu du chat et de la souris, elle était reine. Elle était connue pour être une vampire séduisante et séductrice. Le genre de femme a avoir des charmes et à savoir s'en servir. Y serait-il sensible ? Il s'empara de sa main et la bloqua contre le mur d'en face, sans vergogne. Elle souriait, et laissa même échapper un rire enjoué. Tout cela devenait drôlement intéressant. " Ce qui ne va pas ... c'est que tu continues à te foutre de ma gueule sans cesse et me considérer comme si je n'étais qu'un jeu ... est-ce que tu sens ? " Le regard d'Alice était sceptique, perplexe, et amusé. Le pauvre enfant voulait quoi ? Qu'elle le considère comme son égal ? Qu'elle puisse le regarder comme elle regardait John ? Pauvre fou. " Mon corps, ma chaleur ... je suis un homme pas un objet ou un pantin et ... ce battement tu l'entends, tu le sens ? ... c'est mon coeur ! et tu sais quoi ... à chaque fois que tu es dans le coin ... il se met toujours à battre plus vite ... plus fort " Dieu qu'il était beau à cet instant. Elle écouta son coeur dans le silence. En effet, il battait incroyablement vite pour un humain. Il était ... excité ? Enervé ? un peu des deux. Elle adorait ce pouvoir qu'elle avait sur les hommes.
Elle s'approcha un peu plus de son visage, frola sa joue de ses lèvres, et vint chuchoter à son oreille. " Je l'entends en effet, Gabriel... Boum-Boum... Boum-boum... C'est une mélodie délicieuse. " Chuchota-t-elle avant de le repousser d'un mouvement sec du corps, laissant parraitre toute la force de sa stature de vampire. " Tu n'es qu'un jouet, Gabriel. Incroyablement séduisant, j'en conviens, mais affreusement insolent. " Dit-elle avec une voix d'enfant, sautillant autour de lui avec toute la grâce qui pouvait la caractériser. " Rassure moi, tu as conscience de la chance que tu as d'appartenir à John... ?" Demanda-t-elle avant de s'avancer encore une fois vers lui. Frôlant son torse .... musclé... de ses doigts fins. " Si tu m'avais appartenu ... au Palais... je n'aurai pas hésité à te punir pour un tel comportement." Siffla-t-elle, non point menaçante, mais toujours aussi joueuse. |
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| Sujet: Re: Quand la diablesse débarque / Alice&Gabriel Jeu 8 Nov - 18:45 | |
| Gabriel n'était surement pas un esclave comme les autres car il était irrespectueux et indomptable mais la faute ne pouvait incomber à John car il en aurait été de même avec n'importe quel autre vampire, d'ailleurs il ne se gênait jamais avec les autres, que ce soit son maître, Echo-Alic, Sebastian ou bien autre il agissait toujours à sa manière ne respectant aucune règle car il était ainsi : sauvage et hargneux mais surtout il était un homme et on ne pourrait lui enlever ce statut, il n'était la chose de personne et jamais il n'obéirait inconditionnellement à quelqu'un, il préférait mourir plutôt que baisser la tête ou ce laisser dicter sa conduite, il n'était pas un jouet, ni un objet et jamais il n'agirait ainsi, il était peut-être fier ou fou ou encore irrespectueux et insolent mais peu importe il était ainsi, on ne pouvait lui enlever sa liberté et son état d'homme quelque soit ce qu'ils pensent ou disent. L'avilissement, la torture n'y changerait rien au contraire ça ne ferait que le rendre encore plus méchant et sauvage. Après tout, sur certains points, il n'était pas différent de ces vampires qui se croyaient tout permis, qui pensaient pouvoir disposé de la vie des autres et les avilir, les humilier et les descendre plus bas que terre, les ramenant presque au même niveau que les animaux. Oui eux se sentaient supérieurs, intouchables, finalement ils étaient eux aussi tout aussi insolent et irrespectueux. Ils s'imposaient en maître alors que Gabriel s'imposait en tant qu'homme défendant envers et contre tout ce qu'il était au plus profond de lui, c'était bien la seule chose que sa mère lui avait donné : la vie ... la liberté et ça ... pour rien au monde il ne l'abandonnerait.
Il voulait réellement sortir et c'était la meilleure solution s'il voulait se contrôler et ne pas devenir désagréable face à la demoiselle qui de nouveau s'amusait encore à le provoquer. Oh oui il avait envie de faire tout un tas de chose au corps de la jeune femme et la première de ces choses étaient de s'amuser à lui planter des pieux dans le corps, histoire de lui montrer un peu la souffrance. Mais bien sûr elle ne faisait que répondre avec moquerie, se croyant au-dessus de tout, comme ses congères, ils se pensaient tout puissant. Il ne prit même pas la peine de répondre à sa provocation, elle n'en aurait été que plus heureuse ou amusée et il ne perdait pas son temps à des choses inutiles. Et surtout ... A ce moment, la colère, la jalousie ne faisait que l'envahir un peu plus et bientôt il ne pourrait plus se contenir. Son mal-être devenait plus grand alors que de plus en plus le regard d'Alice lui rendait une mauvaise image de lui, il ne supportait plus ses jeux, ses moqueries et ses sourires qui lui rappelait que sur cette île il n'était rien de plus qu'un poche de sang, un vulgaire jouet amusant pour eux, mais il se refusait de n'être réduit qu'à cela. D'ailleurs il objectait et il explosait quand elle osait le toucher, attrapant sa main et la plaquant contre le mur, la faisant prisonnière entre ce bloc de pierre et son corps musclé et brûlant. Il lui disait ce qui lui passait par la tête, il était de nouveau emporté sans pouvoir se maîtriser, collant son corps contre le sien, il voulait lui rappeler ce qu'il était et qu'elle n'était pas, quelqu'un de chaud, une personne avec un coeur qui bat. Il savait que la plupart des vampires ne supportait pas le bruit ou le touché d'un battement de coeur, il voulait continuer à l'affronter et sur n'importe quel terrain même si c'était perdu d'avance car même si elle était une femme des plus sexy elle n'en restait pas moins un vampire sans âme, sans coeur, qui ne comprendrait jamais ce qu'il était ou ressentait ou au contraire s'en moquait bien.
Oui son coeur battait plus vite et plus fort, non pas qu'à cet instant il était excité par elle, malgré qu'elle possédait une plastique à faire rêver un homme et à lui donner des idées des plus hard, mais plutôt qu'il était furieux et agacé. Et tout cela se retrouvait dans le regard glacé qu'il lui lançait mais bientôt elle quittait son regard, son visage s'approchait du sien, ses lèvres frôlaient sa joue pour venir d'en un murmure répondre à ses questions, elle disait entendre son coeur, elle en mimait le bruit, qualifiant cela d'une mélodie délicieuse. Rien ne la touchait, ne la déstabilisait. Puis elle le repoussait d'un mouvement brusque " Tu n'es qu'un jouet, Gabriel. Incroyablement séduisant, j'en conviens, mais affreusement insolent. " précisait-elle en sautillant autour de lui, s'amusant toujours à ses dépens, le rendant toujours plus agacé " Rassure moi, tu as conscience de la chance que tu as d'appartenir à John... ?" Puis elle lui faisait face de nouveau, il ne la regardait même pas alors qu'elle frôlait son torse du bout de ses doigts " Si tu m'avais appartenu ... au Palais... je n'aurai pas hésité à te punir pour un tel comportement." Si elle se voulait menaçante c'était raté et peine perdue, il se mit à sourire amusé et ne pu réprimer un petit rire, il la regarda alors ... et ... tout comme elle il déposait le bout de ses doigts sur elle, juste derrière son oreille et il descendit lentement le long de son cou, suivant une ligne imaginaire Si je t'avais appartenu ... je serais surement mort à l'heure qu'il est ... car jamais tu n'aurais obtenu quoique ce soit de moi il continuait à descendre tout doucement pour arriver à la naissance de ses seins, même si malheureusement il du le faire à travers le pull de John J'ai peut-être de la chance d'avoir John comme maître ... mais ... Ne t'es tu jamais posé la question de savoir si ... John n'avait pas tout autant de chance de m'avoir comme esclave Sa main à présent venait se poser sur le sein droit de la demoiselle, le caressant alors que ses lèvres esquissaient un large sourire Ne t'es-tu jamais demandé Il s'approcha, ôtant sa main de son sein, il prenait plaisir à la copier, voulant être sur le même terrain, au même niveau, il n'y avait pas de raison. Et si elle pouvait se moquer et jouer, il se donnait le droit d'en faire de même. Son visage approcha du sien et ses lèvres venaient frôler sa joue et se déposer à son oreille Pourquoi ... il me traite différemment des autres ? pour lui murmurer ces quelques mots, puis il s'éloigna, restant face à elle, reculant d'un pas, un sourire amusé sur les lèvres. Insinuait-il quelque chose ? Voulait-il encore lui faire comprendre quelque chose ? Y avait-il un message dissimulé dans ses paroles ? |
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| Sujet: Re: Quand la diablesse débarque / Alice&Gabriel Dim 11 Nov - 15:35 | |
| Echo n'avait pas toujours connu l'esclavagisme. Fut un temps, elle vivait loin des châteaux et de la royauté. Elle n'avait pas toujours été noble. Elle était de ces vampires nés humaines. Elle avait senti son coeur battre dans sa poitrine durant des années. Elle avait ressenti la peur de la mort, et surtout elle avait connu les désagréments de la guerre et la tristesse dû à la mort d'être cher : comme son grand frère mort sous les bombes. Elle se souvenait de l’empathie, de l'amour fraternels et de la foi. Elle avait été élevée dans des écoles religieuses et avait reçu une éducation très pieuse les premières années de sa vie. Et John l'avait trouvé, il l'avait mordu et il en avait fait une immortelle. Par pure égoïsme, parce qu'il l'avait trouvé à son gout, parce qu'elle était devenue une obsession. Il l'avait transformée, faisant d'elle son infante et sa femme par la même occasion. Elle ne l'avait plus vraiment quitté jusqu'à ce qu'il l'abandonne. Et durant ces cent ans ils ne vécurent que pour eux, et pour cet amour qui les consumait. Ils n'avaient pas d'esclaves, ni de réels amis à dire vrai. Il n'y avait qu'eux qui comptait. Ils parcouraient le monde et ils laissaient sur leur trace du sang et des destructions. Mais pas d'esclave morts. Ils n'avaient pas besoin de cela. La première fois qu'elle avait pris un esclave ce fut en arrivant à Heartkiller en compagnie de Seth. C'était une sorte de spécialité sur l'île. Il ne pouvait pas être sans ses esclaves.
Le premier esclave qu'elle avait eu lui avait été offert par Seth. Elle ne lui avait pas adressé un seul mot, et un jour alors qu'il avait fait un geste vers elle, elle avait été saisie par la peur et lui avait tranché la gorge. En réalité, seul deux esclaves avaient compté pour elle. Elle avait eu plus mais les autres n'étaient là que pour faire passer le temps et lui servir pour les taches ingrates : le ménages, faire son lit, ou s'occuper de ses vêtements... En général ils ne travaillaient que quelques mois à son service avant de servir de garde-manger, ou qu'elle ne les tue, ou ne les offre à un autre vampire. Elle changeait d'esclave comme de chemise. Sauf en ce qui concernait Jack qui l'avait servie durant presque vingt ans avant qu'elle n'accepte d'en faire un incube. Et Sérille qui était une artiste dans la plus parfaite expression de l'âme. Du reste, elle ne cherchait en général pas à comprendre comment les autres vampires utilisaient leur esclave. En ce qui concernait John, elle était encore plus sceptique que pour tous les autres. Avec Alana déjà elle avait eu cette impression que son homme avait perdu de sa cruauté d'antan. Il n'avait plus la même rage et le même dédain envers les humains. Il avait changé c'était un fait. Mais elle ne pouvait pas non plus ignorer le fait qu'il avait un gout certain pour choisir ses esclaves. après tout, la beauté physique de Gabriel et d'Alana était évident. Son homme aimait les bombes sexuelles.
Elle, elle jouait avec eux. Elle ne pouvait pas leur donner d'ordres, mais elle n'était pas non plus insensible à cette beauté, et elle n'arrivait pas à simplement ignorer Gabriel. Ce beau blond avec son regard de feu et son caractère de merde. Il était un homme plein de passion et d'entrain. Elle aimait ce genre d'homme. Elle se trouvait contre lui, dans l'entrée de la maison de John qui pouvait arriver d'un instant à l'autre. Mais elle s'en fichait, elle aimait ces jeux-là. Elle se brulait souvent, mais ce n'était que plus excitant encore... Et Gabriel semblait d'humeur à jouer lui aussi. Si je t'avais appartenu ... je serais surement mort à l'heure qu'il est ... car jamais tu n'aurais obtenu quoique ce soit de moi ! Il caressait son corps impunément, suivant une ligne imaginaire de son cou à la courbe de ses seins. Ou alors aurais-je obtenu de toi ... certaines choses... Glissa-t-elle d'une voix enrouée par le plaisir en caressant le torse musclé de l'esclave qui titilla son sein droit. J'ai peut-être de la chance d'avoir John comme maître ... mais ... Ne t'es tu jamais posé la question de savoir si ... John n'avait pas tout autant de chance de m'avoir comme esclave. Assurément il avait de la chance. Il pouvait se rincer l'oeil. Mais Gabriel n'était pas un esclave facile. Le jeune impudent caressa son sein avec une chaleur et une douceur particulière. Et elle, elle se laissa faire. Ne t'es-tu jamais demandé ... Elle se rendait compte qu'elle avait fermé les yeux sous ses caresses, et les ouvrit alors qu'il s'éloignait d'elle, comme elle l'avait fait tantôt. Il jouait sur le même terrain, il se pensait sans doute son égale. Qu'elle grossière erreur... Il s'approcha de ses lèvres, et sans les embrasser il parla à son oreille. Pourquoi ... il me traite différemment des autres ? Il se recula et la laissa quelque peu essoufflé. Son odeur l’enivrait et elle sourit. Ravie de voir un homme à son niveau. Elle resta contre le mur et le regarda dans les yeux. Parce que tout comme moi il te trouve... a son gout ? Proposa-t-elle en s'avançant encore vers lui. Elle ne le toucha pas cette fois cependant. Elle resta proche de lui, le regardant dans le yeux, baissant le regard sur ses lèvres, et le déshabillant du regard sans retenu. Peut être un jour nous ferons de toi notre déjeuner ... Dit-elle en empoignant sa ceinture d'une main ferme. |
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| Sujet: Re: Quand la diablesse débarque / Alice&Gabriel Mer 14 Nov - 17:39 | |
| Gabriel était compliqué et pas toujours sincère car en réalité il ne détestait pas autant les vampires qu'il pouvait bien le dire ou le montrer, en faite il avait toujours porté un grand intérêt à ces êtres cruels, sadique et sans coeur, il avait même souvent rêvé devenir l'un deux sans même savoir s'ils existaient. Beaucoup croyaient en Dieu et espérait le rencontrer, lui n'y croyait absolument pas, surtout après la vie qu'il avait eu mais par contre il croyait en d'autres choses comme en la magie, à la sorcellerie aux démons et aux vampires et désirait secrètement devenir l'un entre eux. Mais cela ne l'empêchait pas désormais de les détester tout en même temps, oui maintenant qu'il avait découvert la vérité,qu'il avait la preuve de leur existence et qu'il partageait leur monde, devenant par là-même l'esclave de l'un d'entre eux, qu'il était témoin de leur cruauté et de leur abomination il continuait à vouloir être des leurs et en même temps il les haïssaient de le traiter comme un jouet, de la rabaisser plus bas que terre, de l'utiliser comme un esclave ne lui portant aucun intérêt sauf peut-être à quelque rare exception. Et parmi ceux qui le rendait fou et partagé figurait en haut de la liste la sculpturale Echo-Alice, oui elle était magnifique et parfois il se surprenait à la désirer et à aimer jouer avec elle mais tout en même temps il la détestait parce qu'elle le traitait comme un moins que rien, elle se foutait souvent de sa gueule et surtout point le plus important elle avait toute l'attention de son maître, il avait fait d'elle ce qu'elle était aujourd'hui, quand la demoiselle était dans les parages John l'oubliait complètement et devenait tout à fait indisponible pour lui, passant des heures enfermés dans la chambre de ce dernier, oui il était jaloux de ce qu'elle pouvait avoir de John alors que lui dans ses moments se sentait redevenir un simple esclave.
Et quand il était avec elle comme maintenant il sentait être encore moins que ça, elle avait le don de se moquer de lui avec tant d'habileté qu'elle le rendait dingue et comme il n'était pas du genre à se maîtriser il ne pouvait résister à lui répondre, la provoquer et jouer avec elle comme elle le faisait avec lui même si ça ne se faisait pas au vu de son statut. Il s'en fichait pas mal, lui n'acceptait pas d'être un esclave, il se voyait comme un homme et simplement ainsi, d'ailleurs la nuit dernière John lui avait avoué le voir comme son égal, son ami et non comme un esclave alors ce n'était pas elle qui allait le faire changer de point de vue. Il rétorquait donc que s'il avait été au service de la jolie blonde il serait surement mort à l'heure qu'il est mais elle ne le voyait pas ainsi, elle disait que peut-être au contraire elle aurait pu obtenir de lui certaines choses, amusé Gabriel esquissait un sourire amusé et ne pu se retenir de lui répondre. " Je ne sais à quoi tu penses ... mais ... j'ai de nombreux doutes à ce sujet " Il ne le montrait pas mais les caresses de la blondinette ne le laissait pas de marbre, il faisait tout pour conserver son self contrôle, car elle ne serait que trop ravie de savoir qu'elle lui éveillait quelques sensations en lui. Puis il ne pu résister à l'envie lui aussi de jouer, de la tenter, de lui retourner son traitement, il ne voulait pas la laisser en position de force, elle ne devait pas continuer de penser qu'elle pouvait faire de lui ce qu'elle voulait sous prétexte qu'elle était un vampire et lui un esclave, de son point de vue à lui, elle n'était pas en position de force ou de dominante. Il la caressait toujours un peu plus, sa main venait même passer sur son sein, doucement il le redessinait du bout des doigts, puis sa main se posait entièrement sur lui. Approchant ses lèvres de son oreille tout en effleurant ses lèvres, il la faisait se questionner. Lui demandant si jamais elle avait déjà réfléchi au fait que John le traite ainsi, pourquoi à ses yeux il était différent des autres et aussi s'il n'avait pas de la chance de l'avoir. Sincèrement il en doutait lui même, car il n'était pas des plus obéissant, des plus docile et des plus tendre avec lui, mais il avouer que parfois l'un et l'autre s'entendaient assez bien ... même si cependant il y avait des clash comme hier soir.
Se reculant il retrouvait le regard d'Alice alors qu'elle lui répondait tout simplement que John devait tout comme elle le trouver à son goût. Il ne pu qu'esquisser un sourire alors qu'elle s'approchait à nouveau, sa réponse l'amusait car il se demandait si elle faisait allusion à son corps ou bien à son sang, et le fait qu'elle pense que John puisse le trouver à son goût était une information des plus intéressante. Alice était très proche, trop proche même si aucune partie de leur corps n'était en contact, essayait-elle de faire naître le désir en lui, elle ne le savait pas et il n'avait aucunement de passer à l'acte avec elle même si ... même si soudain le désir de se venger de John et son jeu du chat et de la souris de la nuit dernière était encore ancré dans sa mémoire, oui il lui en voulait encore pour tout ça et il aimerait bien se venger pour cela et Alice était parfaite pour cela, il savait qu'en utilisant la demoiselle il ne pourrait que faire du mal à son maître mais en même temps, il savait que John lui faisait confiance et à part Dean, il était le seul à croire en lui, alors il avait bien du mal à le tromper et à perdre cette confiance. Alors il hésitait à agir, à jouer réellement avec elle. Surtout qu'il savait pertinemment que la jeune femme était aussi très attaché et même complètement folle de John et qu'il n'allait pas être facile non plus de la faire tomber sous son charme. Peut être un jour nous ferons de toi notre déjeuner Mais soudain elle lui donnait une idée, elle lui donnait la bonne occasion de se venger car peut-être que si John surprenait la jeune femme se repaître de son sang, il n'aimerait pas cela. Il esquissait alors un plus large sourire, légèrement taquin et intéressé " Alors comme ça ... je suis à ton goût ? " Il s'approchait un peu plus, pourtant il n'y avait toujours aucun contact, il tourna la tête légèrement sur le côté lui offrant son cou, bien sûr la partie où ne figurait pas le tatouage de John. " Mais ... je t'en prie ... Si tu veux goûter ne te dérange pas. " |
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| Sujet: Re: Quand la diablesse débarque / Alice&Gabriel Mer 28 Nov - 15:39 | |
| Les hommes sont des animaux. Ils suivent des intérêts personnels, et ne pensent qu'à leur désirs et à combler leurs besoins. Manger, dormir, faire l'amour. Le sexe faisait parti d'un des besoins primitifs de l'homme. Il ne s'agissait pas même d'amour à la base, mais de survis. Voila ce qui motivait les humains depuis la nuit des temps : la survis. Alice pouvait le comprendre, elle avait aussi suivi cette règle durant des années. Humaine aussi elle avait tout fait pour survivre, et si possible le plus loin possible de la tyrannie de son père. Elle n'aimait pas être obligée de suivre une voie qui n'était pas celle qu'elle désirait. Servir dieu, promettre chasteté et vertu pour toujours. Et comme l'éternité pouvait sembler longue quand on a vingt ans que l'on a jamais vu le monde. Elle comprenait le désire de liberté, l'envie d'être ailleurs, d'être quelqu'un d'autre. Elle, elle avait finalement gouté la liberté. Les vampires sont des êtres libres, elle le voit et le vit de la sorte. Elle aime cette nouvelle vie qu'est la sienne, et à mesure du temps elle s'était mise à ignorer les humains, et à oublier cette mortalité et ces conditions. Le fait d'avoir peur de ne pas pouvoir assez vivre sa vie. Le fait de ne pas être qui l'on veut. Le fait de devoir faire un choix en sachant que jamais on aura l'occasion de le défaire. Vampire, les possibilités étaient multiples. Disparaitre, nouveau nom, nouvelle vie. Tout était beaucoup plus simple.
Il était simple aussi d'être orgueilleux, de se laisser aller au narcissisme et à la moquerie. Rabaisser les humains était un jeu qu'elle aimait plus que tout. Mais les humains ont aussi des corps chaud, et la chaleur l'attire plus que tout. Elle aime avoir chaud, elle aime la sensation d'une peau brulante contre la sienne froide et dure comme le marbre. Elle aime le sexe avec les humains. Elle les oblige parfois, mais rarement. Le fait d'être une vampire la rendait attirante à leur regard, de sorte qu'elle ne fut pas obligée de les contraindre à la toucher en général. En général.. quoi que dans le cas de Gabriel elle ne doutait pas qu'un jour il allait craquer. Elle entendait son coeur qui battait à une vitesse forte, et elle s'étonnait de ne pas voir encore son excitation déformer son pantalon. Elle ne se permit pas un coup d'oeil rapide. Elle entendait son sang battre sans ses veines, elle entendait tout. Comme son souffle qui était devenu plus irrégulier. Elle souriait, et elle continuait le jeu, jusqu'à ce qu'il craque, l'allumant ouvertement sans se soucier du fait que John les entende. Je ne sais à quoi tu penses ... mais ... j'ai de nombreux doutes à ce sujet La vampire sourit d'un air malicieux. Elle caressa le torse de l'esclave du bout des doigts, déchirant quelque peu le tissu de son haut. Je pense que le deviner n'est pas très difficile, même pour toi ~ Dit-elle en le regardant dans les yeux. S'il lui avait appartenu, aucun doute qu'elle aurait profité de ce corps si parfait qu'était le sien. Elle s'étonnait de voir des humains aussi beau parfois, presque aussi beau que des vampires. Attirant en tout cas, certainement du fait de leur odeur si alléchante. Elle ne pouvait pas résister à la tentation, elle en était folle.
Mais le jeu ne devenait-il pas trop dangereux ? Gabriel commençait à comprendre qu'elle était plus attirée par lui qu'il ne semblait le penser. Elle lui avoua qu'elle désirait en faire un jour son déjeuner, mi-amusée, mi-sérieuse. Il se laissa aller alors, et se penchant vers elle lui offrit son cou. Elle resta immobile, sceptique et inquiète, sans savoir ce qu'il attendait d'elle à ce moment-là. Avait-elle gagné ? Il était un esclave rebelle et joueur, et de plus il n'était pas à elle. Il était à John. Elle avait déjà tuée une esclave de John, elle n'allait pas le refaire... en même temps si elle en goutait qu'un petit peu comment son amant allait-il le savoir ? Elle était le mal, soumise à ses désirs elle aussi. Comme les humains. Alors comme ça ... je suis à ton goût ? Elle hausse un sourcil et continua de parler d'une voix joueuse. Tu en doute ? Tu es appétissant pourtant ~ Dit-elle alors qu'il penchait la tête de côté. Il suffisait à Alice se pencher pour venir embrasser sa peau. Mais une chose la heurta et l'arrêta. Elle grinça des dents, mécontente. Boudeuse. Mais ... je t'en prie ... Si tu veux goûter ne te dérange pas. Elle croisa les bras sur sa poitrine, sèchement, boudeuse. Je ne peux pas, et tu le sais. Dit-elle d'une voix peu amène alors qu'elle tournait la tête sur le côté en boudant. Il t'a marqué. Tu es à lui. Il m'en voudrait de te mordre. Dit-elle en tournant le dos à Gabriel. Elle se tourna une dernière fois vers lui, léchant ses lèvres pulpeuse, les humidifiant. Mais je trouvais un moyen de te posséder Gabriel, tu es bien trop séduisant pour m'échapper. Elle riant et sautilla jusqu'à la cuisine pour récupérer une poche de sang. Cette conversation l'avait contrarié et lui avait ouvert l'appêtit. Si tu veux boucler le sujet tu peux je pense |
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